Kaplan

généralement financière. Le bénéfice net, le bénéfice par action et le rendement sur capital investi figurent parmi les indicateurs traditionnels connus et utilisés par les entreprises. Dans un environnement de plus en plus complexe et turbulent, Kaplan et Norton (1996) avancent que ce type d’indicateurs ne suffit plus à saisir toutes les facettes de la performance des entreprises. Les entreprises elles-mêmes reconnaissent qu’il faut adapter les systèmes actuels de mesure de la performance. Comme

satisfaire nos clients, dans quel processus excellons-nous? Perspective de croissance et d’apprentissage Pour atteindre notre vision, comment l’entreprise apprend et s’améliore? Perspective financière 1. La Perspective Financière (Financial) Kaplan et Norton ne négligent pas le besoin traditionnel de données financières. Des données financières à jour et précises seront toujours une priorité, et les dirigeants veilleront toujours à les fournir. En fait, il y a souvent une manipulation et un

par la méthode OVAR (Objectifs, Variables d’Action, Responsabilités) élaborée par le Groupe HEC et présentée par Löning et Pesqueux (2003) et une conception américaine que nous identifierons par le Balanced Scorecard ou tableau de bord prospectif de Kaplan et Norton (1998). Ces derniers voyaient déjà à travers leur conception du BSC un outil de déploiement d’une stratégie de croissance durable pour l’entreprise à travers une meilleure réponse aux attentes des clients. Pour une traduction opérationnelle

Ils constituent également un bon outil de communication entre les responsables des divisions opérationnelles et la direction générale. B. Le tableau de bord prospectif L’évolution des tableaux de bord doit beaucoup à deux économistes, Robert Kaplan et David Norton, qui, dans leur ouvrage The Balanced Scorecard Measures that Drive Performance, 1992, ont développé le concept de « tableau de bord équilibré » (balanced scorecard). L’idée principale du tableau de bord équilibré est qu’il est nécessaire

ScoreCard VALEO MSCG_2006 I. Présentation du concept du tableau de bord prospectif 1. Définition du concept, son intérêt et sa finalité Vers les années 90, une nouvelle approche du management stratégique fut développée par les docteurs Robert Kaplan (Harvard Business School) et David Norton : le « balanced scorecard » ou le tableau de bord prospectif était présenté comme un système de pilotage stratégique de la performance, dérivé de la vision et de la stratégie initiales de l’organisation et

numérique et son fonctionnement « horizontal » percute les modèles de gouvernance : tout ne vient désormais plus que d'en haut, les TIC favorisent la diffusion « bottom-up ». Un nouveau modèle qui pose la question de la posture de l'autorité. Pour Daniel Kaplan, délégué général de la FING : « Les élus se trouvent désormais dans un environnement bruyant dans lequel leur point de vue se réduit à un seul point de vue parmi d'autres, il leur faut changer leur façon de penser ». Selon Pascale Luciani-Boyer, adjointe

ensuite être reclassées en deux catégories, mais cette fois ci elles sont caractérisées par un aspect plus technique lié à la différence de la turbine utilisé. Le premier type de turbine s'installe sur un plan vertical, c'est le modèle Kaplan. Le modèle kaplan etant monte sur un plan verticale prend plus de place et les structures sont plus complexes, avec différent niveau d’eau. Le second type et construit sur un plan horizontal, modèle Bulbe. Ce modèle plus récent et permet d’économiser

valeur ajoutée et les coûts de sans une valeur ajoutée, parce que la conception de tenir compte seulement des coûts et d’ignorer la valeur este intolérable. Ce sont les considérations pour lesquelles une série de chercheurs américains (R. Cooper, Kaplan, Porter, Miller) et français (Mevellec, Labas, Lorino) ont conçu et ils ont développé un autre système de gestion connu sous le nom de ABC (Activité Basé sur le Coût) ou ABM (Activité Basée sur le Management) et qu’on veut présenter de manière succincte

et Human Security Brief, décembre 2006. Disponibles sur www.humansecuritycentre.org/ (4) B. Tertrais, La Guerre sans fin. L’Amérique dans l’engrenage, Seuil, 2004. (5) G. Chaliand, Terrorismes et guérillas, Complexe, 1992. (6) W. Kristol et L.F. Kaplan, Notre route commence à Bagdad, Saint-Simon, 2003. (7) F. Gros, États de violence. Essai sur la fin de la guerre, Gallimard, 2006. (8) B. Badie, L’Impuissance de la puissance. Essai sur les nouvelles relations internationales, Fayard, 2005 ; Z.

amis », et de gérer ainsi une liste de contacts. L’expression « médias sociaux » recouvre les différentes activités qui intègrent la technologie, l’interaction sociale (entre individus ou groupes d'individus), et la création de contenu. Andreas Kaplan et Michael Haenlein définissent les médias sociaux comme « un groupe d’applications en ligne qui se fondent sur la philosophie et la technologie du net et permettent la création et l’échange du contenu généré par les utilisateurs »3. Les médias