Le Pouvoir Crozier

hiérarchique : Simple, flexible et ligne hiérarchique peu développée. Supervision direct du leader. Selon Mintzberg, il existe 5 structures différentes : Hiérarchique : Chaque employé est tenu d’appliqué les consignes de son supérieur direct, le pouvoir est centralisé et la communication est ascendante et descendante. Fonctionnelle : Le travail est divisé en fonctions et une certaine autonomie est attribuée au responsable de fonction. Divisionnelle : Regrouper par division : les produits, les types

(1996, Éditions du seuil). Introduction Les 4 auteurs qui ont co-écrits cet ouvrage appartiennent à ce qu'on pourrait appeler « le courant français » de sociologie des organisations. Prenant appui sur la théorie de l'acteur stratégique de Michel Crozier et Erhard Friedberg, sur les travaux de Renaud Sainsaulieu et de Jean Daniel Reynaud, ce courant s'est développé dans des directions assez variées depuis le milieu des années 80. Dans cet ouvrage, les auteurs tentent d'en faire le point, en rappelant

organisation et qui confèrent du pouvoir à celui ou à ceux qui les contrôlent face à d’autres acteurs dont la tâche dépend de ce contrôle. La notion de « source (ou zone) d’incertitude organisationnelle » a été introduite par Michel Crozier dans son analyse de la bureaucratie, et reprise ensuite comme une notion centrale dans «l’analyse stratégique des organisations» développée au Centre de sociologie des organisations. Prenons l’exemple, aujourd’hui classique, analysé par M. Crozier au sein des ateliers

l'entreprise. Les relations informelles peuvent également jouer un rôle positif. La bonne entente dans un groupe peut permettre d'améliorer les résultats (alors que Taylor pensait lui que les relations informelles étaient dangereuses). 3) Michel Crozier, l'analyse stratégique Point de départ de son analyse : il concilie les 2 approches concurrentes du fait organisationnel développé par la sociologie américaine. • Approche d'Harvard qui s'inspire des travaux d'Elton Mayo : productivité des travailleurs

eu un rôle attribué et aller vers leur objectif, il y a donc organisation. Michel CROZIER, nous dit : * « ce n’est rien d’autre qu’une réponse à un problème collectif, * c’est un construit social => une organisation ce n’est pas quelques chose innée, c’est la volonté individuel qui décide de construire une organisation, c’est un construit social. * Quand on a ensemble de relations de pouvoir et de rapports sociaux inséparables de la société dans laquelle elle évolue » Organisation

en restructurant le siège social, il a pour objectif de réduire les niveaux hiérarchiques. De plus, les salariés doivent maintenant être multi tâches et utiliser leurs compétences dans plusieurs postes à la fois. Ils devront pouvoir définir leurs objectifs tout seul et pouvoir permettre leur propre évolution. La structure définie par Mintzberg, utilisée chez Audire actuellement est donc une structure divisionnelle. En effet, dans cette structure, le siège social central a un rôle de soutien, de

introduction chapitre 1 : DEFINITION ET EVOLUTION DU CONCEPT DE POUVOIR Section1 – pouvoir et autorité Section 2 – pouvoir et poids de l’organisation Section 3 : les fondements du pouvoir chapitre 2 : les detenteurs du pouvoir au sein de l’organisation Section 1 : détenteurs d’influence externes Section 2 : détenteurs d’influence internes chapitre 3 : COMPORTEMENTS DES ACTEURS FACE AU POUVOIR DES DIRIGEANTS Section 1 : le management participatif Section

structure pour la rendre plus réactive face aux demandes des clients et plus flexible face à un environnement plus concurrentiel ; – les relations de pouvoir : Mintzberg montre que le besoin de pouvoir conduit généralement les dirigeants à centraliser les structures. Le passage de pouvoir entre les deux dirigeants montre clairement la reprise en main du pouvoir de décision par le nouveau dirigeant ; – le dernier facteur de contingence est la stratégie : A. Chandler montre qu’elle détermine la structure

sens étymologique : l’adjectif « autonome » est emprunté au grec « autonomos », voulant dire « qui est régi par ses propres lois » ; l’autonomie c’est le droit de se comporter selon ses propres règles, ce qui renvoie à la notion de pouvoir, à ce qui dépend de notre pouvoir, à notre capacité de choisir et de juger. En un second sens, l’autonomie est une relation : l’autonomie des uns suppose sa reconnaissance par les autres ; l’autonomie implique alors la réciprocité et le partage de cet idéal ou la

les ports. Dans tous ces domaines Colbert a été à l’origine de l’invention ou du perfectionnement des machines. Le travail humain va changer de nature dès lors que vont intervenir les machines. Vauban (17èmes siècles) : nobles opposé au départ au pouvoir du roi de France. C’est un ingénieur militaire à l’origine des principales fortifications française .Il s’intéresse aussi à la productivité et au travail humain. Son idée : il faut que des spécialistes s’intéressent à la tâche que peut faire un ouvrier