Ishikawa Des Non Conforme

concurrence croissante du secteur alimentaire. Conscient de ces enjeux, et désireux de parfaire son engagement qualité, l’Unité végétale des Conserveries XXXXX a décidé d’instaurer un système d’auto contrôle permanent qui a la possibilité de corriger les non conformités avant toute distribution du produit. Notre projet de fin d’étude s’inscrit dans ce cadre, il consiste en étude HACCP pour ses deux produits, la Confiture d’Abricot et la Pulpe. -1- HACCP 2007-2008 Chapitre I : Présentation

la « chasse aux stocks »). • le schéma de production : o l'entreprise produit en « tirant » sa production en fonction de la demande et non en « poussant » en fonction des capacités locales de production ; o les tâches productives sont standardisées de manière à faciliter l'amélioration continue par suppression des tâches non créatrices de valeur ; o l'entreprise entretient une relation partenariale riche avec ses fournisseurs et les incite à adopter ses méthodes

Compte exploitation  TDB Fonctions  processus et projets     29 sur 29 Points communs aux outils de gestion :  • Répondre à des besoins d’utilisation réguliers (mais non  quotidiens ; du mois à l’année)  • Que les besoins de décision ne sont prévisibles qu’en partie  • L’information est synthétique (volumes, quantités,…) et  non disponible immédiatement (pièces comptables après  clôture du mois)  • Répondre à des besoins liés aux objectifs (gains, normes  professionnelles, …)      30 sur 30

de l’échantillon n  taille de l’échantillon AVANTAGES DE L’ECHANTILLONNAGE Coût : Chaque fois que le coût de prélèvement d’un échantillon est inférieur à celui d’un recensement, il faut considérer le coût comme étant une raison acceptable (mais non suffisante) pour procéder à l’échantillonnage. Temps : La rapidité de la prise de décisions est souvent déterminante pour la bonne marche d’une entreprise. Il est clair qu’un recensement prend trop de temps et seul l’échantillonnage peut fournir l’information

Le KANBAN d. Le S.M.E.D e.Le M.R.P f. La T.P.M. 3. Autres outils a.Les audits b. Le Kaizen ou amélioration continue IV. Coûts de la qualité 31. Typologie des couts lies a la qualité : a.Cout de la non-qualité b. Cout de conformité c.Arbitrage entre cout de la conformité et cout de la non-qualité 2. Méthodes de gestion de la qualité a.Méthode traditionnelle: le contrôle technique à posteriori b. Méthode récente : le contrôle intégré de la qualité B. La qualité au Maroc I. Evolution

Mot-clé des normes défini par le comité technique de l'ISO en 1979, le terme « Qualité » fait également partie du langage courant mais n'a pas le même sens dans les deux cas. Lorsque les enquêtes du Ministère de l'Industrie annoncent que le coût de la non-qualité peut atteindre 10% du chiffre d'affaire d'une entreprise et jusqu'à 20% du montant de la valeur ajoutée, elles se réfèrent bien sûr à la définition normalisée. La qualité, c'est l'ensemble des caractéristiques d'’un bien, d'un service, d'un

parviennent-ils à atteindre les objectifs de contrôle interne d’une part, et d’autre part dans quelle mesure assurent-ils l’atteinte de « l’Efficacité , Efficience, Economie » . Et pour y parvenir j’ai suivi la méthodologie d’audit interne reconnue conforme aux pratiques en vigueur. Le présent travail se compose de deux parties principales , la première qui fournit un certain bagage documentaire en terme de savoirs en guise d’introduction à la compréhension de la notion de contrôle interne dans le

création publicitaire qui existe depuis 10 ans. C’est une petite structure qui évolue dans un environnement hyperconcurrentiel et plutôt hostile qui présente plusieurs particularités structurelles. L’environnement dans lequel elle évolue est, par essence, non maîtrisable puisqu’il relève de paramètres externes à l’entreprise qui convergent bien souvent vers des intérêts qui ne sont pas ceux d’RGB (fournisseurs, clients…). La situation économique actuelle touche de plein fouet ces petites structures. Il apparaît

contre paiement.  Philipe KOTLER propose la définition suivante : « un service est une activité ou une prestation soumise à un échange, essentiellement intangible et qui ne donne lieu à aucun transfert de propriété. Un service peut être associé ou non à un produit physique»2.  D’après C. LEVELOCK le service est 3: « une action ou une prestation offerte par une partie à une autre bien que le processus puisse être lié à un produit physique, la prestation est transitoire, souvent intangible par

ménage .............................................8 • La recherche de la performance est un comportement naturel et logique ..........8 • Le travail fatigue, le travail coûte cher, deux raisons d’être efficace ................11 • Les sources de non-performances ...................................................................14 • Quelques définitions pour expliquer les règles du jeu de l’optimisation ..........17 Le management systémique par les processus ...............................