Gorgias La Liberté

Théorique comme les sciences ou la physique est devenu aussi important, si ce n'est plus que le savoir empirique qui est la pour apporter une conduite raisonnable, une morale, une vertue de la conscience humaine par exemple comme le disait Platon dans Gorgias «  De quelle manière doit on vivre dans la la cité? » mais pour atteindre la sagesse, il faut pouvoir englober ces deux sortes de savoir. Donc la question « que vaut encore la recherche de la sagesse dans le monde moderne? » se pose. Pour répondre

si nous partons de ce principe, alors il paraîtrai bon de ne pas avoir de passions. Que serait alors une vie sans passion ? La passion c’est ce qui me donne de l’humeur. C’est aussi ce qui permet de supporter les difficultés de la vie. Platon dans Gorgias, fais tenir le discours suivant entre Socrate et Calliclès : « Socrate : Il est donc inexact de dire que les hommes qui n’ont besoin de rien sont heureux. - Calliclès : Oui, parce que, si c’était le cas, les pierres et même les cadavres seraient

raison ne peut donc pas être mise au service du mal. On peut prendre l’exemple du Gorgias de Platon où Socrate affirme que « il vaut mieux subir l’injustice que de la commettre »! En effet, l'injustice est un vice, une maladie de l'âme, c'est pourquoi nul ne peut vraiment la vouloir. Les philosophes des Lumières, eux, parleront de « raison éclairée » de l’être humain, une raison qui amène à la reconnaissance des libertés entre les individus, de l’égalité de tous, de la reconnaissance du principe de

Considérant que l'homme est un sujet a par entiere, un être actif, responsable de ses actions et non pas victime de ses désirs, celui-ci doit être en mesure de distinguer ce qui est bon pour lui et ce qui relève du superflu. Ainsi, Platon dans Le Gorgias explique que la seule chose éminemment désirable est la vérité, et que l'alliance qui unit corps et âme est la source de désirs contradictoires et qui nous dévient de notre réel objectif : la sagesse. Il s'agit donc de se debarasser de tous ces désirs

par la règle acceptée nécessaire de chaque domaine (« jeu de football », « étude des sciences ») que l’on est libre. La discipline et la règle une fois fait mien / une que l’on s’en ait approprié, permettent l’action libre et heureuse. . Pas de liberté sans lois et pas de bonheur sans discipline. « Formule du bonheur » = « Le bonheur est une récompense qui vient à ceux qui ne l’ont pas cherché » - le plaisir est une récompense qui vient à ceux qui l’ont cherché ; il n’est pas durable. Les « obligations

Parce que tout ce qui est mystérieux leur semble nuisible à l'ordre social, à tous les niveaux d'échange et de pouvoir, les puissants ont souvent peur de devenir illégitimes et les tyrans l'angoisse d'admettre leur ignorance (nous verrons, dans le Gorgias de Platon). Aristote (dates), disciple de Platon, est un important philosophe de l'antiquité grecque ; Il écrit qu'en général « nous délibérons sur ce qui dépend de nous, et peut-être effectué par nous » exclusivement, Ethique à Nicomaque, III, 3

nous amène à la notion d’illusion. Parfois imaginer est beaucoup plus intéressant que le désir en soi. Ceci est également en relation avec autrui car c’est une tentative de dépassement de notre individualité. Ce désir pose aussi la question de notre liberté , nous pouvons être dépendant de nos désirs. I – Le désir est manque : la nostalgie Désirer c’est vouloir ce dont on se sait dépourvu. On ne désir jamais ce que l’on ignore qui nous manque. On voit déjà ici la notion de conscience. La première

comme nous le montre Mozart dans l'air du catalogue. Don juan jouit de l'instant présent, de l'immédiateté du désir, ce qui au final causeront ça mort. Le désir devient donc une faiblesse qui ne mène qu'au vide. D'ailleurs, Platon le confirme dans Le Gorgias où il compare l'âme qui désir à un tonneau percé. On à beau remplir ce tonneau, il se vide toujours et épuise physiquement la personne qui essaie de le remplir. De même, on à beau satisfaire un désir, il en renait renforcé et épuise moralement le

pouvoir chercher le bonheur où il le souhaite sans juger celui des autres. Peut-on véritablement juger si quelqu’un est plus ou moins heureux que nous ou que quelqu’un d’autre ? Même les apparences du bonheur ne signifient rien. Dans son dialogue Gorgias Platon fait dire à Socrate qu’il ne peut savoir si le tyran Archélaos est heureux parce qu’il ne l’a pas rencontré en personne et ne peut donc se prononcer à son sujet. L’aurait-il fait qu’il ne l’aurait peut-être pas su non plus. Il existe tant de

cesse nouveau, serait semblable au tonneau des Danaïdes. Jamais satisfait. A l’inverse, cette passion pour le bonheur, cette recherche frénétique n’est pas une condamnation mais ce qui nous maintient en vie : un élan vital. Dialogue de Platon : Gorgias, où Socrate emploie ce fameux mythe. D’un coté Socrate dit que le bonheur consiste a réguler, accepter ce qui est suffisant, de l’autre coté, Calliclès dit qu’au contraire, le bonheur consiste à vivre en permanence avec une passion à satisfaire