Le Pouvoir Crozier

travail 2. Pouvoir et acteurs 3. Configurations organisationnelles Programme r Farid CHAOUKI Références bibliographiques • Aktouf O (1989), Le management: entre tradition et renouvellement, Boucherville, Gaêtan Morin. • Crozier M. et Friedberg E (1977), L’acteur et le système. Les contraintes de l’action collective. Paris, Seuil, Coll. ‘’Sociologie Politique. Mintzberg H (1982), Structure et dynamique des organisations, Paris, Éditions d’Organisation. Mintzberg H (1982), Le pouvoir dans les

d’un processus de reengineering, l’entreprise adopte des structures plus plates en réduisant le nombre de niveaux hiérarchiques (delayering), en élargissant le contenu des activités, en développant des activités transversales et en accroissant le pouvoir de décision de ses membres (empowerment). Dans ces conditions, le responsable est un leader d’équipe qui doit motiver, inciter les membres de l’équipe à être imaginatifs et responsables, et accepter le droit à l’erreur. Cette approche a pour fondement

pour développer son activité. Identification du (des) problème(s) de management Analysez les conséquences de cette décision sur les besoins en ressources humaines de l’entreprise. Expliquez, en vous appuyant sur la théorie développée par CROZIER, pourquoi les salariés de la chocolaterie sont réticents au changement organisationnel proposé par Pierre Cholas. Proposition de solution(s) argumentée(s) Proposez des actions qui vous paraissent satisfaire ces besoins en ressources humaines

appliquée au pouvoir, dans celui-ci une dimension politique. Le pouvoir est un rapport de force. Pour avoir un Etat il faut trois éléments : population, territoire et pouvoir politique. Le pouvoir se distingue de l’influence ou encore de l’autorité. La politique désigne la scène ou les individus et les groupes entrent en compétition pour la conquête et l’exercice du pouvoir. La compétition fait appel à une démarche pour obtenir un certain pouvoir. Aucun syndicat n’a vocation à exercer le pouvoir politique

Michel Crozier : l’analyse stratégique des organisations. C’est le pionnier de l’analyse stratégique. Il étudie l’organisation et le comportement des travailleurs dans les entreprises. Il part du principe qu’on ne doit pas résumer le jeu des acteurs comme déterminé par des contraintes environnementales, on doit en priorité chercher à comprendre comment se construisent les actions collectives à partir de comportements et d’intérêts individuels. Cette analyse part non pas de l’existence de l’entreprise

Fiche 2 Michel Crozier : Zone d'incertitude 1. Trois implications des contraintes structurelles - Changer la nature du jeu - Déplacer les enjeux et les zones d'incertitudes - Profiter des circonstances 2. Elément rendant les ressources ou atouts pertinents et mobilisables - La multiplicité des engagements des acteurs. La connaissance de la situation social d'un acteur qui lui permet de saisir les possibilités qu'il a de diversifier ses domaines d’investissement, donc de jouer avec plusieurs

Introduction La sociologie des organisations a connu un développement tardif en France contrairement aux Etats-Unis. Son essor est lié à Michel CROZIER qui fonde au début des années 60, le Centre de Sociologie des Organisations (CSO) et forme, pendant une trentaine d'années, de nombreux chercheurs et des futurs consultants et professionnels des ressources humaines. CROZIER a importé en France les travaux américains de sociologie des organisations. Le but de la sociologie est de mieux comprendre la structure

sociologie des organisations. Henri Amblard et Philippe Bernoux (1996) considèrent ainsi que les travaux de Jean-Daniel Reynaud appartiennent à la tradition classique de sociologie des organisation française, aux côtés de l'analyse stratégique de Michel Crozier, dont il s'inspire par ailleurs très largement. Classique, son approche n'en demeure pas moins d'une grande actualité et permet de jeter un regard toujours pertinent sur les dynamiques qui traversent les organisations. Jean-Daniel Reynaud offre dans

coopération à l'œuvre entre contrôleurs de gestion et responsables opérationnels. S’agit-il d’une coopération de nature complémentaire ou communautaire ? Les deux sont-ils conciliables ? a- La coopération complémentaire : une stratégie de gain de pouvoir La première forme de coopération est fondée sur l’hypothèse de la complémentarité des ressources. La division du travail prônée par Adam Smith (1776) et reprise par l’ingénieur américain Taylor au début du XXème siècle est à l’origine de cette

gouvernementales, le concept a été élargi pour inclure quiconque ayant un intérêt dans les actions de l’entité. Pour comprendre les relations de pouvoir qui se jouent entre les différents groupes, nous éclairerons nos propos au regard de la théorie des parties prenantes (E. Freeman) d’une part et, par l’approche des relations sociales entre les acteurs (M. Crozier). Dans le domaine de la gouvernance d’entreprise, un débat majeur traverse la littérature consacrée aux parties prenantes depuis l'origine