Le Pouvoir Crozier

ces derniers au changement. Paul Bélanger et Benoît Lévesque (2) avaient employé le terme de « démocratie salariale » pour décrire ces expériences, qu’ils repéraient dans une trentaine d’entreprises canadiennes. Quelques années auparavant, Michel Crozier (3) avait identifié des traits voisins parmi des entreprises françaises adoptant un management « postindustriel », un résultat corroboré dans l’étude menée par Isabelle Francfort, Florence Osty, Renaud Sainsaulieu et Marc Uhalde (4) auprès d’une centaine

les trois principaux secteurs du pouvoir (politique, économique et militaire). Le XXe siècle lui paraît marqué par un processus de centralisation et de coordination des trois domaines principaux du pouvoir. L’interdépendance mutuelle de plus en plus grande entre les trois groupes d’élites (élites politique, économique et militaire) conduit à la constitution d’un « triangle du pouvoir ». Sa définition du pouvoir est d’inspiration wéberienne. La source du pouvoir est l’accès aux institutions : « nul

Burns & Stalker – Lawrence & Lorsch synthèse de Mintzberg 1930 - 1960 MOTIVER L’INDIVIDU Ecole des Relations Humaines Mayo – Maslow Herzberg - Lewin 1980 MOBILISER & FAIRE PARTICIPER Sociologie des organisations Théorie des systèmes et culture Crozier - Ouchi Système OUVERT Sources : UPMF Grenoble Approche SOCIALE Régis PROVOST 1.1. L’ECOLE CLASSIQUE LE CONTEXTE Début du XXème siècle Emergence de la société industrielle Peu de référence d’organisations hiérarchisées Un contexte

en finalité correspond aux actions où l’individu recherche les moyens les plus performants pour atteindre son but. Les actions d’un individu impliquant autrui ne sont pas toujours à son initiative. Elles peuvent être le fruit d’une relation de pouvoir dépendant de la légitimité donné au dominant. 2 Domination, obéissance et légitimité Pour Weber, il faut parler d’adhésion et non pas de soumission à une contrainte lorsqu’un individu est obéissant. En effet, un individu accepte un ordre

des parties prenantes. Par ailleurs, dans le système japonais, nous avons une centralisation des pouvoirs de direction et de prise de décision du dirigeant. Il y a une absence totale de contre-pouvoir car c’est à lui seul que revient le privilège de décider de la politique et de la stratégie de gouvernance de l’entreprise. En effet, selon le document 1, le chef d'entreprise jouit au Japon de pouvoirs quasi illimités,« C'est lui qui désigne, de facto, l'ensemble des membres du conseil d'administration

positionnements. Cela nous mènera à parler de la cohésion d’équipe face au public qu’elle accompagne. I) Présentation générale de l’association  Cette association créée en 1981, appartient au secteur privé. Elle est cependant aujourd’hui agréée par les pouvoirs publics. Implantée sur quatre secteurs parisiens, son action s’articule autour de tournées-rue, de permanences d’accueil, de suivis sociaux et sanitaires ainsi que des ateliers dits de « dynamisation ». Ses quatre principales missions sont les

dépossédés d’une partie de leur savoir ; 1 Frederic Wislow TAYLOR, La direction scientifique des entreprises (traduction française de Scientific management), Dunod, 1971. Le management interculturel 13 - les ouvriers perdent leur pouvoir, construit sur la maîtrise des machines et de la production ; - le travail devient un travail « prescrit » ; déqualification du travail ; éclatement des taches ; destruction des références aux valeurs de métiers. Le travail devient très répétitif

ensemble pour parvenir à un but commun. Comment distinguer une « organisation » d'autres groupements d'individus? -Deuxième approche : définitions de théoriciens « L'organisation est une réponse aux problèmes de l'action collective » (M. CROZIER) « L'organisation se définit comme une action collective à la poursuite de la réalisation d'une action commune » (H MINTZBERG) « L'organisation est une forme sociale qui, par l'application d'une règle et sous l'autorité des leaders, assure la

cest--dire une faon qu lorganisation de faire les choses, une vision densemble. Auteurs Richard M. Cyert (1921) James March (1928) Michel Crozier (1922)Ouvrages de rfrence- Cyert et March/processus de dcision dans lentreprise-1963 - Crozier Le phnomne bureaucratique -1963Lien avec le rfrentielThme 1.3 Diriger et dcider / parties prenantes et contre-pouvoirs Ides dveloppes Cyert et March considrent la firme comme une coalition de groupes dindividus aux dintrts conflictuels. Seuls les individus

l'organisation de faire les choses, une vision d'ensemble. Auteurs  Richard M. Cyert (1921) James March (1928) Michel Crozier (1922) Ouvrages de référence  - Cyert et March « /processus de décision dans l’entreprise »-1963 - Crozier « Le phénomène bureaucratique » -1963 Lien avec le référentiel  Thème 1.3 Diriger et décider / parties prenantes et contre-pouvoirs Idées développées Cyert et March considèrent la firme comme une coalition de groupes d’individus