Hobbes Rousseau Kant

s’adapter aux autres, les accepter tels qu’ils sont, sortir de l’état de nature où il vivait seul et indépendant. Rousseau : Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes : Pour Rousseau, l’homme a l’état de nature n’est pas violent et ne fait pas usage de sa force parce qu’il n’a pas de relations avec les autres. Il possède une certaine innocence, ce que Rousseau appelle la « bonté ». Sa socialisation va se faire par étapes : l’homme confronté aux obstacles de la nature va

l’entrepreneur. On a autant de descriptions d’activités différentes. Qu’est-ce qui est susceptible de réunir ces activités sous un même but et faire en sorte qu’elles soient politiques ? Le but du citoyen est de ‘exprimer, donner son avis. Mais, avec Rousseau, on peut dire que le but est d’exprimer ce qui est bon pour l’ensemble de la nation. Mandela s’est battu pour les droits des hindous. c) Aristote et la visée du bien commun en politique Ce bien commun est identifiable au bonheur, qui est l’accomplissement

La nature ne fait rien en vain.(Métaphysique) Aristote pense que tout a un sens dans la nature, qu'on n'y trouve rien d'inutile. Cette phrase va être considérée comme une évidence pendant plus de deux millénaires. On la retrouve, par exemple, chez Kant. L'art est imitation de la nature. Aristote pense que l'imitation est une tendance naturelle chez l'homme et qu'elle donne du plaisir. Ceci dit l'imitation n'est pas pour Aristote une pure copie mais une création car elle transpose la réalité en

qu'agent et du monde physique, ------------------------------------------------- Le concept de liberté divise très schématiquement les philosophes en deux camps : ceux qui en font le fondement de l'action et de la morale humaines (Épicure, Descartes, Kant), et ceux qui nient un quelconque dépassement de la volonté par rapport à des déterminismes telle que la sensibilité ------------------------------------------------- (Démocrite, Spinoza, Nietzsche) : Définition et critiques Une définition du

morale mais comment concevoir leur articulation ?     Peut-on soutenir une option idéaliste et considérer que la règle de droit procède de la règle morale à la manière du jusnaturalisme qui fait du droit naturel le fondement du droit positif ou de Kant qui opère   une déduction transcendantale du droit ? La perspective est séduisante mais elle ne va pas sans difficulté car comment comprendre que le légal ne soit pas toujours le juste ? L’esclavage, l’apartheid, la domination des femmes ont été ou

suit sans broncher. Le français Jean Jacques Rousseau est dans l’idée que l’homme est naturellement bon et que les lois freinent cette liberté. Plusieurs rêvent d’une société sans puissance dominante, où l’homme serait égal avec autrui. On les appelle les anarchistes. Le principe est qu’une société où il n’existe pas de chef, pas d’autorité unique, chacun se gouverne soi même. Mais cela créerait une importante hausse de violence, car comme le dit Hobbes, « l’homme est un loup pour l’homme ». La liberté

contre la monarchie absolue que naît au 17eme siecle la problématique du droit naturel et du contrat social. La justification philosophique de la monarchie absolue était double. 1Erement, elle s'appuie sur le concept de souveraineté (J.Bodin et Hobbes) : tout pouvoir par essence est indivisible. 2Ement, dieu est la source unique de souveraineté (justification théologique) : « tout pouvoir vient de Dieu » (dans l’épître romain de Saint Paul ». Le droit que détient le roi, représentant de Dieu

l'individu lui-même, dans sa nature d'être raisonnable et moral. L'individu et son droit constitue « le centre, et l'origine, de l'univers juridique » (M.Villey). Ex : Robinson isolé, ignore le droit mais conserve des droits. L'individu décrit par Hobbes dispose pleinement des droits que dans l'état de nature, avant la création d'une société et d'un pouvoir à qui chacun transmettra ses droits pour bénéficier du droit (objectif), seul moyen d'assurer la paix sociale et la sécurité individuelle. On

 which  require  ‘the  primacy  in  all  political  life  of  power  and   security.’  In  the  history  of  Western  political  thought,  Niccolo  Machiavelli  and   Thomas  Hobbes  are  usually  considered  realists.       Burchill,  Linklater,  Devetak,  Donnelly,  et  al.  Theories  of  International  Relations  4th   ed.  Palgrave  Macmillan,  London,  2009

............................................................................................. La critique de l’empirisme (David Hum) .......................................................................... La critique positiviste (Emmanuel Kant, Auguste Comte) ................................................ La critique marxiste ........................................................................................................... La critique de Nietzche .......................