Le Taylorisme Conclusion

gestion de travail |Elles sont anciennes et similaires à celles |Mise au point du travail à la chaîne par l’ingénieur américain Taylor ( | | |des ateliers de l’artisanat : ce qui change |taylorisme. | | |c’est la taille : + d’ouvriers et plus | | |

culturelles……………………………………………………………. 22 A) Elaboration d’un outil de gestion des disparités culturelles au sein des organisations : le management interculturel………………………………………………………………... 23 B) La mise en pratique du management interculturel……………………………………. 30 Conclusion…………………………………………………………………………… 37 Bibliographie………………………………………………………………………… 39 Introduction Face à l’internationalisation croissante des activités, les entreprises effectuent de plus en plus d’échanges avec les entreprises étrangères

adoption d’un système de rémunérations axé essentiellement sur le salaire aux pièces et les primes de productivité. 4 - Les limites du taylorisme Grand sucés du Taylorisme, adopté dans tous les pays. L'accroissement de la production dans le monde s'explique en partie par la mise en place du Taylorisme. Cependant le Taylorisme est trop scientifique. Il y a eu une déshumanisation du travail, un absentéisme, des pannes provoquées. Le système s'est avéré trop contraignant psychologiquement

par des innovations comme le Fordisme et le Taylorisme. Le fordisme est crée par M. Ford, un industriel automobile, qui propose à ses ouvriers de n’effectuer qu’une seule tâche dans l’usine, diminuant la fatigue, et diminuant la pénibilité du travail. La suprématie du fordisme ne dure que 12 ans, mais le modèle est enrichi et transformé de façon continue .Les américains ont compris que si les ouvriers sont heureux, ils travaillent mieux. Le Taylorisme est enseigné à Harvard dès 1908 = salaire horaire

industriels naissent autour des gisements miniers et des grandes villes. Doc 3 p 23 : En Allemagne, dans la région de la Rhur. Le paysage est très noir. La recherche du rendement, de la productivité et du moindre coût conduisent d’abord au taylorisme (OST), puis au fordisme puis enfin à la standardisation. Ce système de production alimente la consommation de masse grâce aux transports et de la production standardisée qui peut être achetée par le plus grand nombre. La consommation est motivée

plus ou moins élevée ?  Approches cognitives vont davantage s’intéresser aux processus Nathalie Le Roux (cours M1 TO) Nathalie Le Roux (cours M1 TO) Conclusion : Taylorisme + école des relations humaines + revendications ouvrières = • Toyotisme (fin des années 70) – Production de masse versus flexibilité – Toyotisme = taylorisme – gaspillage • Revendications = baisse de la durée du travail Mais une organisation différente (annualisée, flexible) qui ne satisfait pas forcément les ouvriers

l'industrie sera accéléré par de nouvelles techniques de travail pour un rendement plus important, initiées aux Etats-Unis II- De nouvelles organisations du travail 1- Le Taylorisme En 1880, l'ingénieur et économiste américain Frederick Taylor théorise une nouvelle méthode de travail qui prend son nom: le Taylorisme, qu'il expose dans son livre intitulé The principales of scientific Management en 1911. Il préconise une organisation scientifique du travail par une analyse détaillée des modes

c'est-à-dire la possibilité d'augmenter la production en utilisant les mêmes quantités de facteurs de production. En effet, l'organisation du travail par des moyens scientifiques est beaucoup plus récente et doit être rattachée aux travaux de Taylor. Le taylorisme propose pour réduire la "flânerie systématique" constatée dans bon nombre d'usines d'organiser l'activité productive selon une hiérarchie pyramidale. La division du travail est double. La division verticale consiste à distinguer les travaux de conception

rendement. Ford a poursuit Taylor avec la standardisation de la production. Ils pensaient que l’unique motivation des employés était le salaire qu’ils percevaient ; et ne prenaient pas en considération le personnel. C’est pour ces raisons que le Taylorisme et le Fordisme ont été remis en cause. Ainsi, Herzberg qualifie ces théories de contre-productives car, selon lui, l’argent n’est pas la seule motivation des salariés. Il faut, selon lui, que les salariés soient plus autonomes pour se considérer

des conflits. I- L’évolution des structures de l’emploi. Au cours des trente dernières années, les structures de l’emploi ont été profondément modifié. L’évolution des structures de l’emploi s’est faite par l’apparition du néotaylorisme. Le taylorisme connaît une renaissance dans certains domaines de l’économie. Le travail en mouvement simple et répétitif s’est élargie à d’autre domaine que celui ouvrier, comme par exemple la banque, ce qui est la conséquence de la tertiairisation, pour répondre