Champ Lexical Du Mot Pitié

noir « mon ami » : Candide prend pitié de l’esclave et le plaint - Au début du texte, on a la locution « dit Candide » et à la fin du passage on a « s’écria Candide » et « versait des larmes … en pleurant » : Candide est particulièrement touché et bouleversé intérieurement ( il gardera en lui un tristesse nouvelle ) : pour la premiere fois ses émotions apparaissent - Au début on a l’expression « état horrible » pour désigner le noir et à la fin le mot « abomination » qui désigne cette

l’organisation familiale : Bartholo, le père ; Marcelline, la mère ; Figaro, le fils. On relève également le nom donné par Beaumarchais au juge, Brid’oison, mot se disant d’une personne sot et stupide. En s’appuyant sur ces personnages, Beaumarchais peut ainsi faire l’étalage de ses artifices comiques. Tout d’abord le comique de mot, le juge Brid’oison à des problèmes d’élocutions, il est bègue comme on peut le voir à la ligne 9 : « Moi, gro-gros enflé » De plus la phrase de Bartholo

que l’on remarque essentiellement à travers l’emploi de l’article indéfini « un » « rire éclatant » qui a une valeur intensive. Cette unanimité qui lie tous les élèves dans le rire s’oppose tragiquement au désarroi du « pauvre garçon » (ironie et pitié de Flaubert). Par un lien logique de conséquence, le narrateur nous dévoile les pensées du personnage. On a ici affaire à un monologue intérieur au style indirect à travers lequel Charles se pose la question du code des relations sociales (verbe falloir)

- Expression de la grandeur de Dieu justifiant une supplication. On peut vois ceci grâce à : • opposition à la faiblesse de l’homme / attributs et caractéristiques divins. L’homme est faible : - champs lexical de la faiblesse - répétition du mot « erreur » - énumération d’adjectifs péjoratifs S’oppose à l’intemporalité divine dont les décrets sont « immuables », « éternels ». De plus Dieu est celui qui sait. Il

qui des insultes, à qui des injonctions au subjonctif. De plus, le lien étroit qu’il entretient avec son épée, suggéré par la personnification « ayez pitié de mon fourreau » ou encore la didascalie « La main à son épée », met en exergue l’importance de cette arme pour le personnage éponyme. Cyrano inspire le respect comme le souligne le champ lexical de la violence auquel il a recourt « essorille, désentripaille, découper, assomme, mourir… » Cette peur envers le bretteur se manifeste notamment

Victor Hugo a commencé les Misérables en 1845 sous le titre les Misères. Dans sa préface, en effet, il défend l’utilité de ce livre « tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère » . Les personnages principaux de cette œuvre suscitent notre pitié par leur état de faiblesse, de pauvreté et de souffrance. Or, Quoi de plus faible qu’un enfant ? Dans cet extrait, la petite cosette , fillette de huit ans, est forcée par ses tuteurs d’aller chercher de l’eau dans la foret en pleine nuit. Avec l’enfant

polémique en mettant l’accent sur les valeurs qui motivent son œuvre, sur le vécu du poète comme La rose et le réséda - La Diane Française de Louis Aragon. - Une fonction d’émouvoir en faisant partager des émotions communes à travers le portrait de pitié dans L’Albatros - Les fleurs du mal de Charles Baudelaire. Le portrait de l’albatros dans les airs est présenté de façon positive, il est « beau », « prince des nuées », « roi de l’azur ». Il est présenté comme un animal paisible et indolent. Le

horreur inspire la pitié. Voltaire fait appel à la sensibilité de son héros ainsi qu'à celle du lecteur. Voltaire fait passer à travers le nègre un message très fort. Il montre bien les difficultés rencontrées par les esclaves. Voltaire met en valeur les contradictions entre la religion et le traitement des noirs avec le champ lexical de l'Eglise : "mon dieu", "bénit, "seigneur", "Adam". Voltaire insiste une fois de plus sur le thème de l'esclavage avec une répétition excessive du mot "nègre". Cet extrait

Il n’évoque pas un souvenir en particulier mais des escapades fréquentes comme l’indique la répétition du verbe de mouvement : je m’en allais, j’allais, conjugué à l’imparfait qui a ici une valeur de répétition. Il n’a pas de destination précise, le mot route est employé au pluriel dans le second hémistiche du vers neuf, assis au bord des routes. Il n’a pas non plus de toit, il dort a la belle étoile comme le suggèrent les expressions sous le ciel, vers trois, et mon auberge était à la grande ourse

givre et le vent· Le poète ouvre le poème avec l’arrivée d’un mendiant et décrit celui-ci avec le mot « pauvre » et ainsi le cadre extérieur. Il y a un complément circonstanciel de lieu « dans le givre et le vent » qui évoque le cadre hivernal et le milieu dans lequel le mendiant vit. Le verbe « passait » montre que sa présence est éphémère.· Le narrateur et le lecteur peuvent ressentir un sentiment de pitié envers cet homme V2 et 3 : Je cognai sur ma vitre ; il s’arrêta devant // Ma porte, que j’ouvris