Champ Lexical Du Mot Pitié

puissances défilent sans être inquiété. Arrive alors l’âne qui représente le peuple, il avoue qu’il a mangé de l’herbe, c’est lui qu’on l’on décide de sacrifié. Cet fable montre donc une justice injuste, inéquitable. Une justice qui condamne sans pitié. LA N°1 I/ La description de la peste ( V1 à 14 ) 1/ Une description de l’horreur. À l’époque, la Peste représente l’horreur absolue : v1/2 « Un mal qui répand la terreur/Mal que le ciel en sa fureur » : idée d’intervention divine. La maladie

son énergie : « brûler, feux redoutables ». Elle tente de retourner cette folie destructrice contre celui même qui en est la cause : Hipppolyte. Le champ lexical de la violence : « persécuter, exil arrachèrent », illustre cette idée. Cependant la destruction physique se double d’une destruction mentale et donc d’une aliénation. On relève un champ lexical de la dépossession : « un trouble, mon âme éperdue, ma raison égarée ». Le spectateur comprend l’état de Phèdre grâce à ce qu’elle dit, mais il constate

de barbarie de manger un Homme vivant qu'à le manger mort ». (l.26) Champs lexical de la torture, cruauté : « déchiré par tourments et par gènes », « rôtir pour le menu » et « mordre et meurtrir aux chiens et aux pourceaux » → dégradation par des animaux impurs « Sous prétexte de pitié et de religion » → mais vont a l'encontre des principes religieux 3 – On est toujours le sauvage/barbare d'un autre Barbare : du grec. Mot qui était censé imiter le langage non articulé de ceux qui ne parlent

qu’elle s’appeler « Les misères » mais Victor Hugo l’a changé à cause des événements politiques (la Révolution de 1848 et son exile) Ce nom aurait été plus simple puisqu’il fait référence seulement à l’aspect matérielle de la misère. Par contre le mot misérable peut évoquer de la misère morale ou matérielle. Cette œuvre, publiée en 1862 pendant son exile mais commencée en 1847 est composée de 10 volumes. Chaque volume a plusieurs livres et chaque livre est divisé en chapitres, qui ont chacun un

tragédie et il fait partie du mouvement classicisme de 1661à 1700 qui possède des caractéristique précise, il impose une conception de l’artet un idéal humain. La tragédie est un œuvre dramatique, dont le sujet, estpropre à susciter la terreur ou la pitié. (TLFI) Racine est le plus célèbre desdramaturges classique, il a publié la tragédie de Phèdre en 1677. Phèdre estune pièce en 5 actes composés de 1654 vers d’alexandrin. Cette œuvre met en scèneun amour interdit, fatale, à sens unique de Phèdre pour

son étonnement. Puis par l’expression suivante « ne pouvant conjecturer quel était le dessein de cette visite ». Il est tétanisé et est dans l’incapacité de réfléchir. La locution « les yeux baissés, et, avec tremblement » corrobore l’argument. En un mot, le chevalier est étonné. . . . Ensuite, il est envoûté. On note la volonté de Des Grieux à établir une ébauche de description. En effet, l’hyperbole «  ses charmes surpassaient » et la gradation croissante «  un air si fin, si doux, si engageant »

répétition de l'adjectif "rapide" -- esprit sain débarassé des choses "parasites" : emploi de l'apposition "n'ayant point été courbé par l'erreur"; proposition principale "il n'avait point appris de préjugés"; "dans toute sa rectitude" renforcée par le mot "tout" -- développement de l'esprit critique : "ceux qui se font persécuter par ces vaines disputes de l'école me semblent peu sages ; ceux qui persécutent me paraissent des monstres" Tournant du récit : l'élève dépasse le maître : -- emploi de

les guerres de religion.Il remarque les accents de pitié « soupir », « pitoyable » « pleure » mais la violence est aussi forte : « rage », « poison » « courroux » L'évocation sonore des camps en présence grâce aux allitérations. Vers 19-20 la conclusion de la lutte est terrible car image finale : ils se crèvent les yeux ce qui est une douleur insupportable physiquement et qui symbolise l'aveuglement. La torture de la mère Répétition du mot « douleur » qui montre que la mère (France) est au

Pourquoi La promesse parle de la fuite du temps ? (j'avais pas pris lui non plus) 4) Nous pouvons remarquer que « La nuit d'Aout » est un poème lyrique. Tout d'abord, le poète emploie la 1ère personne : « J' » v17, « je » v21.. ainsi que le champ lexical de la nature : « bois voltige » v1 « branche » v2, « rochers » v11. Nous pouvons également remarquer une interjection : « O Muse ! » v16. Le poète emploie le lexique des sentiments : « j'aime » v17, « amour » v25, « aimer » v30. Il met en relief

très chrétienne). Dernier poème le voyage => moyen de soulager le feu qui brûle le cerveau. Spleen : mot anglais qui désigne la rate : en effet, on croyait autrefois, selon la théorie des humeurs d'Hippocrate, que le sentiment de mélancolie était d'origine physiologique et, plus précisément, qu'il venait de la bile noire sécrétée par la rate. Le mot Spleen traduit donc chez Baudelaire l'ennui et le dégoût généralisé de la vie. Ses contemporains, ironiques