Hofstede Suède

d’améliorer la qualité de vie au travail et la approfondie encore plus, en mettant en place un pyramide qui montre que les besoins individuels sont au centre de l’organisation. Cette pyramide de besoin va faire réagir certains auteurs comme BOLLINGER D et HOFSTED qui vont remplacés le besoins de réalisation de soi qui figure en haut de la pyramide par les besoins d’appartenances dans un contexte culturel. De même pour le théoricien MAC GREGOR qui s’est inspiré du modèle de MASLOW sur les besoins humains

culture en elle-même. Nous nous attarderons ensuite sur les notions d’ethnocentrisme et d’exotisme avant d’inspecter les dessous de la communication interculturelle. Enfin, nous aborderons la théorie des dimensions culturelles développée par Geert Hofstede ainsi que les apports de Edward T. Hall dans la caractérisation des différentes cultures avant de clore cet exposé. 2. Définition de la « culture » et de la communication interculturelle La définition de la culture proposée par Edward B

prend sens Les gens d’une même culture partagent donc des références qui font sens pour eux. Ensuite, chacun mobilise ces références différemment. Une conception dominante en management La culture vue comme une « programmation mentale »  Geert Hofstede (plus connu, étude très quantitative, très bien débroussaillé les questions culturelles, mais très limitée, Il parle de software d’ailleurs en anglais. Toujours vivant. Né en 28 aux Pays-Bas s’intéresse à la culture par le biais de la technologie

partenariat entre individus et pays engagés dans la coopération internationale ne peut et ne doit sous estimer l’importance de la variable culturelle. En effet, les méthodes d’expansion internationale des entreprises comportent un risque culturel (Hofstede, 2001). De même, les négociations internationales sont par nature interculturelles et intersubjectives (Pluchart, 1996). Toutefois, qu’on s’interroge sur l’impact de la culture dans la façon de gérer les fusions ou les entreprises conjointes

Relativité culturelle des pratiques et théories de l'organisation Par Geert Hofstede Annexes statistiques à l'étude Voir aussi: Culture and Organizations, Ch.7: Virtue versus Truth McGraw-Hill Company, London, 1991 Geert Hofstede s'est livré à une étude approfondie des valeurs liées au travail dans une cinquantaine de pays. Un recensement systématique des différences entre les cultures nationales lui a permis d'analyser les conséquences de ces spécificités sur I organisation des entreprises les

humains dont les idées et les actions diffère de celle des autres groupes a une «culture» (voir Frick et al., 1998, p. 43). Hofstede souligne également la relation entre culture et appartenance à un groupe. Il définit clairement la culture comme «la programmation collective de l'esprit qui distingue les membres d'un groupe ou d'une catégorie de personnes d'un autre» (Hofstede, 1994, p. 5). Selon Fukuyama (2001, p. 31-30), la culture englobe les valeurs, les normes, interprétations et des modes de

Tokyo Contingence culturelle G. Hofstede, 100000 questionnaires, 50 pays • Degré d ’ individualisme • Distance hiérarchique • Contrôle de l ’ incertitude • Masculinité/féminité ? F. Blanchot & M. Kalika Distance hiérarchique Suède USA Japon France Afrique ? F. Blanchot & M. Kalika Contrôle de l ’ incertitude Suède USA France Japon ? F. Blanchot & M. Kalika Individualisme Pays arabes Japon France Suède USA ? F. Blanchot & M. Kalika

antérieures). V - L’APPROCHE THEORIQUE  La thèse d’un lien entre: La culture d’un pays et les préférences en matière de style de management et d’environnement de travail a été confortée par les travaux de Hofstede et d’autres modèles notamment ceux de ,F.Tompenaars, F. Kluckhon et E.T. Hall. Geert Hofstede est un psychologue néerlandais né en 1928, inspiré par le culturalisme. Son approche de la culture est basée sur la définition donnée par l'anthropologue américain Kluckhohn: «la culture est la manière

tendance à hiérarchiser les cultures Pyramide du développement humain de Lewis Morgan L’ethnocentrisme est « une tendance qui consiste à penser que les caractéristiques d’un groupe, ou d’une race sont supérieures à celles des autres groupes ou races » Hofstede, Vivre dans un monde multiculturel, p: 268 L’ethnocentrisme est à l’origine de toute fermeture à la compréhension des différences et des spécificités culturelles Vers le polycentrisme La xénophilie est « l’attitude consistant à croire en la supériorité

80’, d’autres auteurs ont montré qu’au contraire les différences entre pays sont inévitables et que les cultures nationales (voire régionales) étaient importantes pour la culture d’entreprise. Ces auteurs sont notamment Renaud Sainsaulieu, Geert Hofstede… Ainsi cette partie, va s’intéresser au travail de ces deux auteurs. Leurs théories vont dans le même sens, c’est-à-dire que la culture d’entreprise ne peut être universelle et selon les pays, voire les régions, elle peut être très différente