Autotélique

LES POUVOIRS DE LA POESIE Exaltation des sentiments Renouvellement des formes, poésie esthétique et autotélique Révélation du vrai visage du monde Engagement, poésie d’idées XVIème siècle Ronsard, « Comme on voit sur la branche », Amours. = Déploration de la mort de Marie. « Je n’ai plus que des os »= Derniers vers, annonce de la mort, memento mori « Heureux qui comme Ulysse », Du Bellay= Nostalgie devant l’éloignement de la Patrie. « Hymne de l’automne », Hymnes, Ronsard L’inspiration chez le

en refusant les règles de la métrique. Ils vont créer le vers libre. Par contre, ils suivent les Parnassiens dans leur principe de l’art pour l’art et vont même plus loin dans le refus du rapport au monde en faisant de la poésie réflexive et autotélique, c’est-à-dire une poésie qui parle de poésie (aspect très visible chez Mallarmé). Certains symbolistes sont moins extrémistes et travaillent alors sur le pouvoir de la suggestion  il ne s’agit plus de dire mais de suggérer. Le symbolisme fera

propre à l’écriture yourcenarienne ? 1 Marguerite Yourcenar Mémoires d’Hadrien, Ellipses/ marketing S.A, 1999, p.54 1 Telle est la problématique autour de la quelle s’articule notre étude. I- Du discours d’adresse au monologue autotélique : les méditations et réflexions de l’empereur Mémoires d’Hadrien s’ouvre sur le récit de la rencontre de l’empereur Hadrien avec son médecin Hermogène sous la forme d’une lettre qu’il destine à son futur successeur Marc Aurèle. Ce qui explique

point », « nous voulons », « Tu feras bien », « que ton vers soit » à deux occurrences. → Utilisation de la deuxième personne du singulier : le poète s’adresse au lecteur, à quelqu’un qui serait susceptible d’écrire des poèmes. b) Une vision autotélique de la poésie → Le texte s’intéresse à sa propre création : →le choix des mots, →le travail des rimes, →la mise en valeur de la musique avant toute chose. c) L’application des conseils dans la poésie → Ce qui est conseillé est mis en

stratégique? Le code culturel est une force intrinsèque, une force de résonnance ainsi il agit comme un aimant, et est aussi une énergie renouvelable permanente. Il est à fois endogène et exogène, produit et consommé par l’être humain, il a un pouvoir autotélique : une sorte de potion magique parfois intemporelle. En effet, le code culturel demeure, évolue, s’émancipe et constitue l’identité de la personne, du groupe, de l’organisation. Quels éléments pourraient définir le code culturel de l’entreprise

qui, dans la querelle des anciens et des modernes, se rangea du côté des classiques, défendant l'idéal d'une poésie inspirée des grands auteurs de l'antiquité dont il défend les valeurs dans l'Art poétique dont est extrait ce texte. La poésie autotélique se rencontre a toutes les époques ( par exemple, les Illuminations de Rimbaud ) et manifeste à la fois le besoin qu'on les écrivains de définir l'acte même d'écrire mais aussi l'idéal esthétique qui est le leur. En l'occurrence Boileau insiste

de tout lui sacrifier. Le jeu est décrit comme une activité de loisir d’ordre physique ou bien psychique soumise à des règles conventionnelles, à laquelle on s'adonne pour se divertir, tirer du plaisir et de l'amusement. Cependant, le jeu est autotélique, c’est-à-dire, qu’il se pratique sans autre fin que lui-même, qu’il n’aboutit à aucune production d’objet et dont la motivation principale est le plaisir ; les autres motivations comme le gain ou la compétition restant finalement accessoire. Le

de la faculté de juger »). L’art s’affirme comme supérieur à la nature, et « la loi de l’art est celle-ci : conversion de la finalité externe en finalité interne. » (Schelling) Ainsi, l’œuvre d’art devient totalement intransitive, elle serait autotélique, et suffisante, à l’image des « poèmes de prose » de Baudelaire, mais surtout de Rimbaud : alliant rupture et autosuffisance. En effet, les oeuvres de Rimbaud n’entrent pas dans les canons de poésie traditionnelle (versification, ordre, cohérence…)

ou au sens de nature sauvage- mais il va surtout au-delà puisqu’il en vient à poser des questions fondamentales et qui ne sauraient se restreindre à la seule littérature de nature : comment définir l’art ? que représente-t-il ? est-il un objet autotélique du Beau ? quelle est sa place dans notre monde et son impact ? La polysémie de l’expression de Bass à pour cause essentielle l’ambivalence de ses termes constitutifs. L’art peut aussi bien comprendre le concept abstrait d’art que la globalité

1/ 1) dégoût de la société, la nature, l'évasion, la recherche de l'Idéal et le Spleen2) compare la nature à un temple dont les symboles nous paraissent confus3) décrit Marie Daubrun un pays idéal (inspiré de la Hollande) où ils pourraient s'installer ensemble.« Là, tout n'est qu'ordre et beauté/Luxe, calme et volupté. »4) exprime son mal-être, son spleen. Mais le poète sublime son angoisse qui devient une source d'inspiration5) le poète est inspiré par son environnement, la nature et la musique6)