Avant Taylorisme

On peut par exemple parler des maisons de retraite où il n’y a pas assez de personnel, leurs tâches sont alors réglées et chronométrées. Le lien social qui parait être central dans cette profession n’y a plus sa place. En réponse aux excès du taylorisme, de nombreux auteurs, tels que Mayo ou encore Maslow, ont développé une réflexion de l’homme au travail totalement différente de celle vue précédemment où le travailleur et ses conditions de travail étaient au centre. Un autre courant qui s’oppose

comment les budgétiser? Partie.I Le budget de la masse salariale I .La masse salariale : une variable stratégique 1. Détermination d’une masse salariale pertinent 1.1 Évolution de la structure des charges Un nouveau contexte Alors que le taylorisme négligeait de s'intéresser aux conditions d'écoulement de la production de masse, il devient indispensable de prendre en compte les nouvelles pratiques de consommation. En ce qui concerne le système productif, la croissance intensive s'accompagne

violence and over-achievement). Introduction: « Le chemin des paradoxes est le chemin du vrai, pour éprouver la réalité, il faut la voir sur la corde raide » O.Wilde. Depuis la première révolution industrielle, et ensuite, le développement du taylorisme et de l'OST (organisation scientifique du travail), les cadences de travail ont considérablement augmentés. Au fur et à mesure de cette croissance, il est possible de constater une perte de confort ergonomique, et donc une réduction du bonheur

par des General Purpose Technology (GPT) qui st des technologies à usage multiple dont le potentiel excède les intentions et l’imagination des inventeurs. 2) Une révolution sociale : L’invention de l’électricité au 19ème siècle a entraîné le taylorisme et l’OST. On croyait au début qu’elle permettrait aux petits artisans de s’affranchir des grandes ent. Car auparavant travail dans l’usine organisé en « factory system » autour d’une machine à vapeur, que les petits ouvriers ne pouvaient pas s’acheter

nos outils de travail tel qu’un programme informatique implanté afin de servir de répartiteur de travail. Bien entendue, nous pouvons retrouver ici les principes du Taylorisme, d’une dépendance dite hiérarchique mais toutefois la structure évidente de cette organisation est principalement divisionnaire. Cette évidence est mis en avant plan étant donné que les directeurs des opérations sont régis par un seul cadre et ceux-ci sont divisés par statut d’employé et par région. Cette hiérarchie n’ayant

du capital lié à la liberté d'entreprendre (entreprise privée, libre concurrence) et à la liberté du marché. Les entreprises leurs modifient méthodes production de Documents 3 p. 122 : L'usine Ford de Détroit vers 1916, document 4 p. 123 : Taylorisme et fordisme et document 3 photocopié : Le travail en usine vers 1934-1935 Questions : Décrivez la photographie du document 3. En quoi montre-t-elle des méthodes de production transformées ? Quels en sont les buts ? Répondre à la question 4 p. 123

critères de recrutement et des tests d’aptitude, - Un système de formation continue, soit à visée technique, soit des promotions en tant que managers. iii. Du taylorisme au fordisme (re)voir Les Temps modernes de CHAPLIN (http://www.youtube.com/watch?v=DrC_1HCKvuA&noredirect=1), comme illustration du fordisme, plutôt que du taylorisme. L’industriel Henry FORD reprend les principes de TAYLOR et met au point la chaine de production mécanisée en 1908. Dans la 1920-1970, ce type de production

que le travail en fast-food ? Comme il est indiqué dans l’encadré nº2, les « fast-foods comprennent quatre degrés hiérarchiques : le directeur, les managers, les swings et les équipiers. Le travail en fast-food peut être comparé au taylorisme car il consiste en un enchaînement d’opérations permettant d’obtenir un produit fini présenté au client. Le travail en fast-food se décompose en divers postes que chaque équipier est amené à occuper. Il peut prendre les commandes, servir

ensemble ayant un but commun, un objectif collectif. Les différentes tâches de ses travailleurs sont produites de façon répétitive et sont simplifiées afin d’être acquises le plus rapidement possible. Ces méthodes de production sont basées sur le taylorisme, où la division du travail et la simplification des tâches afin d’obtenir un coût de production moindre sont prônées. Ford est un exemple de réussite de cette méthode, celui-ci ayant réussi à atteindre le plus haut niveau de production à son temps

production, ce qui nous intéresse plus directement. Sur ce plan, on distingue dans un premier temps l'école taylorienne et fordienne américaine, que Coriat qualifie d'“école classique”. Celle-ci repose sur une organisation du travail en “temps alloués” (taylorisme) ou en “temps imposés” (fordisme). Dans un deuxième temps, en réponse à la crise des bases classiques des gains de productivité, apparaît l'école “socio-technique”, dont les réalisations les plus notables sont celles de l'usine Volvo à Kalmar, en