Ishikawa

moyens financiers. La figure 8.11 donne un exemple de la structure d’un diagramme Ishikawa (causes-effets). 50. Kaoru Ishikawa (1915-1989) était un ingénieur chimiste japonais, précurseur et théoricien de la gestion de la qualité. Clé n° 7 PDCA 153 Sur chacun des axes « causes » se greffent un certain nombre d’axes secondaires caractérisant les « sous-causes ». Figure 8.11 Structure d’un diagramme Ishikawa (causes-effets) ● Les risques pour la santé et la sécurité au travail Tout

impératif de mettre en place des actions de progrès afin d’éradiquer les problèmes. À ce titre, les démarches s’inspirant des approches qualité (EFQM, qualité totale, cercles ou groupes de qualité) s’avèrent très utiles. Par exemple, une approche de type Ishikawa adaptée au point de vente permet d’analyser toutes les origines des causes d’insatisfaction client sur chaque étape du processus « Parcours client » (voir chapitre 6). Ainsi, pour identifier les causes potentielles et dans un souci d’exhaustivité

 GESTION   Étapes     Identification  du  problème   Outils   Pareto   Matrice  de  priorité   Remue-­‐méninge   Diagramme  d’affinités  ou  de  relations   Remue-­‐méninge   Diagramme  d’affinités   Diagramme  Ishikawa   Diagramme  de  procédé   Diagramme  de  relations   Diagramme  de  relations   Matrice  de  priorité   Remue-­‐méninge   Diagramme  d’affinités   Matrice  de  priorité   Remue-­‐méninge   Diagramme  de

impératif de mettre en place des actions de progrès afin d’éradiquer les problèmes. À ce titre, les démarches s’inspirant des approches qualité (EFQM, qualité totale, cercles ou groupes de qualité) s’avèrent très utiles. Par exemple, une approche de type Ishikawa adaptée au point de vente permet d’analyser toutes les origines des causes d’insatisfaction client sur chaque étape du processus « Parcours client » (voir chapitre 6). Ainsi, pour identifier les causes potentielles et dans un souci d’exhaustivité

nombreux chercheurs japonais ont repris les mêmes idées, remarquant eux aussi le caractère discontinu de la qualité ainsi que l’existence de contributions variables à la satisfaction. Parmi eux se trouvent S. Mizuno (1971), S. Kojima (1972), K. Ishikawa (1973) ainsi que Noriaki Kano et Fumio Takahashi (1979). Ces derniers ont publié en 1984 la plus illustre des études sur ce sujet (appliquée au secteur commercial). C’est elle qui semble donner le coup d’envoi aux travaux subséquents portant sur

Face à l’émergence des nouvelles technologies, la Paositra Malagasy devrait attacher une insistance particulière sur la formation et le recyclage du personnel afin qu’il puisse être capable et compétent vis-à-vis de ses attributions. Ainsi, selon Ishikawa[11] le contenu des programmes de formations devrait comprendre : - des méthodes statistiques simples permettant d’analyser et d’appliquer des améliorations ; - une formation pratique (opposée à la formation académique) et l’étude des cas réels ;

fonctionnement. Cinq grandes familles ont été identifiées : • l'organisation • la documentation • la technique • les hommes • le milieu et l'environnement La figure 2 montre l’architecture de diagramme causes effets «Ishikawa » [pic] Figure 2 Diagramme causes effets (d’Ishikawa) Section II : les outils d’analyse des processus logistiques Les outils d’analyse sont différents mais l’outil le plus pertinent est la méthode

terrain (bottom up), des priorisations claires et réalistes des projets, de vraies animations de chantiers d’amélioration – La boite à outils Lean avec des outils de visualisation (type mapping), de comprendre les causes de dysfonctionnement (diagramme Ishikawa, kanban, planification/suivi d’actions tels que PDCA, et créer un environnement propice au progrèscomme le 5 S © Confidentiel JL LEBASCLE 11/12 septembre 2008 – v1- Page 77 Les secteurs d’activité sont nombreux à avoir rejoint l’industrie

reposer sur des techniques de questionnement : - QQOQCCP (Qui fait Quoi ?, Où ? Quand ? Comment ? Combien ? Pourquoi ?) ; - 5 pourquoi (5W), pour arriver à la véritable cause. ( Le diagramme causes-effets en arêtes de poisson (Ishikawa) permet la recherche des causes d’un problème : - on construit collectivement un graphe montrant les facteurs qui affectent la qualité au long du processus de production ; - les causes sont réparties en 5 catégories ou 5M (matière, matériel, méthode

produit), ce ne sont pas les outils idéaux pour rechercher les causes d’une défaillance avérée ou potentielle. L’outil le plus classique, spécifiquement conçu pour la recherche de causes, est le diagramme causes-effets aussi appelé diagramme d’ISHIKAWA (Ishikawa 1985). Il permet d’organiser le brainstorming d’un groupe de travail pour rechercher l’ensemble des causes d’un événement donné (Ozouf 2009). Pour rechercher les causes de manière exhaustive, l’outil le plus approprié est l’Arbre de Défaillances