Distance Hiérarchique Hofstede

I. Les approches sur la culture nationale : Hofstede et d’Iribarne Référence dans le domaine de la gestion, les travaux d’Hofstede sont le résultat d’enquêtes menées dans 64 filiales du groupe IBM. En effet, à partir de questionnaires administrés aux membres de l’organisation, il a pu relever les différences culturelles qu’il y a dans la manière de gérer d’un pays à l’autre. Ces différences, il les a regroupées en 4 dimensions : la distance hiérarchique (degré d’acceptation de l’autorité), le contrôle

de comportement des individus ; Un des premiers à analyser les interactions entre les déterminants culturels et les attitudes au travail fut le chercheur néerlandais Geert Hofstede .Il a ainsi pu dégager de cette étude 4 variables qui permettent de comparer les spécificités nationales. Et à partir de ces quatre variables, Hofstede débouche sur le positionnement de plusieurs pays selon leurs spécificités culturelles et managériales. Ces repères culturels sont : * L’individualisme par rapport au

sociologiques qui s’expliquent par référence à la culture qui prévaut dans l’organisation. La culture est un concept tellement complexe (Straub et all., 1998) que plusieurs définitions lui ont été données par les chercheurs. Nous en retenons celle de (Hofstede, 1991) qui introduit la notion de ‘programmes mentaux’ pour désigner, par analogie aux programmes informatiques, tous les processus acquis. Il définit ensuite la culture comme ‘la programmation collective de l’esprit qui distingue les membres d’un

nationales, afin de trouver les modes de management les plus appropriés. I. Les modèles d'analyse culturelle 1) HOFSTEDE a) L'importance de la distance hiérarchique entre un subordonné et son supérieur. Les cultures diffèrent sur la question de l'inégalité des individus. Certaines s'efforcent d'atténuer les inégalités, d'autres les acceptent. La distance hiérarchique est un indicateur du mode de pouvoir. Déterminants : - Plus le pays est proche de l'équateur plus la hiérarchie

culture » est un concept qui est observée selon des points de vue différents. Afin de documenter habilement notre écrit, nous définirons la culture d’entreprise selon la vision de Griset dans la première partie et les cultures locales selon celle de Hofstede dans la seconde. Toutefois, les dirigeants se mobilisent sur la notion de culture afin de l’observer (sens) mais surtout pour la contrôler. Néanmoins, la vision (notion, représentation…) du « contrôle » est aujourd’hui divisée (s’est élargie

La première dimension que Hofstede a mise en avant lors de l’analyse de ses données effectué grâce aux réponses de son questionnaire est la distance hiérarchique. Cette dimension indique le degré d’inégalité attendu et accepté par les individus. La mesure de cette dimension est la perception que le subordonné a du pouvoir de son supérieur. En effet le comportement de l’individu subordonné dépend de la représentation qu’il se fonde de l’autorité que bénéficie son chef. Selon les cultures, le

prend sens Les gens d’une même culture partagent donc des références qui font sens pour eux. Ensuite, chacun mobilise ces références différemment. Une conception dominante en management La culture vue comme une « programmation mentale »  Geert Hofstede (plus connu, étude très quantitative, très bien débroussaillé les questions culturelles, mais très limitée, Il parle de software d’ailleurs en anglais. Toujours vivant. Né en 28 aux Pays-Bas s’intéresse à la culture par le biais de la technologie

Relativité culturelle des pratiques et théories de l'organisation Par Geert Hofstede Annexes statistiques à l'étude Voir aussi: Culture and Organizations, Ch.7: Virtue versus Truth McGraw-Hill Company, London, 1991 Geert Hofstede s'est livré à une étude approfondie des valeurs liées au travail dans une cinquantaine de pays. Un recensement systématique des différences entre les cultures nationales lui a permis d'analyser les conséquences de ces spécificités sur I organisation des entreprises les

race de managers 7 La différence : menace ou opportunité ? 7 Aux sources du savoir 8 Le manager global 8 Première partie : culture et environnement 9 Chapitre 1 : la globalisation, inéluctable 9 Les limites du système hiérarchique 9 Stratégie de moindre coût ou de plus grand profit ? 9 La verticalisation 9 L'externalisation 10 La délocalisation 10 L'entreprise globale 10 Les qualités du manager global 10 Chapitre 2 : la culture, objet de

d’améliorer la qualité de vie au travail et la approfondie encore plus, en mettant en place un pyramide qui montre que les besoins individuels sont au centre de l’organisation. Cette pyramide de besoin va faire réagir certains auteurs comme BOLLINGER D et HOFSTED qui vont remplacés le besoins de réalisation de soi qui figure en haut de la pyramide par les besoins d’appartenances dans un contexte culturel. De même pour le théoricien MAC GREGOR qui s’est inspiré du modèle de MASLOW sur les besoins humains