Le Malheur Selon Epictete

débat : la démocratie. A. L’émergence de la raison 1. Du mythe à la raison C’est avec l’école de Milet au 6ème siècle avant J.C et le fameux Thalès, qu’on peut dater le début de la philosophie. Avant Thalès, les penseurs fonctionnaient selon les mythes, la poésie, la croyance en des dieux à forme humaine, l’explication de l’univers se faisait au moyen de récits imagés (Adam & Eve…). Celui qui fait autorité à l’époque est le conteur de récits (Homère). 2. Vision logique de l’univers

toute forme de souffrance ou d’inquiétude est absente, semble quant à lui bien réel. Cependant, il peut parfois avoir l’air fugitif et imaginaire, tant il y a de nombreuses personnes qui ne le connaissent pas, qui sont plutôt en proie à l’ennui et au malheur, et qui ont une conception personnelle du bonheur qui rend toute définition abstraite et imprécise. Mais le bonheur n’est-il pas ce qui donne un sens à nos vies ? En effet, nous poursuivons tous le bonheur, qui semble l’accomplissement ultime de l’existence

L’épistémologie 3. L’anthropologie 4. L’éthique 5. La métaphysique La mythologie : 1. Mythe : Récit légendaire transmis par la tradition à travers lequel les faits et gestes d’êtres surnaturels tente de donner une explication. 2. Selon Jacques Lacarrière : la fabuleuse et mystérieuse vie de l’homme révélée et narrée par lui-même. Distinction entre les religions monothéisme et les mythes : 1. Les dieux des mythes sont excessifs ( ils commettent des viols, meurtres etc.) 2

mais il reste d'elle quelque chose qui est éternel. »9 Cette éternité, venant précisément de ce que l'âme étant selon Spinoza l'idée du corps , elle existe de toute éternité dans l'entendement divin auquel je participe selon l'attribut de la pensée.
C'est donc par une réflexion me permettant d'accepter la mort, tant la mienne que celle d'autrui, que je pourrai faire le choix de vivre selon une sagesse reposant sur la compréhension de la relativité de la mort et le rejet de tous les délires de l'imagination

le désir ? » - question qui manifesterait le souci d’avoir enfin cerné le désir, peut-être d’en avoir fini avec lui - s’est développée en une analytique des désirs, s’efforçant de distinguer des espèces (des catégories ou encore des genres) variés selon leurs origines, et s’est 1 Socrate, philosophe grec (470-399 av. J.-C.), fils d’un sculpteur et d’une sage-femme. Socrate n’a rien écrit ; nous le connaissons surtout par les « dialogues » de Platon, son disciple. 2 Sagesse socratique consistant

Pour certains, le bonheur des uns n’est pas réel, dans ce cas celui-ci n’est qu’illusoire. Epictète disait d’ailleurs « Personne n'est maître de ce qui est important pour nous; et nous n'avons nul soucis des choses dont les autres sont maîtres ». Notons aussi que le bonheur est quelque chose de fragile, qui peut disparaître à tout moment par un évènement qui viendrait transformer le « bonheur » en « malheur ». Dans ce cas la fragilité de se bonheur ne nous permet-elle pas de dire que le bonheur est

aussitôt : « Tu es une idée, et non pas exactement ce que tu représentes », ensuite examine-la, éprouve-la selon les règles que tu possèdes, et surtout selon la première, à savoir : concerne-t-elle les choses qui dépendent de nous ou celles qui ne dépendent pas de nous ? Si elle concerne l'une des choses qui ne dépendent pas de nous, que la réponse soit prête : « Voilà qui n'est rien pour moi ». ÉPICTÈTE , Manuel . (vers 125) 4/Le bonheur : un art de volonté

Et même dans le « faire l’amour », beaucoup plus que l’assouvissement d’un besoin. Le désir est bien autre chose que le simple « instinct sexuel ».                   2) Les désirs veulent-ils être satisfaits ? (statut du fantasme) A.  Malheur de l’homme sans désir Un peu de science-fiction : Le pire qu’on puisse imaginer pour l’homme, ce serait une société parfaite,  « Société de l’avenir », qui aurait liquidé le désir individuel (comme tel, toujours source de désordre) à force de le

Descartes, qui était tombé amoureux d'une fille qui louchait par le passé, ne peut s'empêcher de désirer à présent ces femmes éteintes de strabisme. Dans son ouvrage, Le désir d'éternité Alquié souligne aussi les liens de l'amour et du passé. Et selon cet auteur, nul texte ne met mieux en lumière ses liens que Sylvie de Gérard de Nerval. Au début de ce récit, Gérard de Nerval nous fait part de son amour pour une actrice Aurélie. Sortant d'une représentation où il est allée la voir, il se rend dans

Selon la tradition, on retient la division qui a été faite par Leibnitz : • Le mal physique est le mal subi. Il n’affecte pas seulement l’homme mais aussi les animaux même si la souffrance de l’homme est irréductible à la souffrance des animaux a cause de la conscience de soi dont elle s’accompagne. On estime que la conscience de soi redouble la souffrance de l’homme. • Le mal moral est le mal commis : le péché en langage religieux n’affecte que l’homme parce qu’on suppose l’homme doué d’un