Mintzberg Processus De Décision

statut ou du grade rattaché à une fonction - Des « capacités administratives » : la compétence et la valeur personnelle de l’administrateur. Administrer est un métier à part entière : - Il requiert des aptitudes intellectuelles d’analyse, de décision et d’apprentissage, un sens des responsabilités, de la fermeté, de la loyauté…, - L’expérience professionnelle constitue un critère d’appréciation de cette capacité, - Un bon diplôme est souvent indispensable, mais jamais suffisant. v. L’intégration

sécurité juridique. La bourgeoisie demande donc un Etat fort, d’où l’émergence de l’absolutisme monarchique puisque les corps dans la société ressentaient cet intérêt. Lorsque tout a été sécurité, la bourgeoisie exprime l’envie de participer aux décisions politiques, d’où l’action d’enrôler le peuple dans une révolution. La sociologie des organisations nait donc dans ce contexte, au croisement entre l’économie et la politique. La sociologie des organisations est très liée au contexte des sociétés

capacités organisationnels mais pas seulement mais les auteurs montrent quel que soit l’approche choisi, que la capacité d’adaptation et d’analyse de son environnement afin de pouvoir prendre les bonnes décisions est indispensable. Les auteurs définissent ensuite les compétences comme un processus global dans lequel plusieurs types de compétences : techniques, relationnels, humaines, communicationnelles, etc… qui vont permette au manager commercial d’être reconnu comme un acteur stratégique, un professionnel

le processus de décision stratégique et sur le contenu de la stratégie. Ainsi, différents arguments fondent l’hypothèse selon laquelle la structure influence la stratégie. Les stratégies sont le résultat de décisions. Les processus de décisions stratégiques se déroulent dans le cadre de structures existantes. Celles-ci ont une influence sur la perception des problèmes, les informations et le développement des alternatives. Elles limitent la liberté d’action et la mise en œuvre des décisions. La

beaucoup d’études au cours des dernières décennies, favorisant l’émergence de plusieurs courants de pensée. Dans Safari au Pays Stratégie, Joseph LAMPEL, Henry MINTZBERG et Bruce AHLSTRAND tentent d’analyser les différents courants et d’y apporter leurs éclairages. Ils nous les présentent sous la forme de dix conceptions du processus stratégique en ayant conscience qu’elles ne suffisent pas à capturer à elles seules la substance de ce qu’est la stratégie. D’autant que ces écoles ne s’articulent

revue de la littérature anglo-saxonne1(*) consacrée à la thématique Contrôle et comportements que le contrôle de gestion est souvent un processus de facilitation de la décision. Ils ajoutent que le contrôle de gestion poursuit également un second objectif davantage centré sur les comportements des acteurs, « un [...] mécanisme dont la finalité est d'influencer (decision-influencing) les comportements des acteurs de l'organisation dans le sens attendu par cette dernière » (Demski et Feltham, 1976, cités

tous les employés participaient à l’ensemble des étapes d’un processus de production par exemple, ils devraient être aptes à la fois pour les taches sophistiquées et les tâches élémentaires, ce qui signifierait travailler parfois en dessous de leur niveau de compétences. Sachant que la rémunération reflète le niveau de qualification le plus élevé, tous les employés seraient dès lors surpayés pour effectuer des taches aisées, ce processus conduisant inéluctablement à un usage peu rentable des ressources

« long-terme ». Dans cette revue de management, les auteurs (c’est ainsi que nous qualifierons Timothy O’Shannassy et Paul Hunter le long de ce résumé) développent les analyses antérieures déjà décrites par des auteurs tels que Hamel et Prahalad, Mintzberg et Porter notamment. Au-delà de cela, ils approfondissent ces études empiriques en montrant les limites de certains travaux. Ainsi, lorsque Hamel et Prahalad constatent l’accroissement de l’incertitude du futur sur les marchés, ils considèrent comme

notions de structure, de fonctionnement et d’organisation publique (A). Dans un second temps, nous aborderons le fonctionnement des organisations publiques (B). A. Clarification conceptuelle 1. Notions de structure et de fonctionnement Selon H. MINTZBERG (1995) : « La structure est la somme totale des moyens employés pour diviser le travail en des tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches »1. La structure organisationnelle définit donc le mode d’organisation

séances 1- Intro : Un monde d'organisations à comprendre 2- Décision, rationalité(s) dans l'organisation (rationnel) 3- La structure de l'organisation => Test de mi-parcours 6ème séance 4- Culture(s) et Organisation 5- Pouvoir et Organisation 6- L'approche critique des organisations Chap 1 : Un monde d'organisations à comprendre Les organisations sont les briques de notre société, elles traversent toute notre vie. H. Mintzberg. Rien d'autre que des organisations dans le monde. Elles nous