Décision Centralisé Fayol

........................................................................ 22 1-2-2 LA SUPERVISION DIRECTE ................................................................................................... 23 1-2-2-1 L’héritage des travaux de J.H. Fayol (1916) ........................................................... 23 1-2-2-2 L’activité administrative............................................................................................... 24 1-2-2-3 Les principes d’administration ......

S’ils dépassaient le nombre, ils recevaient une plus grosse prime. Mais, s’ils n’arrivaient pas à respecter ce nombre, ils étaient immédiatement virés. 3) On dépossède les artisans de leur art et on leur impose des façons de faire, il n’y plus aucune décision à prendre, il faut juste s’exécuter. Il y a une séparation entre les cols blancs (ceux qui pensent) et les cols bleus (ceux qui exécutent). 4) Sélection scientifique et perfectionnement progressif des ouvriers. 5) Faire connaître la science du travail

« sur l’étude du temps de chacun sur le temps du travail ». * Division verticale : les individus exécutent, conçoivent et contrôlent. * Division horizontale : pour permettre de mettre en œuvre cette décision il faut qu’elle résulte d’un travail simple, en effet grâce à cette décision il faut utiliser la parcellisation c'est-à-dire découper le travailler en plusieurs tâches. L’intérêt de cette division est de permettre des économies d’échelles (baisse des coûts de production des biens par

identifié à son entreprise ; c'est aussi plus généralement le cas de la PME, que la célèbre manufacture d'épingles décrite par Smith pourrait illustrer. S'inspirant du modèle militaire, Fayol a consacré une grande partie de son oeuvre à expliciter la notion de commandement d'entreprise, nécessairement centralisé à ses yeux. S2) L'entreprise dirigée collégialement Dans un contexte de croissance de la taille des entreprises, de gestion plus complexe, de passage de l'effervescence innovatrice

des motivations (A. MASLOW, D. MAC GREGOR, F. HERZBERG) * L'ECOLE NEO-CLASSIQUE - Alfred SLOAN - Peter DRUCKER - Octave GELINIER * LES THEORIES DES SYSTEMES ET DE LA DECISION - Théorie des systèmes : Présentation et hypothèses préalables - Les théories de la décision (H.SIMON, R.CYERT, J.MARCH) - La théorie des jeux (O.MORGENSTERN, J. VON NEUMAN) *L'ECOLE SOCIO-TECHNIQUE (F.EMERY et E.TRIST) * LE NEO-TAYLORISME * ENTREPRISES ET PSYCHOPATHOLOGIES

INTRODUCTION Nous avons vu que les économistes considèrent l'entreprise, ou plutôt l'entrepreneur, comme un agent économique simple prenant des décisions d'optimisation rationnelle compte tenu d'une vision simplifiée (simpliste ?) du marché qui ne comprend que les quantités, les prix, le taux d'intérêt, et le coût des facteurs de production (capital et travail). Devant le caractère par trop irréaliste d'une telle vision, se sont engouffrés nombres de praticiens et de théoriciens de l'Entreprise

d'accès au pouvoir au sein de l'organisation. La rationalisation concerne également les différentes facettes de l'administration de l'entreprise (on parlerait aujourd'hui de management des organisations). La mise en œuvre de la rationalisation : Fayol Les constats concernent le fonctionnement de l'organisation, réduite à un problème d'ordre technique. L'organisation est décomposée en six activités : technique (production, transformation), commerciale (techniques de ventes et d'achats), financière

Caractère stable (mais pas figé  Chandler) • Caractère formel (organigramme, procédures)/ informel satisfaction/insatisfaction, étude du pouvoir, aspects relationnels). – Systèmes de gestion (P. Tabatoni et P. Jarniou) • Systèmes de processus de décision – Ils « finalisent », « organisent » et « animent » les actions collectives de personnes ou de groupes de personnes réalisant les activités qui leur sont assignées dans une organisation – Très liés à la structure mais sont plus dynamiques – Structure

s’apprécie en fonction de la rigueur de sa vérification.  Les théories reposent le plus souvent sur l’étude de grandes entreprises (notamment US) : - par des praticiens, ayant des responsabilités de direction ou en cabinet de conseil (Taylor, Fayol, Sloan, Drucker, Mintzberg, …) ; - par des théoriciens, parfois impliqués concrètement dans des entreprises (Weber, Mayo, Maslow, Lickert, Crozier, …).  Les théories reconnues et validées permettent de comprendre le fonctionnement des organisations

peut passer des objectifs de croissance ou d’internationalisation. Enfin, les finalités sociales ou sociétales sont parfois à la base d’objectifs concret en matière de rémunération ou d’emploi ou de citoyenneté vis-à-vis de la société. II. Les décisions stratégiques : 1) Définition : La stratégie peut être définie comme l’organisation d’actions coordonnées en vue d’atteindre un ou plusieurs objectifs dans le moyen ou le long terme. 2) Caractéristiques : Pour atteindre ces objectifs tout