Justice Restaurative

peut avancer Les valeurs permettent l’évolution de la société. Société sans fondements = société archaïque, désorganisée qui n’a aucune cohésion interne. Une société qui ne met pas en place des institutions émergeantes de grandes valeurs tel la justice, la politique, l’ordre : assure sa destruction. Hobbes définit l’état de nature où « l’homme est un loup pour l’homme » et que la socialisation de l’homme qui s’effectue par un calcul de la raison permet seul l’Etat civil : intérêts à se réunir

En conséquences il n'y a plus de pouvoir public, le pouvoir c'est le roi. Le mot ''publicus'' sert désormais à designer ce qui appartient au roi. A l'époque mérovingienne, il n'y a pas d'ordre public on a la paix du roi, pas de justice publique à la place on à la justice du roi, ni de finances publiques. Le roi n'est pas un chef d'état au sens romain et ce n'est pas non plus un chef d'état au sens moderne, le roi mérovingien est en fait un chef militaire et il a le titre en latin ''rex francorum''

LIEN AVEC LA FONCTION Le principe de séparation des pouvoirs interdit que le président de la République puisse être jugé par des tribunaux ordinaires pour des faits commis dans l’exercice de son mandat. Il ne peut être jugé que par la Haute Cour de justice de la République. Instituée par la constitution de 1958, elle avait à l’origine la double mission de juger le président de la République « en cas de haute trahison », et les membres du gouvernement pour les « crimes et délits commis dans l’exercice

totalitarisme et en faveur d’un gouvernement républicain et démocratique. Toutefois, même en démocratie, la question du rôle de l’Etat se pose afin de savoir s’il doit s’effacer devant l’initiative individuelle ou s’il doit intervenir pour garantir la justice sociale ? Enfin, si l’Etat a été une nécessité historique, il n’est pas impossible de penser qu’il peut être remplacé par une autre forme d’organisation de l’ordre social.

ferme définitivement la voie de la réhabilitation. Il a fallu toute la persuasion de son frère pour qu'il accepte. C’est à partir de ce moment que la presse et l'opinion publique se désintéressèrent de l'Affaire. Après 12ans de problèmes avec la « justice », le 12 juillet 1906, Albert Dreyfus fut réhabilité. Dreyfus est le coupable idéal pour les antidreyfusards : il est d'origine alsacienne, a des liens familiaux avec l'Allemagne, connaît parfaitement la langue et la culture allemande

unique de pouvoir manifester leur volonté de participer plus à la vie de la société, plus particulièrement participer au pouvoir politique. Ils souhaitent ainsi pouvoir revendiquer certains droit comme celui de l'égalité face à la justice. En effet, ils souhaitent que la justice soit pareil pour tous quel que soit leur classe sociale, que tout les présumés coupable passe devant les même tribunaux afin d'être juger et que le procès soit équitable. Il souhaitent être traité de manière la plus égale possible

monde animal, la seule règle établit entre les espèces et connue jusqu’à aujourd’hui est la loi du plus fort. Il n’existe aucune mesure qui puisse protéger les êtres les plus faibles, aucunes justices. Dans nos sociétés une justice s’est mise en place et si l’on simplifie son rôle, elle a le pouvoir de rendre justice « aux gentils » et de punir « les méchants ». Les animaux eux ne perçoivent pas le bien du mal, le juste de l’injuste. Puis, l’homme est libre parce qu’il a conscience de l’être : il a

guerres de religion en France. Les corps déchirés, le sang en coulant, l’infanticide, la famine… Cet extrait de v. 1271-1300 à la fin du Livre Premier : Misères montre une prière des Protestants à Dieu. C’est un cri adressé à Dieu pour demander la justice. Cette prière qui termine le livre où s’exprime la foi de l’Eglise persécutée, est une sorte de centon de verset biblique(H. Weber). Il a une strophique de quatrain à rime plat. On peut le découper en trois mouvements : I. Vers. 1271-1276 :

Faire justice est-ce une façon déguisée de se venger ? On dit souvent de celui qui veut se venger qu'il réclame justice, c'est-à-dire l’administration d’une sanction au coupable. Ainsi, dans un premier temps, on pourrait penser qu'en punissant le criminel, la société venge sa victime. En effet à un mal subi, on répond par un mal infligé or il est vrai que la vengeance se définit par l’action par laquelle une personne offensée, inflige en retour et par ressentiment un mal à l'offenseur afin de

dans cette lettre il dénonce l’erreur judiciaire et réclame la révision du procès c’est alors que la France se divise en deux avec les Antidreyfusards et les Dreyfusards. Les Antidreyfusards défendent l’Armée, à laquelle on a reproché un déni de justice, et son honneur, c’est pourquoi ils ne peuvent pas accepter la révision du procès car ça impliquerait une mise en cause implicite de l’armée. C’est un courant nationaliste et antisémite qui se dégage, qui est soutenu par les conservateurs et les monarchistes