Externalisation Et Chaine De Valeur

GLOBALES Après avoir réalisé un diagnostic stratégique, l’entreprise effectue des choix stratégiques au niveau global. Elle définit donc le type de stratégie globale qu’elle va mener : spécialisation ou diversification, intégration verticale ou externalisation. 1. Les stratégies de spécialisation et de diversification 1.1. Quelle différence entre spécialisation et diversification ? La spécialisation consiste pour une entreprise à se concentrer sur un seul métier dans lequel elle déploie ses ressources

Le choix d’externaliser, l’échange et le contrat Mots clés Sous-traitance et risques associés, externalisation, chaîne de valeur, faire ou faire-faire EM 1.4 fiche Fiche synthèse Les entreprises peuvent choisir de « faire faire », d’externaliser plutôt que de « faire » en interne pour diverses raisons. L’analyse de la chaîne de valeur la guide dans son choix De nombreuses activités liées à l’informatique peuvent être externalisées o o o o o o 1. La sous-traitance et l’externalisation L’externalisation

nombreuses. Parmi elles, l’externalisation est aujourd'hui considérée comme un facteur important de compétitivité, de flexibilité et de meilleure réactivité pour répondre aux nouveaux défis économiques (adaptabilité des offres, l'automatisation des chaînes et sophistication croissante des produits). Cette stratégie n’a cessé de croître depuis une dizaine d’année concerne aussi bien les activités industrielles que les activités tertiaires. L’externalisation est le processus par lequel une entreprise

focalisées sur les fonctions à faible valeur ajoutée, les politiques d'externalisation portent aujourd'hui sur des fonctions stratégiques, parmi autre la fonction logistique. En effet, si la logistique devient de plus en plus importante dans la gestion d’entreprise, elle requiert dans le même temps de plus en plus de moyens. Afin de ne pas disperser leurs actifs et de rentabiliser au mieux leurs investissements, les entreprises externalisent de plus en plus leur chaîne logistique. Leurs partenaires

création de valeur comme critère de choix entre l'intégration et l'externalisation. Les entreprises sont actuellement confrontées à un environnement économique qui se caractérise par la conjonction de plusieurs facteurs : des contraintes liées au processus de globalisation avec son corollaire qui est la montée de l'intensité concurrentielle ; la volatilité de la demande conjuguée à la nécessité d'une offre segmentée ; la prise en compte des attentes des actionnaires dans une logique de valeur actionnariale

définis par une direction en faisant intervenir à des degrés divers des motivations de profit et d'utilité sociale. Facteurs clef de succès Compétences requises pour être viable Compétences distinctes Compétences requises pour être le meilleur Valeur Degré d'appréciation de satisfaction lié à un bien/service Turn over Taux de rotation, rythme de renouvellement des effectifs Rentabilité Capacité d'un capital à dégager un revenu Solvabilité Capacité à rmb dettes et créances Productivité

Introduction : I. La Chaine de valeur 1.Définition d’une chaine de valeur 2Les liaisons au sein de la chaine de valeur 3Chaine de valeur et avantage concurrentiel 4.système de chaine de valeur ou la chaine de busines 5. La chaine de valeur fournisseur 6.La chaine de valeur et le choix entre intégration et externalisation  7.L’analyse de la chaine de valeur II. La chaine de valeur et le management international 1.Reconfiguration de la chaine de valeur de l’entreprise 2.Les

pour Electrolux ? 1) En utilisant le modèle VIP et les caractéristiques distinctives des décisions stratégiques, expliquez en quoi les problèmes d’Electrolux relèvent de la stratégie. Trouvez des exemples de chacun des éléments du modèle VIP (valeur, imitation, périmètre) Comme toute entreprise, Electrolux rencontre quelques problèmes. Ces derniers relèvent de la stratégie, car ils concernent directement l’organisation de l’entreprise. La stratégie est une réponse aux attentes des parties

des stratégies globales (pour recherche de masse critique, d’économie d’échelle, de complémentarités par alliances ou fusion,*…) -Logiques de recentrage sur les domaines d’activités stratégiques à forte valeur ajoutée, sur les compétences clefs* de l’entreprise amenant une externalisation* d’activités et le développement de partenariat; cad les frontières classiques de l’organisation s’estompent • des facteurs managériaux : Réconcilier réflexion et action, diffuser les savoirs dans l’organisation

chapitre précédent (quatre qua- lifiées d’élémentaires ; quatre plus élaborées) vont être reprises et détaillées : ◗ programmation et planification logistique ; ◗ pilotage des flux ; ◗ gestion des approvisionnements ; ◗ gestion des stocks ; ◗ supply chain management ; ◗ soutien logistique ; 1. Précisons de nouveau que notre objet est la logistique entendue comme fonction de soutien au sein d’entreprises dont le métier diffère, et non la logistique comme activité principale, ainsi qu’elle se rencontre