Indifférence Morale

vision paternaliste et bienveillante de leurs ouvriers qui sont un peu leurs enfants. Bien que ces grands patrons du XIXe siècle recherchent le profit maximum, ils essayent aussi de concilier leur âpreté naturelle au gain avec les conventions de la morale traditionnelle inspirées par la religion catholique (charité chrétienne). Comme d’autres patrons de l’époque les Schneider logent leurs ouvriers et leur offrent des infrastructures collectives (écoles, maternités, bains publiques). Les Schneider

naturelle: il est bien étrange qu’il en faille une autre. Par où connaîtrai-je cette nécessité? De quoi puis-je être coupable en servant Dieu selon les lumières qu’il donne à mon esprit et selon les sentiments qu’il inspire à mon coeur? Quelle pureté de morale, quel dogme utile à l’homme et honorable à son auteur puis-je tirer d’une doctrine positive, que je ne puisse tirer sans elle du bon usage de mes facultés? Montrez-moi ce qu’on peut ajouter, pour la gloire de Dieu, pour le bien de la société, et pour

comportement social, puis l'état va édicter une règle de droit et va donc transformer la conduite sociale en conduite juridique. Pour faire cela il faut regarder l'évolution des moeurs de la société. Para3 : Distingue devoir morale et règle de droit, les deux sont contraire, le devoir morale n'est pas sanctionné par l'autorité étatique alors que la règles de droit si. Dissertation Commencer directement par définir les notions mises en avant, ici c'est notamment le mot "le" qu'il fallait mettre en avant

compte. marques d'infériorisation du maître : - Arlequin refuse de lui obéir sur des faux prétextes (l.41 : « j'ai les jambes si engourdies), - petite chanson moqueuse et ambiguïté insolente du prénom Catin (Iphicrate = fille de mauvaise vie). - indifférence du valet au sort de son maître (l.23 et 59) => le maître perd l'assistance et protection du valet tentative pour amadouer Arlequin vaine car il n'est pas dupe (ex: politesse exagérer l.43) apparition de revendications du valet contre la brutalité

chinoise n'oblige pas à porter assistance à une personne en danger. La Chine réfléchit actuellement à une loi pénalisant la "non-assistance à personne en danger", notion jusque-là inexistante dans le pays. Mais pour moi le problème est surtout moral. Les limites entre le bien et le mal sont moins claires qu'avant. La valeur qui prime actuellement c'est l'hédonisme. L'atmosphère générale favorise l'immoralité. Les responsables mentent, les gouvernements ne tiennent pas leurs promesses, etc. Cela

le préjudice qui est la conséquence du dommage. Ce dernier peut être soit corporel, soit moral, soit matériel. Quatre conditions cumulatives sont nécessaires à la caractérisation du dommage, il doit être personnel, certain, direct et légitime. En l'espèce, Thomas a brisé le genou de Jacques en jouant au football, par conséquent le dommage subi par Jacques est corporel et moral (il y a toujours dommage moral) Les conditions cumulatives nécessaires à l'existence d'un dommage réparable sont donc

facultés pour faire des choix en évaluant les conséquences et le bien fondé de telle ou telle action. Contrairement à l’animal il a la possibilité d’opérer cette distance lui permettant de se représenter son but en le mesurant à ce qui est permis, moral ou non. En somme, l’homme n’est pas soumis à la seule nécessité de sa nature. Il peut agir dans cet espace de contingence qui dépend de ses délibérations et de ses choix. Transition Mais justement, cet espace de non détermination permet l’action

les principes moraux présents tout au long du roman sont douteux, la morale étant l’ensemble des règles de conduite relatives au bien et au mal. Or, justement, on remarque que Jana est déjà mère à seulement quinze ans, que Viktor a tué l’homme de l’observatoire car il n’aimait pas le fait qu’il faisait du bruit et qu’il perturbait le paysage et que Maria pense que puisqu’elle est née belle, elle peut se permettre de vendre son corps. Tous ces faits sur les personnages défient la morale humaine et les

ce sens, était universelle, elle était aussi difficile à atteindre, puisque seul le sage stoïcien était véritablement digne [3]. Or, l'idéal stoïcien du sage est excessivement difficile à atteindre. En outre, la sagesse stoïcienne implique une indifférence vis-à-vis du corps et de ses douleurs, n'apportant ainsi que peu d'aide dans les débats contemporains relatifs à la bioéthique [3]. La philosophie kantienne[modifier] Article détaillé : Philosophie pratique de Kant. La dignité, telle que conceptualisée

de l'acte III, Dom Juan représente la raison pure face à la foi. Par son échange de répliques avec le pauvre, il construit une sorte de syllogisme : il dit au pauvre que ses prières envers Dieu sont inutiles. Dom Juan veut démontrer sa totale indifférence à Dieu. Son argument a une certaine portée puisqu'il a raison, malgré ses prières, le pauvre reste pauvre. b) Dom Juan manipulateur et cruel : Dom Juan domine toute cette scène : il a le titre, le pouvoir et l'argent. Il le sait lui-même,