Cyert

entre les parties prenantes ; –      d’évaluer le pouvoir des parties prenantes et leur capacité à influencer la décision. II. Les actions en contre-pouvoir des parties prenantes   A. LE POUVOIR ET LES SOURCES DU POUVOIR DANS L’ENTREPRISE Pour Cyert et March, l’entreprise est une coalition d’individus aux aspirations disparates. Bien qu’ayant tous un intérêt dans l’entreprise, les individus ont des attentes différentes et contradictoires. Les décisions ne sont donc pas des choix optimaux mais

un environnement certain. La théorie du décideur à rationalité limitée: SIMON : Les décideurs, au regard de leurs limites physiques et intellectuelles ne peuvent envisager toutes les solutions. Les éléments théoriques contemporains : Cyert et March  Les acteurs d’une entreprise ne partagent pas tous les mêmes objectifs et les mêmes intérêts, ils devront donc négocier et les décisions résulteront de nécessaires compromis ; Au sein d’une entreprise, les objectifs organisationnels et

SCHUMPETER Joseph SLOAN Alfred Pritchard NORTON David LIKERT Rensis SIMON Herbert Alexander CYERT Richard Mickael MARCH James CROZIER Michel MINTZBERG Henry PORTER Michael PENROSE Edith

par le fait d’agir dans la démarche performance est faible : « D’autres se sont beaucoup investis, ils ont obtenu quelques euros d’augmentation, cela ne sert à rien de faire tous ces efforts ». 6. Traduisez le problème de management au sens de Cyert et March. L’entreprise Métaldec est composée de groupes d’acteurs dont les intérêts sont divergents : « entre les cadres et nous, il y a un monde. On n’a pas les mêmes objectifs » ; chacun cherche à faire prévaloir ses propres objectifs. Les conflits

par le fait d’agir dans la démarche performance est faible : « D’autres se sont beaucoup investis, ils ont obtenu quelques euros d’augmentation, cela ne sert à rien de faire tous ces efforts ». 6. Traduisez le problème de management au sens de Cyert et March. L’entreprise Métaldec est composée de groupes d’acteurs dont les intérêts sont divergents : « entre les cadres et nous, il y a un monde. On n’a pas les mêmes objectifs » ; chacun cherche à faire prévaloir ses propres objectifs. Les conflits

peuvent s’opposer aux décisions des dirigeants qui ne sont pas conformes à leurs intérêts (pour éviter que les clients et les ONG exercent un contre-pouvoir, Carrefour a décidé de ne pas vendre de produits contenant des OGM). Dans les années 1960, R.M. Cyert et J.M. March étudient le fonctionnement de l’entreprise et montrent qu’elle constitue une coalition politique. Elle réunit des « groupes de participants aux demandes disparates », ayant par conséquent des objectifs propres même s’ils ont tous un intérêt

leaders) ; La culture propre à chaque atelier risque également d'être un frein au changement. Les méthodes de travail de chacun vont être remises en cause ainsi que les équipes constituées (voir les coalitions d'acteurs aux intérêts divergents de CYERT et MARCH. Il y a un risque de refus du changement (cf CROZIER) La structure de l'entreprise sera modifiée à différents niveaux: répartition du travail, mécanismes de coordination (voir question 4) et contrôle du travail (« Les résultats àatteindre

ainsi que du cadre institutionnel qui structure la firme. => l’entreprise comme lieu de gouvernance d’intérêts divergents et lutte de pouvoir entre actionnaires et managers. 3 - l’analyser « behavioriste » (comportementaliste) proposée par Cyert et March (1963) conduit vers deux observations : a) l’entreprise est une forme organisationnelle « complexe, constituée de groupes aux intérêts divers, dans des rapports simultanés de conflits et de coopération » ; b) la firme est le lieu d’apprentissages

d’individus se soutenant mutuellement. L’idéal est de construire une organisation dont les objectifs concernent chacun personnellement, d’où une direction qui doit relativiser son autorité en cherchant à s’adapter aux individus qu’elle commande. | Richard CYERT (1921)James MARCH (1928)(Chercheurs et universitaires américains) | | La théorie du décideur politique | Les parties prenantesLa culture d’entreprise (BTS 2) | * Ils s’intéressent :.Au processus de dans les organisations ;.Au comportement de la

expliquer les structures internes des organisations sont quasiment inexistantes, mis à part les relations entre actionnaires et dirigeants. 3.2 - La théorie béhavioriste et la rationalité limitée La théorie béhavioriste élaborée principalement par CYERT et MARCH (34) représente un changement de paradigme par rapport au référentiel néo-classique traditionnel. Il y a en effet rejet simultané du raisonnement hypothético-déductif et de la conception habituelle de la rationalité. La théorie béhavioriste