Attentes Du Lecteur

est celle de l’intrigue comme composition d’actions enracinées dans du préconstruit. Mémoire de ce que le texte prend en charge et tente de rendre intelligible, elle marque l’ancrage de la composition narrative dans la compréhension pratique du lecteur. La deuxième mimesis, plan de la succession et de la configuration, est une activité productrice d’intrigue qui consiste à prendre ensemble une succession d’actions pour en faire un tout organisé ayant un commencement et une fin. En d’autres

sûrs ? qui le leur a dit ? » ont également une tournure ironique. En effet, un défunt ne peut émettre d’opinion ou même de ressenti une fois abattu. La question rhétorique permet également de concerner le lecteur, et de mieux lui montrer que cette idée est absurde. Afin de faire réfléchir le lecteur encore d’avantage, des personnages historiques tels que Robespierre ou encore Louis XIV sont cités. Ces personnalités aux décès marquants permettent de renforcer la notion d’absurdité puisque après avoir

METHODOLOGIE Vocabulaire: titre éponyme : titre d’une œuvre à laquelle le personnage principal donne son nom. Incipit Fonctions :  Informer le lecteur (où, quand, comment, qui, quoi & pourquoi ?)  Intriguer le lecteur  Donner une attente de l’histoire implicite (D’après Vincent Jouve – critique littéraire) Question de corpus C’est une question qui reprend un sujet commun aux textes d’un corpus donné. Pour répondre :  Lire texte et paratexte attentivement  Dégager le thème

populaires, gargotes. Restaurant, la rue. Détails sordides et repoussants. Lieu réels et présenté négativement. 2. L’époque. Soir du 28 juin 1880. Epoque d’écriture. ( cadre spatio-temporel : réaliste et malsain, parle aux lecteurs et peut renvoyer à des contemporains (roman à clés et principe réaliste). Il est présenté de manière active par l’intermédiaire du héros dont on nous propose le portrait dévalorisé. II. Le portrait du héros dévalorisé. 1. Un héros… négatif

que, si Mariane marie quelqu’un qu’elle n’aime pas, elle va lui tromper. Mariane est obéissante et passive comme fille. Acte III Scène 2 Le lecteur sait ce que les personnages pensent de lui, donc on a une idée du type de personnage qu’il est. Cette longue attente ajoute au suspense, qu’incite le lecteur à vouloir lire le reste. Il lui donne un mouchoir pour qu’elle puisse couvrir ses seins. Scène 3 Tartuffe montre ses sentiments en mettant sa

toute attente, la confrontation va tourner à l’avantage du plus faible. Thèse : Quelles leçons cette fable amusante veut-elle donner au lecteur ? I) Une fable plaisante 1) Une composition efficace Récit bref. Deux parties : un dialogue et un récit, marquées par un changement de temps (passé simple – présent de narration). Conflit de deux personnages, résolu par l’arrivée d’un 3ème (le vent). 2) Une narration habile Omniprésence du vent (présenté comme une menace). Le lecteur attend

éloigné du réel, son portrait physique n'est pas détaillé, le lecteur est seulement informé de sa blancheur montrant sa pureté morale et sa vertue, ses cheveux blonds et ses traits réguliers qui font d'elle un personnage idéalisé qui laisse place à l'imagination. La technique du monologue intérieur associée à un narrateur omniscient qui connait tous les sentiments de la princesse et qui programme les évenements à suivre, aide le lecteur à s'identifier au personnage. Ce roman marque la fin du XVIIème

des questions rhétoriques qu’il pose à Andromaque : « Faut-il que mes soupirs vous demandent sa vie ? / Faut-il qu’en sa faveur j’embrasse ses genoux ? ». Il apparaît comme un homme perdu, et lorsqu’il déclare que son « cœur [est] désespéré », le lecteur a pitié de lui. Pyrrhus emploie en effet le champ lexical de la souffrance : « souffrir », « gémir ». Il arrive ainsi à faire passer sa peine à travers tous ses doutes et ses craintes sur la décision d’Andromaque. Si l’amour de Pyrrhus pour Andromaque

immobile pendant le cours, « n'osant même croiser les cuisses, ni s'appuyer sur le coude ». II- Plan du texte Problématique : Quel est l'intérêt du portrait de Charles ? Comment le narrateur joue-t-il avec les attentes du lecteur ? Comment le personnage est-il introduit dans cet incipit ? I- Un incipit déroutant A- Le choix narratif Début in medias res assumé par un narrateur ambigu car le texte s'ouvre par le mot « nous », pronom qui est

percevoir pour comprendre : l’acte lexique proprement dit Percevoir, c’est prélever des indices et les interpréter. Percevoir,c’est formuler des hypothèses à partir de prélèvement d’indices et reconstruire ce qui n’est pas écrit. Le regard du lecteur ne balaie pas chaque détail mais enregistre au cours de fixations régulièrement espacées des indices visuels à partir desquels il formule des hypothèses que les fixations suivantes viennent confirmer ou infirmer. La compréhension d’un texte n’est