Merchandising Hyper U

objectifs, sources de marché, cibles de consommateurs et d'acheteurs, positionnement, éléments-moteurs (Key factors of success), marketing-mix : politique de produit, de packaging, de nom de marque politique de prix politique de distribution et merchandising politique de force de vente politique de communication et de promotion V. L'organisation marketing • structure générale et répartition des fonctions ; rôle des chefs de produit, etc. • relations avec les autres services (notamment le commercial

| |Q | |Elevée | |U | | | |A

publiques -Evènementiels -Parrainage -Services aux consommateurs -Site web d’entreprises / marques 2. Actions marketing à contenu de communication Produit Design de marque (logo, jingles) Design packaging Design produit Outils de vente Force de vente Merchandising Promotion Marketing direct Richard Brandson. Virgin 3. L’entreprise et son personnel Salariés en contact avec le public Dirigeant Identité visuelle (locaux) 4. Les sources extérieurs Prescripteurs, leaders d’opinion Distributeurs Presse

Nord, Plein Ciel jeux électroniques, cd-rom, Mediastore livres, disques, vidéo (produits culturels) sur 1.500 m2 Produits culturels, Virgin, Hypermedia, Planete produits technologiques Saturn, Espace culturel "brun", informatique, sur Leclerc, Espace U 2.500 m2 Produits technologiques Boulanger, Group Digital, "brun", électroménager Connexion, Gitem "blanc" sur 1.200 m2 "Brun et blanc", mobilier Conforama et But bas de gamme sur 3.000 représentent plus de 25% m2 de l'ensemble du marché du meuble –

total du rayon surgelés. Certaines grandes enseignes ont un site de vente en ligne comme Carrefour par exemple ce qui fait également de la concurrence au enseigne comme Toupargel qui a son activité uniquement basée sur ce mode de vente. Le merchandising : Même si le nombre de référence en hypermarchés est en régression, il est intéressant de remarquer que deux segments seulement ont une évolution positive en volume à savoir les frites et garnitures et les légumes surgelés.

Le distributeur devient un client de la marque (fabricant), et donc son partenaire. ‐ Au niveau des assortiments ‐ Au niveau des politiques produits: MDD (Marque De Distributeurs) (à ne pas confondre avec MDD marque numéro 1) ‐ Au niveau du merchandising ‐ Au niveau logistique ‐ Au niveau promotion Ex: les biscuits Jules Destroopers, propose un assortiment large ou restreint selon les distributeurs. Notons que Jules Destroopers propose de plus en plus ses produits dans les hard discounts car

France en 20 12. On estime que la vente en ligne, portée par la hausse du taux d'équipement Web dans les foyers français, pèse plus de 10 % du commerce dans l'hexagone, ce qui contraint tous les distributeurs traditionnels, tels que Zara, Kiabi o u Toys'R'Us, à ouvrir leurs propres magasins en ligne.)22 Facteurs environnementaux : L'importance de la question environnementale n'est plus à démonter aujourd'hui. Avec le changement climatique la prise de conscience du public et donc des clients

........................57 C-Le marketing différencié...................................................................................57 IV-Conclusion......................................................................................58 A-Hyper segmentation et contre segmentation.....................................................58 B-La segmentation par niveau (A.DAYAN)........................................................58 V-Le ciblage........................................

CEI était de convaincre de faire du beau. Un esprit qui, malheureusement, n’est plus toujours présent. Aujourd’hui, les clients ont tendance à ne s’intéresser qu’à la dernière ligne de nos méthodologies : celle du prix. » C’est cette obsession d’une hyper-rentabilité à court terme qui piège la création. Le temps des financiers n’est décidément pas celui des créateurs. Or, le design et les formes qu’il crée ne se marient-ils pas avec un soupçon de poésie et d’esprit ? Esprit de Formes n’est pas pour rien

était de convaincre de faire du beau. Un esprit qui, malheureusement, n’est plus toujours présent. Aujourd’hui, les clients ont tendance à ne s’intéresser qu’à la dernière ligne de nos méthodologies : celle du prix. » C’est cette obsession d’une hyper-rentabilité à court terme qui piège la création. Le temps des financiers n’est décidément pas celui des créateurs. Or, le design et les formes qu’il crée ne se marient-ils pas avec un soupçon de poésie et d’esprit ? Esprit de Formes n’est pas pour