Crozier Bureaucratie

Standardisation des résultats Ligne hiérarchique Balkanisation Standardisation des qualifications Centre opérationnel Professionnalisation Ajustement mutuel Fonctions de support logistique Collaboration Structure simple Bureaucratie mécaniste Structure divisionnalisée Bureaucratie professionnelle Adhocratie 4/28/15 Théories des Organisations 19 Conclusion  Les différentes formes d’organisation décrites sont quelque peu caricaturales, le type prédominant variera dans le temps  Il n’existe

STRUCTURELLES La combinaison des composantes fondamentales, des mécanismes de coordination et des paramètres de conception (non traités ici) conduit à l’émergence de cinq grandes configurations structurelles, à savoir la structure simple, la bureaucratie mécaniste, la bureaucratie professionnelle, la structure en divisions et l’adhocratie. Comme on peut le voir dans le tableau qui suit, chacune de ces configurations marque la domination de l’une des composantes fondamentales sur l’ensemble de l’organisation

par Mintzberg correspond elle ? Mintzberg a étudié l’organisation des entreprises et la façon dont elles sont structurées. Ces travaux ont permis de mettre en évidence cinq grandes configurations types : la structure simple, la bureaucratie mécaniste, la bureaucratie professionnelle, la structure divisionnalisée et l’adhocratie. (cf. fiche auteur page 120) Pour caractériser une structure, on s’attache à étudier trois éléments en particulier : la division du travail, le degré de centralisation

cadre mondial avec les manifestations altermondialistes. Tandis qu’une organisation est un groupe d'individus qui présente la particularité d'être structuré. Lorsqu'il s'organise, le groupe se dote de règles et choisit un statut juridique. Selon CROZIER, l’organisation est une réponse au problème de l’action collective. Il faut savoir d’abord que l’action collective n’est pas un phénomène naturel, c’est un construit social ou artefact humain, c'est-à-dire un objet artificiel construit par l’homme

|Date de révision : | 1 L’ACTEUR ET LE SYSTÈME 1 Les contraintes de l’action collective Prénom et Nom des auteurs : Michel CROZIER & Erhard FRIEDBERG Catégorie, genre : Essai scientifique de sociologie politique (Manuel théorique qui présente un paradigme sociologique) Éditeur : Éditions du Seuil Date de parution : 1977 Volume : 493 pages   INTÉRÊT DE L’OUVRAGE

feront la différence. Avec Nils Brunsson, Michel Crozier, Peter Drucker, James G. March, Jean-Daniel Reynaud, Thomas C. Schelling, W. Richard Scott, Philip Selznick, Herbert A. Simon, et William Foote Whtre. La décision Direction scientifique : Erhard Friedberg Quatre heures de rencontres (audiovisuelles) avec des théoriciens de l'organisation pour une analyse très critique de la théorie de la décision rationnelle. Avec Nils Brunsson, Michel Crozier, Peter Drucker, Charles E. Lindblom, James G.

système d’actions, qui se voit confronté à deux problèmes, réaliser ses objectifs, formuler ses buts et appeler ses membres, ses « constituants » à participer à leur réalisation. 3) Quels sont « les modèles théoriques » auxquels s’opposent Michel CROZIER et Erhard FRIEDBERG pour expliquer la conduite humaine au sein des organisations ? La théorie prônée par les auteurs est celle de la théorie de l’acteur stratégique. Etant donné que le jeu des acteurs est déterminé par la cohérence du système dans

organisations prend-elle en compte le point de vue des individus ? Afin d’appréhender ce questionnement, il convient tout d’abord d’en définir précisément les termes. L’analyse stratégique des organisations tout d’abord, développée par Michel Crozier et Erhard Friedberg, est une méthode d’analyse sociologique du fonctionnement des organisations humaines. Par la recherche et la découverte en leurs seins de structurations stabilisées d’interrelations entre acteurs, cette méthode permet d’en révéler

contrainte, le supérieur n'y recourra que rarement. Dans beaucoup de situations, il obtient obéissance à ses ordres par sa seule autorité car il a su légitimer l'exercice de son pouvoir. Enfin, le pouvoir compte quatre sources possibles que Michel Crozier et Erhard Friedberg énumèrent comme suit : la compétence, la maîtrise des relations avec l’environnement, la communication et l’utilisation des règles organisationnelles. Modèles partenarial et cognitif de la gouvernance Deux approches théoriques

universitaire entre le milieu des années 1970 et le milieu des années 1980, avec des problématiques éloignées des policy sciences. Les travaux développés au sein du Centre de sociologie des organisations (CSO) à Paris, dirigé par le sociologue Michel Crozier, ou du Centre de recherche sur le politique, l’administration et le territoire (CERAT) à Grenoble, autour de Lucien Nizard, nourrissent, chacun à leur manière, l’analyse des politiques publiques dans une perspective de sociologie de l’État. Ces recherches