Métacognition

Éditeur : Montréal : G. Morin, c1996 Description : xix, 232 p. : ill. ; 23 cm Notes : Bibliogr.: p. 209-219 Index: p. 227-232 Sujets : Discipline. Gestion de classe Instrument d'analyse. Modification du comportement Motivation d'apprentissage Métacognition Méthode d'apprentissage Plan d'intervention Pratique pédagogique. Primaire (ordre d'enseignement) Psychologie de l'apprentissage Punition Questionnaire Résolution de problème Role de l'enseignant Secondaire (ordre d'enseignement) Stratégie pédagogique

présenter les principales théories de la motivation appliquées à l’univers des organisations de travail. Il fait reposer la motivation sur 3 paradigmes : celui des besoins-mobiles-valeurs, celui du choix cognitif et celui de l’autorégulation-métacognition. La théorie des besoins : Elle permet de répondre à la question : Qu’est-ce qui motive ? Quels sont les facteurs de la motivation ? La théorie de maslow Cette théorie montre que la motivation est suscitée par la volonté de satisfaire des

voire d’entraînements systématiques L’apprentissage des procédures est envisageable en certains cas, sans faire appel à une 1ère phase déclarative La mise en œuvre de procédures peut conduire à la constitution de nouvelles connaissances. La métacognition = conscience qu’ont les individus à la fois de leurs forces et leurs faiblesses, à la fois en termes de savoirs et de savoir-faire Si les individus ont conscience de leurs forces et de leurs faiblesses cognitives générales ou relatives à un

oeuvre des * compétences efficacement dans des tâches * complexes. * Mise en place de situations d’entraînement dans lesquelles l’élève * peut observer ses stratégies d’apprentissage : métacognition. * 4) Un outil de travail sur l’erreur : la métacognition * La métacognition, c’est réfléchir sur la manière dont on travaille. * Cela renvoie à quatre types de questions : * - Quelle est ma tâche et à quoi saurai-je que je l’ai réussie ? * - Quel problème dois-je résoudre

l’inter-psychique à l’intrapsychique B. Les types et les structures de l’interaction 1. Les types d’interactions a. Interdépendance de l’apprentissage et de son contexte b. Le conflit sociocognitif c. La métacognition 2. Les structures d’interactions a. La collaboration b. La coopération c. Le tutorat ❑ Le socioconstructivisme et l’enseignement a. La pédagogie de projet

que 31 % ont un point de vue franchement constructiviste, les autres enseignant présentant des positions intermédiaires. 2. Une perspective métacognitive Par l'accent mis notamment sur les aspects constructivistes et interactionnistes, la métacognition offre un cadre théorique et des instruments pratiques permettant aux enseignants d'optimaliser le développement des compétences de leur élèves (Doudin & Martin, 1992; Albanese, Doudin & Martin, 1995; Doudin, Martin & Albanese, 1995). En effet,

personnelle des élèves . . . . . . . . . . . Chapitre 7 134 134 136 139 140 Conclusion : Apprendre davantage . . . . . . . . . . . . 141 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143 Le rôle de l’anxiété dans la métacognition : une réflexion vers des actions . . . . . . . . . . . . . . 145 Louise Lafortune et Francisco Pons 1. Contexte de l’anxiété à l’égard des mathématiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1 Réactions en lien avec l’enseignement

indubitablement l’humain de l’animal. L’animal ne peut penser et définir si ses actions sont bonnes ou mauvaises. Il ne distingue que le bien en le mal en fonction de la façon dont son maître l’aura conditionné. Dans le même sens, l’humain est capable de métacognition alors que l’animal en est incapable. L’Homme est en mesure de réfléchir sur les mécanismes qui régissent sa pensée, sur la façon dont celle-ci se construit. De son côté, l’animal ne peut penser et encore moins réfléchir à ses actions, autant présentes

Autorégulation métacognition Métacognition ↔ mémoire, perception, résolution Métacognition = savoir ce que l’on sait. autorégulation : propension à savoir se réguler Métacognition en mémoire : être capable de savoir ce que l’on peut mémoriser sur une durée, ce que l’on retient mémoire sélective Ce que l’on retient ou ne retient pas Métacognition de perception : Est-ce que l’on arrive à concevoir, être conscient, de ce que l’on touche quelqu’un, le mal que l’on peut fait ? Métacognition résolution Synonyme

sur le bout de la langue… ». On estime que cela nous arrive au moins une fois par semaine, et davantage quand on vieillit. Des scientifiques ont tenté d’expliquer ces oublis et deux hypothèses sont nées, une partant du principe de la métacognition (la métacognition consiste à avoir une activité mentale sur ses propres processus mentaux, c'est-à-dire « penser sur ses propres pensées »), et une autre selon la théorie du blocage. En fait ces deux explications sont très proches. Lorsque l’on cherche