Hofstede Suède

abondance et importer les biens qui sont rare. Exo :2 pays : A et Bpays A : 200 dotations en K et 250 au travail (ca pourrait être la chine)pays B : 100 et 100 (ca pourrait être la corée, la suède)chine : bien dotée en travail et en capital.Le pays B a intérêt à échanger avec A?K/TravailA =200/250 B=100/100Donc suède supérieur : elle a donc intérêt à se spécialiser dans le bien intensif en capital, et la chine dans celui en travail. | On échange car on est meilleur dans un secteur, spécialisé, problème

Malaisie) ont intérêt à privilégier un système de rémunération basé sur des différentiels salariaux importants entre les niveaux hiérarchiques, pour marquer les statuts. Dans le cas contraire, si la distance du pouvoir est jugée faible (par exemple en Suède, en Suisse ou aux Pays-Bas), les entreprises bénéficieront davantage d’un système égalitaire basé sur des stratégies de participation salariale tels les régimes de partage des gains de productivité. 2 sur 5 28/02/2012 09:48 Qu’est-ce que

d'interpréter le monde en fonction de notre propre contexte culturel et de notre propre expérience (complexe du Self Reference Criterion), il convient de les connaître et de savoir les relativiser a. le modèle d'Hofstede Geert Hofstede, chercheur d'origine néerlandaise, [Geert Hofstede, Vivre dans un monde interculturel, nos programmations mentales, Comprendre Les éditions d ‛ organisation, 1994 ], a élaboré, à la suite d‛une étude statistique très importante (13000 questionnaires administrés

d’abord relever que toute culture d’entreprise est influencée par la culture nationale et les sous-cultures. Celles-ci s’imposent donc à l’entreprise dans l’élaboration de la propre culture : laquelle se situent les individus qui habitent un pays » (G. Hofstede), qui explique les façons d’agir et de penser d’un groupe ; ainsi, la culture française est caractérisée par la défiance par rapport au pouvoir, l’individualisme, la valorisation du mérite… ; Les valeurs et les cultures nationales p. 111 D la culture

d’enfermer la culture d’un pays dans quelques dimensions. L’enquête couvre 72 filiales de l’entreprise IBM, 38 professions, 20 langues et deux périodes de temps. Elle a conduit au dépouillement de 116 000 questionnaires de plus de 100 questions chacun. HOFSTEDE initialement ne s’intéresse pas à la relation entre culture et volonté d’entreprendre. Il cherche simplement à montrer que la culture d’entreprise ne pouvait pas être la même dans toutes les filiales, car elle ne faisait nullement disparaître la

l’évolution du management, effectivement le management existe depuis plusieurs siècles avant d’être théoriser durant la révolution industrielle. Afin de répondre correctement à ce sujet, nous nous appuierons sur plusieurs théories comme celle de Geer Hofstede, qui a fait l’analyse des différences culturelles ainsi que sur les théories de Frederic Winslow Taylor, Adam Smith ect qui ont travaillés sur la division et organisation du travail pour augmenter la performance d’une entreprise. Ensuite, le management

Maroc. I) Les différences culturelles Définition de la culture « La culture, c’est la manière dont un groupe de personnes résout ses problèmes. » F. Trompenaars « La culture est par essence une programmation mentale collective. » G. Hofstede La culture est une notion extrêmement vaste. Déjà, en 1952, A.C. Kroeberet et C. Kluckhohm « avaient dénombré 164 définitions différentes du concept de culture dans la littérature ethnologique et anthropologique. » La culture découle de l’histoire

ca/comportement_organisationnel/1605fr.html 2. Cultures nationales et management 2.3. Autres modèles Le modèle de Triandis (1995) Typologie culturelle (pays, individus, domaine) ● ● ● ● Individualisme horizontal : des individus uniques et égaux (la Suède) Individualisme vertical : des individus uniques de statut inégal (sociétés compétitives : USA, pays anglo-saxons) Collectivisme horizontal : des individus similaires inclus dans un groupe et au statut égal (Israël, Japon) Collectivisme vertical :

l’universalité des pratiques de saine administration nous conduirait à des sociétés semblables » (Bollinger et Hofstede 1987, 15). Elle met au centre de ses analyses, le principe du « one best way of leading or managing ». « Ce principe d’évolution devrait s’appliquer même aux pays pauvres du Tiers-monde qui, eux aussi en devenant riches, seront administrés comme des pays riches » (Bollinger et Hofstede 1987, 15). L’approche de convergence défend radicalement dans toutes les situations, le mimétisme dans

états unitaires (où il n’y a pas de division du pouvoir, où la souveraineté n’est pas divisée : les collectivités sont sous le pouvoir législatif : Assemblée Nationale) qui peuvent mettre en place ou pas des politiques de décentralisation (ex : en Suède, Finlande et en France récemment). ( Cela peut avoir un fort impact sur les politiques de réformes managériales : . plus un état est centralisé plus il est endetté . plus les états sont décentralisés plus les réformes sont uniformes