Glose Ordinaire Accurse

romain et droit canonique sont enseigné séparément. on enseigne la glose : méthode du commentaire linéaire 1er juriste : glossateur, sont spécialisés dans le droit romain. Juristes qui étudient décret de Gratien : décrétistes, ceux qui étudient décrétales, sont décrétalistes. Plus grands juristes : - Azon ( a commenté grand texte juridique du droit romain à Bologne en XIII) - Accurse ( fait synthèse des gloses précédentes : Grande Glose 1235) Plus grands commentateurs : Hostiensis ( en 1241 a écrit

ego"). Les premières tentative de synthèse des livres du Corpus Iuris Civilis sont l'oeuvre de Roger et de Placentin qui ont écrit des sommes (qui dégagent l'essentiel d'un édit du Corpus. Accurse est lui le premier glossateur à faire une récapitulation de tous les gloses de Irnerius à Azon. Cette "Grande Glose" finira par se substituer au texte du Copus lui-même. Apport des Glossateurs: -ils ont eu une influence décisive sur le droit qui d'art empirique s'est transformé en connaissance systématique

citoyens romains : possédaient des droits, ceux sont qui étaient là à la création de Rome ainsi que certains peuples devenus romains après avoir été conquit. Rome a colonisé beaucoup de lieux et a intégré dans son empire des étrangers. Les pérégrins ordinaires : Rome leur permettait d'être libre mais ne leur accordait pas la citoyenneté, ils pouvaient être citoyens que dans leur propre cité (leur droit va évoluer par la suite). Les esclaves : principalement des prisonniers de guerres. Ce sont des pérégrins

d'or du décrétale. C'est ceux qui avaient commencé à travailler sur les décrétales de Grégoire IX mais pas exclusivement, et savait faire appel aux notions présentées dans le décret de Gratien. Les décrétalistes vont se détacher de la méthode de la Glose qui est un commentaire très littéral, qui les poussera vers une commentaire plus général. Ils chercheront à résoudre les contradictions, à dégager les idées communes et à détaillé leur raisonnement propres sur les textes. Ils intéresseront beaucoup

Cervidius Scaevola (^) 169-177 177-180 180-192 193-198 198-211 211-217 212 Marc Aurèle Marc Aurèle + Commode Commode Septime Sévère Sévère + Caracalla Antonin Caracalla Constitutio Antoniniana (*) étendant le droit de cité à tous les pérégrins ordinaires Elagabal Alexandre Sévère Période d'anarchie [Vidéo 12] Aem. Papinianus (Papinien) (^) Iulius Paulus(Paul) (^) Domitius Ulpianus (Ulpien) (^) Aelius Marcianus (^) 218-222 222-235 235-284 [Vidéo 3] - Herrennius Modestinus (Modestin) (^)

fragment des compilations justiniennes, ils proposent une explication qu’on appelle une glose (mot grec signifiant à la fois la langue et le mot), remporté dans la marge des manuscrits. Ces manuscrits passent de main en main, de génération en génération, les gloses viennent s’empiler les unes sur les autres. Le commentaire devient peu à peu incompréhensible. Au début du XIIIème siècle, un enseignant nommé Accurse reprend l’intégralité des gloses sur les compilations justiniennes, pour ne conserver

plupart des délits, sont réprimés par l’Etat. (Largosensu = au sens large/ strictosensu= au sens stricte). Section 2 : L’administration ecclésiale de la justice : Premier niveau : La juridiction de droit commun qui est celle de l’Evêque, le juge ordinaire, l’ordinarius. Ce sont les prêtres qui vont donner des avis à l’Evêque dans le cadre de cette justice. Il n’y a donc pas d’élément laïque dans cette organisation judiciaire . Deuxième : le métropolitain, qui est à la tête d’une métropole dont vont

et à en expliquer le sens. Une glose est le résumé en une formule brève de l’interprétation par un professeur d’un texte de Droit romain. Le professeur lisait le texte dans le Droit romain et le résumait dans la glose (que les étudiants résumaient en marge de leur texte en précisant le nom de son auteur). Le but de l’étudiant était de connaître le plus grand nombre de gloses venant des glossateurs les plus réputés. On retient la grande glose de François Accurse, juriste bolognais, qui rassemble

haut Moyen âge, on peut mentionner d’abord les codes promulgués par les rois barbares, Ostrogoths, Wisigoths et Burgondes, aux Vème et VIème siècles. Après la renaissance du droit romain, à partir du XIème siècle, les glossateurs, tel Accurse ( auteur de La Grande glose, mort en 1260 ) et les commentateurs, tels Balde et Bartole ( auteur d’un Commentaire des compilations de Justinien, mort en 1357 ), font progresser la science du droit et répondent aux besoins en évolution de la société. Les canonistes

difficile à comprendre ; d’autant plus que le vocabulaire n’a pas facilité cette compréhension. Le sens du mot « laïc » est tout autre au départ : étymologiquement sont « laïcs » les non-clercs, du grec, laos « le peuple » et laicos « ce qui est commun, ordinaire par rapport à quelque chose de sacré ». Il s’agit de ceux qui s’occupent « de toutes les activités humaines terrestres, tandis que les clercs sont les gardiens de l’ordre religieux du monde et de sa destination céleste » (Guyon, p. 66). Donc au Moyen