Attitudes Linguistiques

účelům. V Brně dne …………………… …………………………………… Sommaire Introduction…………………………………………………………….. 5 La partie théorique I. La base théorique pour l’étude du langage des jeunes…………………. 7 1.1 Approche à la linguistique….………………………………. 7 1.2 La langue et le langage……………………………………… 11 1.3 La sociolinguistique …………………………………… 12 1.4 Les registres de langue …………………………………… 13 II. Langage des jeunes ……….............................................................

leurs niveaux scolaires et leurs milieux socioculturels en fonction de trois indicateurs : la structure narrative, les temps verbaux et les connecteurs. Les résultats permettent de dégager une forte corrélation entre les différents indicateurs linguistiques retenus. Cela semble souligner l’intérêt de travailler de paire la structure narrative, les organisateurs textuels et l’emploi des temps en classe, et ce, quelle que soit l’origine socioculturelle des élèves. – production écrite – connecteurs –

s’appuyant sur les indices sonores Cette deuxième étape permet de préciser le genreu du document exploité. Les apprenants décrivent ce qui est vu ou entendu. À partir de leur expérience de (télé)spectateurs ou d’auditeurs et des éléments non linguistiques qu’ils auront repérés, les apprenants émettent des hypothèses sur le contenu ou le message du document. L’enseignant incite les élèves à faire une observation attentive des images ou à concentrer leur écoute sur le paysage sonore, les sons sans

université Paris 7 OPHRYS SOMMAIRE INTRODUCTION ................................................................................................. 4 1. EXTENSION DU DOMAINE DE RECHERCHE ........................................... 8 1.1. Linguistique, linguistique appliquée et didactique des langues....................................8 1.2. Pédagogie et didactique.....................................................................................................15 1.3. Psychologie et didactique

(1986), et mes propres textes (par exemple, GIRIN, 1982b), ainsi que quelques travaux publiés en anglais après 1986, comme 3 celui de CLEGG (1987). A quelques unités près, le compte y est : quelques classeurs... Une science, que l’on appelle la linguistique - mais il vaudrait mieux, aujourd’hui, parler d’un ensemble de disciplines, englobées sous le la désignation “sciences du langage” -, explore depuis longtemps la question du langage. Partant du même constat que celui que l’on vient de faire, Maurice

symbolique et culturelle commune. Dans notre recherche nous nous proposons donc, à partir du binôme saussurien langue/parole, c’est-à-dire, par une approche linguistique, de montrer comment le passage à l’écrit du conte oral parvient à sauvegarder la beauté intrinsèque à celui-ci. Pour cela, nous nous intéressons : - Au signe linguistique (le mot), le lexique dont il est fait usage. - Au fonctionnement syntaxique et à l’agencement des signes qui créent les effets stylistiques et émotionnels et

réduit pas à un simple codage d’information. Un message est lourd d’implications et de résonnances affectives pour les sujets. Tellement fortes parfois, qu’il ne peut être intégré tant le récepteur est submergé par ses émotions. - Le modèle linguistique (Jakobson, 1973) Ce modèle se centre sur le langage en fonctionnement, sur les actes de langages du sujet qui parle. Différents fonctions du langage y sont définies en référence aux objectifs que le sujet parlant poursuit dans la communication

faciliter l’apprentissage de la langue officielle qui est l’arabe, au préscolaire et au 1er cycle du primaire (1ère et 2ème AEP)[2]. Quant à l’article 116 de cette charte, il parle de la création des structures de recherche et de développement linguistique et culturel Amazigh à l’université, ainsi que de la formation des formateurs et de développement des programmes et curricula scolaires. Le projet est de nouveau entré dans une phase d’attente jusqu’au 30 Juillet 2001, date du discours du trône

Paru dans L’autorité de l’Écriture, Collection « Lectio Divina », Hors série, éditions du Cerf, Paris, 2002, p.193-226. . La linguistique peut-elle définir l’acte de traduction ? A propos d’une version du quatrième évangile Celui qui traduit littéralement est un faussaire, celui qui ajoute quelque chose est un blasphémateur. (Règle des Targoums, citée par H. Cousin dans D. Marguerat, éd., L e Déchirement, Genève, 1996, p.205) Le paysage traductologique actuel Si la pratique de la

méthodologie, constituée d’une collection plus ou moins riche de méthodes se rapportant aux recherches scientifiques spécifiques de la discipline respective; on pouvait ainsi parler d’une méthodologie de la physique, d’une autre de la biologie ou de la linguistique. À présent, la fusion de plusieurs sciences engendre l’interférence des méthodes et l’apparition de nouvelles sciences telles la biophysique, la psychosociologie, la psycholinguistique, etc. Par ailleurs, notre époque a vu augmenter l’intérêt porté