Le Pouvoir Crozier

sociale dans le cadre plus général des rapports entre ces groupes sociaux qui forment la société autrichienne du XVIII s. Dans cette société, il y a 2 groupes qui cohabitent : nobles (détention du pouvoir politique et culturel il définit le bon et le mauvais goût de l’art) et bourgeois (détention du pouvoir économique). Mozart est un bourgeois, appartient au groupe en ascension (bourgeoisie de musiciens) qui vendent leur musique à la noblesse autrichienne. Il y a une compétition entre noble pour l’honneur

concurrentielles lui étaient favorables. De ce fait le pouvoir de négociation des clients et des fournisseurs était faible mais la vente par internet étant en baisse, l'entreprise est obligée de s'adapter en mettant en place une reconfiguration organisationnelle en 2009. C’est à dire que la structure fonctionnelle de départ est passée a une structure divisionnelle, une diminution des niveaux hiérarchiques ainsi qu'un accroissement du pouvoir de décision des salariés et une réduction de 15% sur le

hiérarchie bien définie Respect des règles et de l’autorité supérieure Notion de « chef » ◦ Dépendance de tous les employés   Aujourd’hui : Management : ◦ Petits groupes menés par des managers ◦ Moins dépendant d’une seule personne  Pouvoir: « Capacité à produire ou à modifier des résultats en fonction de ses objectifs et de ses besoins propres »  Domination: «La domination est la chance de trouver obéissance de la part d ’un groupe d’individus; tout véritable rapport de domination

centralisé conduit à une crise d’autonomie qui conduira à une nouvelle croissance * Phase décentralisation : Ici l’entreprise adopte une structure divisionnelle pour créer l’autonomie mais cette décentralisation trop poussée conduit à une dilution du pouvoir et une perte de contrôle de la direction. Ce qui conduit à une nouvelle crise appelé crise de contrôle résolu par une nouvelle structure * Phase de coordination : Ici l’entreprise met en place des structures formelles pour renforcer la coordination

Chapitre 6 PARTIES PREMANTES, CONTRE- POUVOIRS et GOUVERNANCE DE L’ENTREPRISE Introduction * Constat : Les différentes parties prenantes, internes et externes à l’entreprise sont sources de contre-pouvoirs et donc peuvent influencer les décisions prises par l’entreprise. La gouvernance de l’entreprise doit alors aboutir si possible à un arbitrage entre des intérêts parfois contradictoires des parties prenantes et de l’entreprise. * Nos objectifs : * 1 apprécier l’influence

organisationnels qui ont pour effet de délimiter les pouvoirs et d’influencer les décisions des dirigeants dans un sens favorable aux attentes de l’ensemble des parties prenantes. C'est pour cela qu'il faut reconnaître les intérêts des parties prenantes et leur contribution à la réussite à long terme de l'entreprise. Les actionnaires de Tromer ne sont pas satisfaits. 8) Les collaborateurs de Tromer ne sont pas entendus car la communication est unilatérale. Selon Crozier et Friedberg, ces personnes ne sont que

production jusqu’au commercial. De plus, les salariés jouisse d’un niveau de rémunération élevé, les profits ne sont donc pas redistribués uniquement à la direction de l’entreprise. 3-Selon la vision de Crozier, tout le monde peut avoir du pouvoir dans l’entreprise. Selon lui, le pouvoir est le fruit de relations, de négociations et de confrontations entre parties prenantes en référence à la volonté de chaque acteur de bénéficier d’une fraction du profit généré par l’entreprise. C’est parce

néanmoins, renvoient au sentiment d’une distance décisive par rapport aux enjeux du pouvoir politique. »; et un apolitisme passif, « une attitude revendiquée de soustraire certains problèmes ou certains domaines aux luttes partisanes et aux enjeux politiques ». Problématiques : L’abstention électorale est-elle de façon systématique synonyme d’indifférence vis-à-vis du politique? L’abstention délégitime-t-elle pouvoir politique ou participe-t-elle à la vitalité démocratique ? [...] - Conditions

qui a généré des problèmes de cohabitation entre les salariés issus de sociétés différentes, de coordination par le chef de projet, de partage des responsabilités trop flou. 6. En quoi le problème rencontré par HBS illustre-t-il bien la théorie de Crozier sur la résistance au changement ? Au sein de ce projet, sont réunis des salariés des deux entreprises qui ont fusionné, Holly et Brain Software. Chaque entreprise avait ses propres habitudes de travail, sa propre culture. Ainsi, les salariés ont

repéré 5 types de besoins chez l’homme et les a hiérarchisés. Son hypothèse consiste à ce que l’on ne cherche de satisfaction de niveau élevés que lorsque les besoins physiologiques et sécuritaires sont satisfaits. Michel Crozier tire des enseignements sur les questions de pouvoir, de jeux d’acteurs et d’acceptation du changement. Avec E.FRIEDBERG il écrit L’acteur et le système. Ce que l’on retient de ces travaux est que l’homme ne peut pas être enfermé dans des procédures et des systèmes hiérarchiques