Le Paradigme Culturaliste

historique majeure »23, un premier pas vers la mise en œuvre d’une gouvernance mondiale, un levier pour infléchir la mondialisation et inventer un nouveau modèle de développement ? S’agit-il d’un véritable mouvement de fond, de l’avènement d’un nouveau paradigme, d’une révolution managériale ou d’un simple effet de mode passager, une énième tentative de légitimation du capitalisme ? Du nom de la présidente de la Commission des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement qui publia en 1987 le

de convaincre les acteurs concernés de la nécessité et de l’opportunité de « faire autrement », en particulier les chefs d’entreprise (sans oublier l’encadrement). Une mission des plus difficiles dans la mesure où elle appelle à un changement de paradigme, c’est-à-dire à l’abandon d’une culture managériale autour de laquelle se sont structurées les pratiques de gestion du personnel durant les décennies écoulées. Le recrutement : disposer d’un référentiel de compétences pour l’exercice des métiers

associer à des choses qui nous semblent très anciennes. Illusion identitaire : choses qui semblent être des anciennes traditions mais en fait elles sont juste réinventer. La culture explique les phénomènes sociaux et politiques. J-F Bayart « le culturaliste croit en l’existence de divinités identitaires, les identités primordiales qui traverseraient impavidement les siècles, chacune nantie de son noyau d’authenticité. » Ce qu’on appelle culture = pas quelque chose de figé folklorisassion de l’ethnicité

théorie des univers de relations. Eléments du modèle Les règles inhérentes aux types d’objectif et leurs dérives Le statut des relations Les univers congruents de communication Méthode d’identification IV/. L’idée de négociation : le paradigme de l’Espace Public Présupposés des analyses de situations de négociation V/. Etude des conflits structurels -Identification des situations de conflits structurels -Moyens d’étude des conflits structurels : critères de distinction

Chazerans(19)) ; enfin, la méthode qui a pour objectif essentiel la démocratie et où le débat se déroule dans le cadre de la pédagogie institutionnelle avec des rôles précis dévolus aux élèves (Matthew Lipman). Intervenir ou pas sur le fond ? Selon le paradigme traditionnel de l’enseignement philosophique où l’on insiste sur une logique d’enseignement et de transmission, les interventions du Maître sont essentiellement sur le fond, sur des contenus philosophiques. Il s’agit de cours sur les courants et

charnière, la liberté et la justice n’étaient pas des utopies ». Mondialisation, contre-révolution libérale, politiques imposées par la Banque mondiale (BM) et le Fonds Monétaire International (FMI), plans d’ajustement structurels (PAS), pensée culturaliste ou anti-tiers-mondiste, mais aussi soulèvements de population, émeutes de la faim, grèves, Forums sociaux mondiaux (FSM)… il est important de réinterroger le passé, les décolonisations et leurs suites, « nous avons bâti cet ouvrage, qui ambitionne

pour rejoindre l’idéaliste. Au départ Marx est assez proche de Machiavel mais il va évoluer dans un sens opposé. Pour Machiavel, il existera toujours une lutte entre les hommes donc pas de fin de l’histoire alors que Marx pense le contraire. Deux paradigmes opposés. Aujourd’hui la pensée politique contemporaine se rapproche de celle de Machiavel. Pour lui, la société est divisée en classes sociales. Ces classes sont en lutte et cette lutte est le moteur de l’historie. Cette histoire a une fin puisque

ce terme une zone tampon située entre la réalité et notre perception. Cependant, chacun lui donna la signification qui l’arrangeait. Par exemple : pour les psychanalystes : ce sont des mécanismes de défense réduisant l’anxiété. Pour les socio-culturalistes : ce sont des produits de la société légués par l’apprentissage. Mais ces explications ne sont pas convaincantes car de quelle anxiété peut donc bien souffrir le jovial belge lorsqu’il qualifie l’italien d’exubérant. Leyens & Schadron (1980)

cadre opératoire sera élaboré pour apprécier les variables et indicateurs contenus dans ces hypothèses. En ce qui concerne le quatrième chapitre, « Cadre méthodologique », il s'énoncera d’abord autour de deux paradigmes que sont l’interactionnisme et le paradigme des conflits de culture. Lesquels mettront en relief le cadre théorique de ce travail. Le travail portera sur la présentation du terrain d’étude. Celle-ci mettra en relief les cadres physique et humain. Pour ce qui est du

grandes villes. In : où en est l’urbanisme en France et à l’étranger. Congrès international d’urbanisme et d’hygiène municipale, Strasbourg, 1923 Paris, Société Française des Urbanistes, 1923.-pp.247-257,fig. Cote :IA 16147 * L’URBANISME CULTURALISTE Il prend naissance très tôt en Allemagne et en Autriche en 1880-1890. C’est une pensée anti-industrialiste, nourrie de nostalgie pour la ville passée, le retour aux petites villes, aux rues sinueuses et soucieuse du site. Parmi ses fondateurs