La Connaissance Scientifique Peut Elle Se Passer Du Doute

Fiche synthèse 1 : La conscience Est-ce que la conscience qui nous définit ? La pensée établit la certitude de notre existence 1) La pensée établit la certitude de notre existence conscience = exprime l’idée d’une connaissance. Latin = cum (avec) science (savoir) Conscience = vois intérieur qui reflète l’image de ce que l’on est. L’animal se différencie de l’Homme car il ne dispose pas d’une conscience mais juste d’un instinct Dénégation = processus psychologique pour traiter la névrose

interdisciplinaire des sciences cognitives, des réponses au moins partielles à bon nombre des questions que se pose, depuis Platon, la philosophie de la connaissance. Ils commettent donc, sciemment, une erreur philosophique capitale, dénoncée une fois pour toutes par Husserl et Frege au début du siècle, le psychologisme. Que la philosophie de la connaissance puisse ou doive s’appuyer sur la psychologie est une thèse, une autre, plus radicale, est que la première n’a d’autre choix que de se fondre dans la

intimement liée, la philosophie n'a pas d'objets d’étude propre. Elle s’intéresse à tout, mais elle a toutefois une prédilection pour certains domaines telles que la logique, l’éthique, la métaphysique, la philosophie politique et la théorie de la connaissance. La définition de la philosophie demeure un sujet controversé. Car il y a autant de courants philosophiques que de philosophes, ce qui rend impossible une définition unanime, acceptée par tous. Les difficultés à définir la philosophie sont, en

l’univers Désacralise la connaissance sur les grandes vérités qui sont accessible par la raison Ouvre la porte à des nouvelles conceptions de l’être humain 2. La découverte de l’Amérique Impacts sociaux : Le contact avec des nouvelles civilisations ayant des mœurs (façon d’agir) différentes ébranle les convictions morales des Européens. (développe la pensée critique) Nouvel exploit technique et scientifique mettant à l’avant plan la primarité de la raison dans la connaissance de monde et la maitrise

contraire », il remet en doute le concept de normalité et outrepasse les frontières de l’absurde. Il cherche ce qui fait sens et ne fait pas sens. Il remet sans cesse en question ses propres actions au cours de ses expériences, ne reniant pas, ainsi, être une contradiction en lui-même. Il n’aboutit jamais à des certitudes et s’interroge sur sa capacité à en avoir. Un certain relativisme qui ne peut que rappeler notre bon vieux Descartes et son fameux doute cartésien. On pourrait

chaque dimanche à la messe, le mariage et la mort représentait avant tout des sacrements religieux et l’Église était le lieu où on socialisait, débattait et où on apprenait les nouvelles du royaume. C’est alors que l’exode rural, le développement scientifique et d’idées-nouvelles ont chambardés cette organisation qui poussait l’homme à penser et agir selon les commandements de l’Église. En 1784, période où la philosophie des Lumières est à son comble, le penseur Emmanuel Kant écrit un texte qui résume

j'annonçais qu'au cours du prochain, je chercherais à répondre à la question suivante : qu'est-ce qui pousse des individus à donner leur adhésion à des phénomènes insuffisamment démontrés ou à des systèmes de croyances dépourvus d'appui scientifique? On peut expliquer l'influence qu'exercent les pseudo-sciences par cinq grandes catégories de facteurs : des facteurs historiques, des facteurs reliés à la nature humaine, d'autres reliés au climat socio-culturel, d'autres reliés à l'éducation ainsi

croyances ? Depuis des millénaires, l'Homme est à la recherche de la vérité et cherche a trouvé le sens de la vie. Ses croyances infinies lui ont alors permis de développer des sciences et d’acquérir de nombreuses connaissances. Cependant ces croyances sont-elles la vérité? Comment peut-on arriver à douter de certaines choses ? Pourquoi certaines personnes peuvent affirmer un fait alors que d'autres le démentent catégoriquement ? Une question alors se pose, si nous oublions tout ce que nous connaissons

une démarche intuitive. L’ironie permet de mettre à jour une ignorance inconsciente. La maïeutique est l’accouchement des esprits. La mère de Socrate était sage-femme. Socrate, lui mettait au monde la vérité par la maïeutique qui met à jour une connaissance dont nous n’avions pas conscience (mythe de la réminiscence). L’induction est une démarche qui va du particulier vers le général. Elle permet de donner une définition en regroupant tout ce qui est commun à une notion. Socrate entendait les voix

présente le I et II partie. Dans l’avis de Hayek, il pense que si nous avons une connaissance complète des moyens disponibles alors construire un ordre économique rationnel devient simple. Mais les données à partir des quelles se fonde le calcul économique ne sont pas et ne peuvent pas être, lorsqu’elles concernent la société toute entière, « données » pour un individu, donc la question est de comment utiliser les connaissances dispersées dans l’individu social. Ensuite, l’auteur a proposé 3 types de