Immunité Juridictionnelle Des Actes De Gouvernement

puissances publiques. Exemple : les fédérations sportives agissent par délégation. Ce sont des associations. Ces fédérations disposent de prérogatives de puissance publique. Les décisions prises sont des actes administratifs. L’administration au sens organique recouvre le président, le gouvernement, les services centraux mais aussi les collectivités territoriales, les établissements publics mais aussi des personnes privées qui agissent pour le compte des personnes morales de droit public. Il faut

titulaires mais aussi aux suggestions originales qui vont peser sur l’administration. L’étude des moyens juridiques seront étudiés, ils sont à la disposition de l’administration. Parmi tous les actes accomplis à l’occasion de l’action administrative, seuls seront examinés les actes juridiques en opposition aux actes matériels. Cette distinction est essentielle dans la doctrine administrative. Selon Cornu, l’acte juridique est une opération juridique consistant en une manifestation de volonté ayant pour

SOMMAIRE DU DROIT ADMINISTRATIF AFRICAIN 5. LES CARACTERES DU DROIT ADMINISTRATIF CHAPITRE 1 : LE CONTROLE DE L’ADMINISTRATIION SECTION 1 LE CONTROLE NON JURIDICTIONNEL (les autorités administratives indépendantes : le médiateur de la république, etc.…) PARAGRAPHE 1 : LE STATUT PARAGRAPHE 2 : LES ATTRIBUTIONS SECTION 2 LE CONTROLE JURIDICTIONNEL PARAGRAPHE 1 : LE CONTENTIEUX DE L’EXCES DE POUVOIR PARAGRAPHE 2 : LE RECOURS DE PLEIN CONTENTIEUX (RPC) OU PLEINE JURIDICTION (contentieux subjectif)

un rapport de subordination hiérarchique à l’égard du ministère de la Justice, et « magistrats du Siège » dont l’indépendance est garantie notamment par le principe d’inamovibilité, responsables civilement, pénalement et disciplinairement de leurs actes comme en attestent les sanctions prononcées par le Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Cette indépendance est-elle pour autant suffisamment assurée par l’organisation actuelle de la justice et notamment le Conseil supérieur de la magistrature

individuelle (art. 213 § 2 et 216 CE) Les membres de la Commission : exercent leurs fonctions en pleine indépendance, dans l’intérêt général de la Communauté, en particulier ils ne sollicitent ni n’acceptent d’instruction extérieure (venant d’un gouvernement comme de tout autre organisme) ; ne peuvent exercer aucune autre activité professionnelle, rémunérée ou non. Un membre de la Commission peut être démis d’office par la Cour de justice, à la demande du Conseil ou de la Commission elle-même : en

de déclenchement des poursuites, de conduite de l'instruction ou de jugement (V. n° 39 à 62). 1. - Si la Cour de justice de la République est régulièrement saisie de plaintes tendant à la mise en cause de la responsabilité pénale de membres du Gouvernement, sa formation de jugement ne se réunit que très rarement. Aussi faut-il poser la question de l'avenir de l'institution et de sa réforme (V. n° 63 à 78). Sommaire analytique Introduction I. - Origines A. - Problèmes de la responsabilité pénale

ADMINISTRATIF Le module de droit administratif comprend cinq (5) parties : 1 Le principe de la légalité administrative. 2 Le droit de l’organisation administrative. 3 Les moyens et finalités de l’action administrative. 4 Le contrôle juridictionnel de l’action administrative. 5 Droit de la responsabilité publique. INTRODUTION GENERALE Le droit administratif est une branche du droit Public. On distingue traditionnellement trois (3) branches au sein du droit Public : 1 Le droit

responsabilité juridique s’agissant des actes pris parle gouvernement. L’Etat doit être séparé des gouvernants. Les décisions sont prises par le gouvernement, mais 3c’est l’Etat en tant que personne morale (Etat pour administration). L’Etat est stable, permanent, contrairement au gouvernement qui change au gré de l’alternance politique. Les décisions sont prises par les gouvernements au nom de l’Etat : signature de l’Etat ; Permanence du droit : même si le gouvernement qui a pris la décision a changé

faiblesse : la Société ne compte pas parmi ses membres la jeune Union des Républiques soviétiques (URSS), ni les Etats-Unis, puissance inspiratrice du pacte. Cela a pour conséquence que la Société des Nations ne parvient pas à répondre à certains actes militaires, tels la prise de l’Ethiopie par Mussolini en 1932 ou la prise de la Manchourie par le Japon en 1936. En 1928, un traité relatif à la renonciation à la guerre est conclu entre le Français Briand et l’Américain Kellogg. Ce traité va rapidement

aliéner, accomplir divers actes de la vie juridique interne, agir devant les tribunaux dans son intérieur ou dans d’autres Etats.[4] Mais aussi, pourqu’il remplisse les conditions de son existence, l’Etat doit: – avoir un territoire (terrestre, maritime, aérien) qui constitue son corps, espace sur laquelle l’Etat exerce sa compétence ; – avoir une population, qui est un ensemble des personnes vivants sur le territoire d’un Etat ; – avoir un gouvernement, qui est un pouvoir