Augmenter La Rentabilité Du Rayon Parfumerie

Introduction Le merchandising ou « marchandisage » est l’ensemble des études et des techniques d’application mises en œuvre, séparément ou conjointement, par les distributeurs et les producteurs en vue d’accroitre la rentabilité du point de vente et l’écoulement des produits par une adaptation permanente de l’assortiment aux besoins du marché et par la présentation appropriée des marchandises. C’est l’ensemble de techniques destinées à améliorer la présentation d’un produit, d’une marque ou d’un

enfin 36,4% en 2013. Leur réussite est évidente mais la concurrence avec les marques nationales reste très rude. En France, le marché de la marque de distributeur pour les produits de grande consommation pèse 23,5 milliards d’euros en moyenne. Le rayon frais non laitier représente à lui seul 5,4 milliards d’euros (LSA 2012). Il faut tout de même nuancer cette réussite en fonction des différentes catégories. Ainsi dans la saurisserie, les MDD culminent à 54,6% de part de marché, alors qu’elles stagnent

sélective : Elle est un mode de distribution qui repose sur un processus de sélection des points de ventes. C’est la marque qui à le pouvoir. C’est le cas dans la distribution de la parfumerie. Les gens de chez Leclerc ont été obligés de se plier à certaines règles de distributeurs pour pouvoir vendre de la parfumerie. Pour être légale la distribution sélective doit reposer sur des critères objectifs répertoriés dans un cahier des charges. Les critères de sélections peuvent être liés à l’équipe de

| | |Crédibilité du positionnement du produit par rapport à cette image | |Contrôler le prix public |Comparaison de la rentabilité selon le canal | | |Analyse de la présence des produits concurrents ( probabilité que la| |

C’est aussi un instrument de ralliement et de fidélisation de la clientèle aux produits de l'entreprise. Les marques envahissent notre quotidien dans de nombreux secteurs : l’automobile, le textile, le cosmétique et l’alimentaire. Elles aident à augmenter la consommation, la fidélité des consommateurs  et donneraient de la valeur au produit qui pourrait par la suite être vendu à un prix bien plus attractif pour les fabricants. En effet, actuellement, les grandes marques de producteurs perdent

français) * Plan de marchéage du distributeur = retailing mix (marketing de site) * Assortiments * Prix * Marchandisage : aménagement de l’UC, implantation des produits en rayon * Communication 5. La mercatique en termes de techniques utilisés Informatique MERCATIQUE MERCATIQUE Droit Mathématiques Outils de gestion

leur pertinence : Mesurable : définir la taille des segments en nombre des personnes, revenus, etc. Accessibilité : faire en sorte le segment soit atteignable par les actions spécifiques de distribution et de communication média et hors média Rentabilité : les coûts de politiques sur le segment soient compensés par les recettes Processus d’une segmentation Etape 1 : délimitation du marché (définition) Etape 2 : identification et description des segments Etape 3 : choix des segments cibles

· Aspect matérialiste : ce qui pousse les enseignes à augmenter la rentabilité et la marge par client · Aspect qualitatif : ce qui pousse l’entreprise à se centrer sur le produit ou service afin de satisfaire le client Poursuivre une stratégie de fidélisation permet aux entreprises, d’optimiser la rentabilité et de maximiser les bénéfices des clients qu’elles ciblent. Une enseigne arrive à atteindre ces

la distribution française traverse une crise profonde. Cependant, grâce à une protection du marché par la Loi Raffarin qui freine la création de nouveaux magasins et par la Loi Galland qui atténue la concurrence par les prix, l'impact sur les rentabilités s'est révélé supportable. C'est sur le plan commercial que cette crise est la plus voyante, avec le succès des discounters et des enseignes filières. Les années 2002-2005 ont été marquées par dumas-00542741, version 1 - 3 Dec 2010 une arrivée

Cohérence des plans d’action entre eux : Exemple : soit un plan d’action pour un parfum haut de gamme qui comporte les éléments suivants : *produit sophistiqué, emballage de luxe, *prix élevé, *force de vente spécialisée, *distribution en parfumerie exclusivement, *campagne de communication banale, qui ne colle pas avec la qualité du produit. Cette situation se caractérise par la présence d’un risque d’échec, car il y a un plan d’action qui n’est pas en cohérence avec les quatre autres.