Crozier Et Les Parties Prenante

marketing se définit alors comme une « fonction de l’organisation et un ensemble de processus qui consiste à créer, communiquer et délivrer de la valeur aux clients ainsi qu’à générer des relations avec eux afin de servir l’organisation et ses parties prenantes. » Dans sa conception primaire le marketing visait à changer le comportement du client afin de déclencher un acte de vente. De nos jours cette conception a évolué parce qu’elle inclut le long terme. L’entreprise prend en compte les aspirations

ex : l’école, 99,9% des gens sont rentrés en contact avec elle ; en revanche, la prison (des gens avec des casquettes différentes), beaucoup moins de probabilité de rentrer en contact avec. On ne peut plus vivre sans les organisations, qui en prenants de l’ampleur, nous causent de plus en plus de problème. Caractéristiques d’une organisation - Un ou plusieurs buts : hôpital= soigner mais aussi faire des économies de nos jours, CHU= formation médecins + hôpital => conflits d’intérêts médecin/service

| |Chapitre 2 La logique managériale | |Pas de référence en termes d'auteur sur cette partie | |Chapitre 3 La finalité de l’entreprise et la responsabilité sociétale

travail) de l'entrepreneur, alors qu'elle est plutôt du ressort du chef d'entreprise. Cette conception est également contraire à celle, marxiste, qui place l'origine du profit dans la confiscation de la plus-value, c'est-à-dire l'appropriation d'une partie du fruit du travail des salariés par le rentier-capitaliste. L'innovation revient le plus souvent à détenir une position favorable dans sa branche. Schumpeter considère les monopoles nés de l'innovation comme nécessaires à la bonne marche du capitalisme

Gouvernement d’entreprise [pic] Introduction Partie I : cadre préliminaire I- le pouvoir : notions et sources   1- définition du pouvoir 2- les sources du pouvoir  II- le pouvoir managérial et  le pouvoir actionnarial 1- le pouvoir managérial 2- le pouvoir actionnarial  Partie II: le pouvoir managérial versus le pouvoir actionnarial I- la situation initiale: la dominance du pouvoir discrétionnaire II-

caractère d’efficience des administrations est un enjeu important, et que les dirigeants entendent bien faire de l’administration une organisation efficace. D’ailleurs, en France la plupart des partis politiques placent au cœur de leur proposition une réforme de l’administration afin qu’elle soit plus efficace. Le parti radical de Jean Louis Borloo l’a met mis en tête des « 12 ambitions pour la France », arguant que le mode de gestion de l’Etat doit être modernisé. Ce que l’on nomme administration regroupe

d'imposer sa volonté, de faire prévaloir des objectifs, de faire respecter des règles même contre une volonté contraire »[8]. L'existence de règles formelles et informelles, étant des «  prescriptions et interdits réglant la vie en société » font bien sûr partie des formes de régulations des sociétés et organisations. Nous pouvons presque ressentir la tension entre les acteurs, ce rapport de forces, de domination, « pour arriver à ses fins » mais ce n'est rien comparé à la puissance des mouvements collectifs

l’autorité qui confère à l’organisation sa structure formelle » (Simon, 1983). La notion de pouvoir a d’ailleurs été une question centrale dans les études sur la sociologie des organisations notamment chez M. Crozier et E. Friedberg. Dans « Pouvoir et organisation », (1964), M. Crozier parvient à une définition du pouvoir dans laquelle se dégage deux aspects. L’aspect « organisation », c’est : « il n’y a pas d’organisation sans pouvoir et tout pouvoir suppose de l’organisation ». Autrement

L'état agit comme un individu, on peut l’analyser comme tel : anthropomorphisme.   La science politique s'intéresse aux moyens matériels et humains (+ mécanisme de la décision) de l’État, aux conditions de l’émergence de l’État et de sa diffusion.     Partie 1 : Définir l’État   Chapitre 1 : Les caractéristiques de l’État moderne    L’État n'est qu'une forme d'organisation politique parmi d'autre, mais elle est devenue la forme quasi-universelle de l'organisation du pouvoir.     Section 1 : Les fondements

des relations formelles instaurées par l’organigramme. De toutes les façons, il s’agit d’orienter ou de diriger la conduite des autres, processus général en dehors duquel il n’y a pas de provisions possibles, ni rationalité organisatrice. Michel Crozier : Il définit le pouvoir comme fondement de l’action organisée. Un contexte humain, un vécu, un construit, ce sont avant tout des relations de pouvoir du fait que l’acteur est le porteur de ce vécu, de ce construit organisationnel, cet acteur va constituer