Le Tayloro Fordisme

effet une dérégulation, qui oblige les firmes à réagir et s’adapter. Cette régulation par le marché concerne les systèmes financiers et commerciaux, mais aussi les dimensions sociale et environnementale. A.Le fordisme : de l’essor à la crise d’une macro-éthique Le temps du fordisme ou l’existence d’une macro-éthique Au sortir de la guerre, l’existence conjointe de la nécessité de reconstruire le pays en ruine (infrastructures, usines,…) et le faible niveau d’équipement des ménages français

chocs d’offre C’est un choc qui se produit lorsque la situation des offreurs se modifie en raison d’un évènement. Il est positif si le coût des entreprises baisse ou négatif si il engendre une hausse des coûts. Exemple : -choc positif : le tayloro-fordisme / une innovation de procédés choc d’offre positif par le gain de productivité qui permet d’abaisser les coûts unitaires de fabrication -choc négatif : augmentation du prix du pétrole augmentation du prix des consommations

économique et matérielle. 1. Une économie dirigée. [Dirigisme-> Endettement, Rationnement, Guerre économique Gêner les approvisionnements (blocus…)] 2. La réorganisation des industries. [reconversion à l’économie de guerre ex : Renault …, Tayloro-fordisme production de masse et travail à la chaine] 3. Une course technologique dans une guerre industrielle [guerre de masse=produire beaucoup pour tuer beaucoup, Evolution des canons mitrailleuse, nouveau transport ex : avion, sous-marin, chars

syndiqués chute considérablement sur le site de Flins. Les ouvriers sentent bien que, la plupart du temps, les syndicats ne peuvent rien aux décisions de la direction, victime d’une demande qui décroît de plus en plus. Organisation du travail Fordisme La division du travail chez Renault s’apparente plus à une organisation fordiste que toyotiste même si on y retrouve certains aspects seulement. On retrouve ici la structure fordiste typique qui laisse apparaitre une séparation évidente entre

résultats de l’application du taylorisme ont été positifs puisque cette méthode d’organisation du travail a conduit à accroître les gains de productivité, et finalement à augmenter les salaires tout en réduisant le volume de main d’œuvre. 25 II.3.2.LE FORDISME  Les grands principes de Ford Principes Le travail à la chaîne La standardisation des biens de production Les « five dollars a day »  Définitions Accentuation de la division horizontale du travail, ce qui signifie que l’ouvrier répète le même

 Acteurs de la puissance économique américaine A – Un capitalisme d’entreprise Le capitalisme américain s’est considérablement modifié depuis le début du siècle : passage du tayloro-fordisme à l’entreprise virtuelle, la SA réseau= qui n’a plus une base territoriale unique et transformation d’un capitalisme, jusque la productif, en un capitalisme de conception. I – Les mutations de l’entreprise américaine 1) Un capitalisme de grandes entreprises Les USA concentrent

“marchandisation de la culture”. * Charity Business. Vecteur de diffusion : * Hégémonie américaine après IIW. * Plan Marshall, Dodge : méthode de p°, management… * Europe envoie des mi° de pte aux USA. * Dev tayloro-fordisme en Europe. * 1946 : accords Blum-Byrnes. * ↑prêts bonifiés pr la F mais ouverture de son marché à la culture américaine. * FTN : * Marques mondiales : Microsoft, McDonald, Coca-Cola… * IDE américains :

intérieur du fait de l’éloignement des marchés européens et de la richesse de leur territoire. Dès la seconde moitié du 19ème, ils s’appuient sur une forte immigration couplée à une agriculture extensive. Puis l’industrie prend le relai avec le tayloro-fordisme et le « manufacturing system ». Une croissance soutenue par l’Etat (lois protectionnistes, loi sur la concurrence), qui prend un rôle plus important encore après 1945 pour sortir de la crise. A partir des années 1980, l’essor du secteur financier

du travail Recherche des conditions de compatibilité d’intérêts entre l’entreprise et les salariés Cependant, vision appauvrie de l’homme au travail, dichotomie stricte cerveau/mains humaines (déshumanisation, homme-robot etc.) 3-H. Ford et le fordisme Industriel américain « continuateur » de la pensée tayloriste (1863-1947) Introduit dans ses usines le « travail à la chaîne » Adaptation des principes tayloriens de rationalisation à l’automobile Parcellisation, Mécanisation Production de masse

productifs, que les candidats confondent avec production, ignorant les différentes sphères ainsi évoquées : de la reproduction sociale, périproductive, et de la production elle-même. Le mot « fordisme » est utilisé imprudemment. Ne pourrait-on pas en finir une bonne fois pour toutes avec ce terme ? Si tayloro-fordisme est accepté, le mot précédent a été très critiqué et n’est plus de mise. La brève expérience des épreuves récentes montre en tout cas que les sujets sont vastes, mais ne cherchent pas à déstabiliser