Champ Lexical De Verbes

1°dès la ligne 3 questions rétoriques d'adrien ==>moyens de persuasion, il cherche a rabaissser mathilde dés le début dès ligne 4 accumulation verbes négatif champs lexical déshonneur(voir soulignés) rerabaissement avec "tu n'es que" L.7 et des injures envers mathilde qui veulent dire la méme chose ==> pour encore abaisser mathilde :accumulation sentiments de colère, haine -anaphore L.8 "On te..." x2 => procédé de persuation encore question réthorique L.9 =>accumulatio

à traiter comme une phrase complexe, se divise elle-même en deux parties : la première, très longue, peut être considérée comme une longue plainte sans fin avec un effet rythmique et un champ lexical de la tristesse (v.1 à v.10) et la deuxième, brève, comme une proposition déclarative négative avec un champ lexical du désespoir, de la mort. La structure syntaxique des deux quatrains, dans son ensemble, assemble quatre propositions temporelles, introduites chacune par « tant que », la deuxième présente

sorte de mélancolie |Champ lexical des apparences :  | |à haute voix /assez en vue | | |elle |Pronom personnel « elle » : | |admirable /tendres soins /constante douceur/charmes |Champ lexical de la gentillesse : 

d'enlisement. ______● Ou bien utilisation de participe passé passif : « dévoués » (v.7), « déchirés » (v.8), « créés » (v.9), _______..« dégradés » (v.14), « flétris » (v.14) = action achevée, figée. ______● On trouve très peu de verbes de mouvement (les seuls verbes exprimant une action rapide sont au _______..participe présent (« montant ») ou à l'imparfait (« criait ») qui pourrait presque s'interpréter comme _______..l'expression d'une répétition (imparfait de répétition), une habitude). ______●

d’un récit narratif paisiblement rythmé Les éléments traditionnels d’un récit : * Présence d’un héros central : « je » omniprésent = récit intime * Verbes d’actions : personnage en mouvement « je passais mon après-midi à parcourir l’ile… » : récit vivant * Cadre spatio-temporel : « ile de St-Pierre …Suisse » (l.2-3) ; champ lexical du temps « après-midi, soir, soirée » (l.10-16-27) * Progression temporelle, évocation de différents moments de la journée. Parallélisme « quand le lac

poésie lyrique sur l’Age d’Or ? I. La présentation de l’âge d’or # Evocation merveilleuse de la nature : - nature abondante (emploi de pluriel « mille fleurs ») - nature merveilleuse (« le lait ondoie ») - nature autonome (verbes pronominaux « se… » = pas besoin que qqn d’autre fasse l’action à sa place) # Le bonheur - harmonie avec les Dieux, la nature, les hommes (« sans navrer comme ici notre aïeule : personnification de la Terre) - bonheur égal à celui des

confiance » (lignes 19 et 20) et le champs lexical de la parole, composé des verbes « discourt » (lignes 7 et 8), « récite » (ligne 9), « avance » (ligne 14) et « raconte » (ligne 15). Tous les verbes sont différents donc cela montre qu’Arrias ne se répète jamais. Arrias est également impoli. Le champ lexical définissant ce caractère est composé de la phrase « il prend la parole, et l’ôte à ceux qui allaient dire ce qu’ils en savent » (lignes 5 et 6). Les verbes « prendre » et « ôter » confirme son

I. L'ELOGE DU VOYAGE1) Champ lexical du voyage.    Les verbes "partir" et "quitter" sont répétés à plusieurs reprises dans le poème, ce qui renforce le désir d'évasion de l'auteur. Le nom "monde" ouvre l'espace du voyage, le lieu est encore vague, la destination inconnue. Au vers 24, la gradation croissante "marche part va-t-en" est de plus en plus violente. Ce champ lexical est très riche en verbes, surtout à l'impératif, ce qui donne une tonalité injonctive à ce poème. Le poète s'adresse à son

description nécessite un large réseau lexical qualificatif (de nombreux adjectifs qualificatifs) de la sphère physique, morale, du paysage ou encore des émotions. Le champ lexical : il s’agit d’un ensemble de mots qui se réfèrent à une même idée. Ex : champ lexical de la douceur : doux-tendre-soyeux-lisse-coton-soie-agneau-nuage-chuchoter-murmurer-délicatesse-caresser. Le champ lexical est à distinguer d’un ensemble de mots appartenant à une même famille. Dans un champ lexical, on peut relever des mots de

que des champs lexicaux, comme celui qui évoque le fête grâce aux verbes au participe présent («chantant» v. 5, «jouant» v.3, «dansant» v.3), il utilise aussi une énumération «Jouant du luth et dansant et quasi» v.3. Cela permet au poète de montrer à son interlocuteur que la scène se passe dans une fête. La répétition de «clair de lune» dans le titre et au vers 8, permet à Paul Verlaine ….. Le poète indique également que la fête est un bal masqué. Pour ceci, le poète emploi un champs lexical de la