Le Pouvoir Crozier

les choses, une vision d'ensemble. Auteurs Auteurs Ouvrages de référence Lien avec le référentiel Richard M. Cyert (1921) James March (1928) Michel Crozier (1922) - Cyert et March « /processus de décision dans l’entreprise »-1963 - Crozier « Le phénomène bureaucratique » -1963 Thème 1.3 Diriger et décider / parties prenantes et contre-pouvoirs Cyert et March considèrent la firme comme une coalition de groupes d’individus aux d’intérêts conflictuels. Seuls les individus ont des objectifs, les

la contingence, qui sont l’âge de l’organisation, sa taille, la stratégie, l’environnement, le pouvoir et la technologie utilisée. Celui qui justifie la nécessité de la restructuration de Lufthansa, est le pouvoir car en effet, Lufthansa veut résister aux compagnies du Golfe et aux low-cost. 2) Selon Max Weber, le pouvoir résulte de deux choses, qui sont la faculté à forcer l’obéissance puis l’autorité. De plus, celui-ci

Stéphane Olivesi La Communication au travail Une critique des nouvelles formes de pouvoir dans les entreprises ---------- Collection « Communication en + » Presses universitaires de Grenoble BP 47 – 38040 Grenoble cedex 9 Tél. : 04 76 82 56 52 – pug@pug.fr / www.pug.fr Chapitre I L’INSTITUTIONNALISATION DE LA COMMUNICATION DANS L’ENTREPRISE L’analyse des logiques d’émergence de la communication déborde toute démarche sociologique, centrée exclusivement sur l’organisation. Tenter d’en

|L’approche sociologique |Aider les dirigeants à se jeter dans l'avenir, avec la planification stratégique.|Permet une meilleure direction de l'entreprise. | |Michel CROZIER |Déterminer les forces et faiblesses de l'entreprise et méthodes et opportunités | | |Erhard FRIEDBERG

l’entreprise, L.G.F, . • Crozier M., Friedberg E.(1977) – L’acteur et le système, Seuil. • D’Iribarne Ph.(1989), – La logique de l’honneur, Seuil. • Friedberg E.(1993) – Le pouvoir et la règle, Seuil. • Le Joly K., Moingeon B. (2001), Gouvernement d’entreprise : débats théoriques et pratiques, Ellipses. • Paugam S. (2000), Le salarié de la précarité, PUF. • Plihon D. (2003), Le nouveau Capitalisme, La Découverte, coll Repères. • Ramanantsoa B., Reitter R.(1990), Pouvoir et politique. Au-delà

son pouvoir sur la règle, ou contre les puissants, mais de réaliser des ajustements avec des partenaires dont il faut comprendre les contraintes si l’on veut bénéficier de leurs engagements. Le danger d’une relation sociale insuffisante n’est plus ici le freinage ou la révolte des temps du taylorisme, mais bien la non implication du partenaire dans un effort d’ajustement aux contraintes multiples qui pèsent sur lui. Obtenir l’implication de l’autre, et non plus seulement négocier de pouvoir à pouvoir

Communication • Lien avec le cours : → LE POUVOIR SELON CROZIER ET LES ATTITUDES SELON GOFFMAN Dans un premier temps, Amélie se plie aux règles que lui ordonne son supérieur, Monsieur Saito, qui lui-même se plie aux règles de ses supérieurs. On remarque donc un rapport à l’autorité très stricte, sévère. La hiérarchie de la société est clairement établie. Dans ce cas de figure, on peut dire que l’organisation de la société repose uniquement sur un ordre de pouvoir. Dans un second temps, Amélie se

modes d'organisation, pouvoir et gouvernance dans l'organisation Différentes approches du pouvoir dans l'organisation: 1. La notion de pouvoir : Selon Max Weber, le pouvoir d’un individu est sa capacité à contraindre d’autresindividus à lui obéir alors que l’autorité est la capacité à faire obéir volontairementles individus du fait de la reconnaissance d’une légitimité morale. Pour M. Crozier, le pouvoir est une relation d’échange. Une négociation implicite s’établit en permanence entre le supérieur

Atteindre le but de l’organisation implique l’existence d’une structure organisationnelle – coopération entre individus (pas naturelle) – coordination entre postes de travail • Cette nécessité « d’organiser » implique l’établissement de – Règles – Pouvoir et autorité Nathalie Le Roux (cours M1 TO) 1.2.Qu’est ce que la Théorie des Organisations ? • Un corpus théorique pluridisciplinaire: – PSYCHOLOGIE : comportement des individus en organisation et effets de l ’organisation sur l ’individu (stress

certaine idée de permanence. Cette caractéristique trouve sa justification dans la nécessité de créer des zones de stabilité permettant une régularité du fonctionnement. En ce sens la structure traduit un « état d’équilibre entre les stratégies de pouvoir en présence ». Non seulement elle codifie le présent, mais elle est en plus porteuse « des normes, des valeurs fondamentales qui s’imposent à l’organisation et la caractérisent ». La structure apparaît alors comme ce qui dure malgré les changements