Hume Contre Descartes

au centre de la construction des connaissances (Descartes, Locke, Kant). Les philosophes sont souvent de grands scientifiques (Pascal, Leibniz, Descartes), qui ne conçoivent pas la philosophie séparément de la science[6], ni des réflexions sur la religion[7]. Différents courants s'opposent concernant la nature des idées et des connaissances humaines, tels que l'innéisme et le rationalisme (Leibniz, Malebranche) contre l'empirisme (Locke, Berkeley, Hume). C'est aussi l'époque où la métaphysique,

autorisé par des règles logiques. On trouve des démonstrations véritables en mathématique. La question est de savoir s’il en existe ailleurs. ⎝ Le cas des sciences qui portent sur les faits matériels (y compris les actions humaines) Texte de Hume, extrait de l’Enquête sur l’entendement humain (1748) : « Tous les raisonnements sur les faits paraissent se fonder sur la relation de la cause à l’effet. C’est au moyen de cette seule relation que nous dépassons l’évidence de notre mémoire et de

philosophie? Débat de thèses. État d'esprit= recherche de la vérité de la sagesse Étymologie de philosophie: Sophia: Grec connaissance+ conduite de la vie (Le fait de se questionner de s'interroger acte philosophique.) Combat contre opinions préjugés. Lutter contre l'extrémisme le fanatisme Alain «  Le fanatisme est une passion violente pour la vérité ». Philein: aimer éprouver de l'amour pour qque chose. Lamartine:  « Un seul être vous manque et tout se dépeuple » Contradiction: Comment

1 Descartes, Les méditations métaphysiques. La méditation est un genre philosophique, une méthode de pensée qui permet au lecteur d’accéder par lui-même à cette philosophie. 1. Métaphysique : définition. Sens le + large : entreprise qui s’efforce, par les voies de la raison, de connaître les 1ers pcps de ttes chs : philo 1 ère . Chez Descartes : l’entreprise métaphysique se confond avec la volonté de donner 1 fondement absolu à tout le reste de la philosophie, ce qui, à l’époque,

|raison le reconnaît par opposition avec le Bien, sans le comprendre. Si l’on admet que le Bien n’est qu’un idéal rationnel, alors, le Réel est la Mal. Comment dès lors comprendre le Mal, réel contingent ? Si l’on veut comprendre le réel pour lutter contre le mal, alors la raison doit comprendre le mal. Or le Mal est le plus souvent considéré comme contraire à la raison. Dès qu’on cherche à comprendre les causes du mal, on se retrouve à dire quelque chose d’intolérable, en ce que ça tend à justifier

La conscience Introduction 2 I. Approches épistémologiques 2 A. Le cogito (Descartes) 2 1. La révolution cartésienne 2 2. Je pense, donc je suis 3 3. La logique du système cartésien 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) 5 1. Le « Je pense » est un principe d’unité qui est la condition de toute pensée 5 2. Transcendantal et transcendant 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts

l'incertitude qui permet aux sceptiques de prouver qu'il est impossible d'arriver à une vérité absolue. D'une autre manière , le scepticisme qui doute de tout conduit au principe de justification infinie ainsi que l'évoque dans un exemple le philosophe Hume: « Comme la matière a besoin d'une pensée pour s'organiser, pourquoi la pensée n'aurait-elle pas aussi besoin d'une justification sur son organisation?» On observe par cette réflexion que le questionnement est toujours réitéré à partir de ce qui est

TOC o 1-5 Introduction PAGEREF _Toc196743879 h 2 I. Approches pistmologiques PAGEREF _Toc196743880 h 2 A. Le cogito (Descartes) PAGEREF _Toc196743881 h 2 1. La rvolution cartsienne PAGEREF _Toc196743882 h 2 2. Je pense, donc je suis PAGEREF _Toc196743883 h 3 3. La logique du systme cartsien PAGEREF _Toc196743884 h 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) PAGEREF _Toc196743885 h 5 1. Le Je pense est un principe dunit qui est la condition de toute pense PAGEREF _Toc196743886 h 5 2

changement appelé révolution copernicienne se manifeste par une quête continuelle sur la nature du « savoir », qui avait commencé avec des scientifiques et des philosophes antérieurs à Galilée : Tycho Brahé, Francis Bacon (1561-1626)… • Descartes, ébauche les principes d’une méthodes scientifique (Discours de la méthode, 1637). Il écrit les méditations métaphysiques en 1641 et les Principes de la philosophie en 1644) tâchant d’inscrire la réflexion philosophique dans un cadre rationnel.

est un cynique qui se sert de son habileté à parler afin de faire passer pour vrai ce qui est faux et de persuader les naïfs qui l’écoutent.. A L’opposé du vrai philosophe, le sophiste ne croit pas à ce qu’il dit, car il est capable de plaider le contre aussi bien que le pour, n’hésitant pas utiliser raisonnements (justement appelés sophismes ».. Les sophistes se servent du langage comme d’un instrument au service du pouvoir de persuader sans se soucier de la vérité. Dans ses dialogues, Platon