La Perfection Physique

Tous les talents de l'Homme s'accomplissent et se développent dans le travail. L'existence de l'Homme est vide si elle n'est pas remplie par le travail. Sans but, la vie de l'Homme est misérable. Le repos permet la reconstitution des forces physiques et psychiques pour pouvoir travailler à nouveau. Repos = suite du travail. L'oisiveté est la négation du travail. Le loisir permet à l'Homme libre de ne pas être oisif. Le repos c'est le moment où l'Homme peut contempler son œuvre et en tirer une

des faits scientifiques. Cosmologie d’Aristote Selon Aristote, chaque chose est « d’autant plus parfaite qu’elle échappe au devenir » . Pour ainsi dire, plus une chose se rapproche des quatre formes du devenir, plus elle s’éloigne de la perfection quand à sa substance. Rappelons nous que la substance est une chose concernée par le mouvement et le changement . En fait, Aristote croyait que plus une chose s’éloignait du Devenir plus elle tendait vers le mouvement uniforme qui est celui de

l’imperfection d’un personnage ne peut-il pas faire, sinon son charme, son intérêt ? Lorsqu’il commence un roman, le lecteur attend souvent de sa lecture certaines satisfactions qui peuvent être liés à la valeur des personnages, à leurs perfections. Alors quand les défauts du héros sont soulignés, il peut être déçu, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, la beauté des personnages et leurs valeurs humaines font partie de conventions romanesques traditionnelles. La description de M. De Nemours

d’analyse sera le suivant :   I-Un portrait d’exception inspirée du roman héroïque II- Une éducation soignée et originale III- La vision pessimiste de Madame de La Fayette   I- Un portrait d’exception inspirée du roman héroïque   1-  Un portrait physique idéalisé à la manière du roman héroïque  Le portrait est un genre littéraire très recherché au XVIIème siècle, il utilise le registre épidictique de l’éloge pour célébrer les qualités du personnage. –  Champ lexical de la beauté, 3x le mot beauté

d'une substance infinie (Dieu), [lui] qui [est] un être fini, si elle n'avait été mise en [lui] par quelque substance qui fût véritablement infinie". C’est-à-dire qu’il n’aurait pas pu produire une idée dont la réalité objective -ici l'infini, la Perfection, Dieu- dépasse sa condition, qui est celle d'un être fini et imparfait. De même: "comment serait-il possible qu’ [il] pusse connaître qu’ [il] doute et qu’ [il] désire, c'est-à-dire qu'il [lui] manque quelque chose et qu’ [il] n’ [est] pas tout

contre l'excès de l'esthétique de la Pléiade. Le beau est un critère absolu, non subjectif et dont la raison est le principe. Les enjeux sont didactiques (Plaire et Instruire), le gout du naturel selon la règle de vraisemblable, la maitrise de la perfection par le travail qui doit se rendre invisible. Il dénonce la puissance de l'imagination, les troubles de la passion, la faiblesse de la raison et de la volonté et célèbre la toute puissance de Dieu. Ainsi le poète doit se contenter d'être un "honnête

un ensemble de procédés qui ont pour but de produire quelque chose. La technique s’apprend, elle n’est pas innée. La nature peut être vue, elle, de deux façons différentes. Tout d’abord, elle est l’ensemble des choses qui tombent sous les lois physiques, ce sont les choses qui existent de façon spontanée, les choses indépendantes de l’intervention humaine. Mais elle peut aussi être définie comme l’essence de l’Homme. Quelque chose qui est contre nature est quelque chose qui est contraire à l’ordre

vu à travers les yeux d’Aurélien. Chaque texte nous parle d’une rencontre non-conventionnelle entre les personnages. Le premier texte, raconte la rencontre entre Mr de Nemours et la princesse de Clèves. On nous montre une attirance physique entre les personnages « l’air brillant qui était dans sa personne » l 5-6, « surpris de sa beauté » l 8 ou encore « son admiration » l 9, cela malgré le fait qu’elle soit mariée et que c’est leur première rencontre « ils ne s’étaient jamais vu »l

de piqueurs ; et faute d’un aumônier attaché au château, il honore de ce titre le rustique curé du village : « le vicaire du village était son grand aumônier ». Cette classe est tombée dans la vulgarité : elle ne présente que des apparences physiques très roturières, et plus aucun vestige d’une ancienne distinction aristocratique. La tournure des femmes, mère et fille, est des plus communes, et même un peu moins. - La mère, baronne-matrone, semble un personnage de farce, ou de baraque foraine

intellectuel : Humanisme : pas un simple retour vers l'Antiquité - redéfinit conception de l'homme et sa place dans l'univers - homme au centre du monde et de la création. Ils en ont une vision optimiste (l'homme est bon, c'est le reflet de la perfection divine) en harmonie avec la nature, c'est la clé de la connaissance de l'univers - création de Dieu mais les astres aussi ainsi que toute autre élément de la nature donc les caractères humains ont de l’importance. L’homme va ainsi devenir le « héros