Piaget

dans la mesure où elles analysent, entre autres, les situations favorisant l'apprentissage des élèves. Nous nous intéresserons aux quatre principales : l'approche transmissive de Shannon et Weaver, le behaviorisme de Skinner, le constructivisme de Piaget et enfin le socio-constructivisme de Vygotski. a. L'approche transmissive Tout d'abord, l'approche transmissive, aussi appelée conception de la « tête vide de l'élève », est celle où le savoir est transmis par le professeur des écoles. Ce modèle

opérant 1.5. Paradigme expérimental de l’apprentissage des distinctions 1.6. Paradigme expérimental du désespoir acquis (Selligman) 1.7. Le cognitivo-comportementalisme Chapitre 2 : Le cognitivisme La pensée, le langage 1.1. Les six stades de Piaget 1.1.1. Le stade des reflexes ou montages héréditaires, ainsi que les premières tendances instinctives et les premières émotions (entre 0 et 2 ans). 1.1.2. Le stade des habitudes et des perceptions organisées, ainsi que les sentiments différenciés

conscience morale et politique (ex : Marx). Chez Piaget, le mieux est la pensée hypothético déductive. Dvpt/Progrès - va vers le mieux - on arrive à un moment d'état stable (ex : Marx et la fin de la lutte des classes) Temps Appliqué à la théorie du développement, on s'aperçoit que l'on pense qu'il y a du développement jusqu'à un certain âge (16-20 ans) et il n'est pas nécessaire d'étudier le développement au-delà. On a deux conceptions : – – linéaire (Piaget) tumultueux, conflits et régression (Marx

CM 1.1 Le développement de la personne et de la personnalité.Intro· DVP cognitif de l’enfent selon PIAGET· Dvp de l’enfant selon la théorie constructiviste et dialectique d’Henri WALLON · DVP psycho affectif du pdv de la psychanalyse (FREUD)· DEFINITIONPersonne  : c’est le sujet pourvu d’un système de pensée complexe Personnalité  : organisation dynamique liant les aspects intellectuels, les rpz°, affectifs, comportent taux interagissant avec son milieu. Développemen

« variables intermédiaires » : force de l’habitude, nombres de présentations renforcées du stimulus, potentiel d’inhibition suite à une réaction qui vient d’avoir lieu, etc. Cela lui permet d’expliquer une palette d’apprentissages beaucoup plus large. Piaget met fin au principe scientifique de boîte noire (on ne cherche pas à savoir ce qui se passe parce c'est invisible et non mesurable) et considère que « les opérations intellectuelles sont des actions intériorisées » et qu’elles s’organisent en structure

bien entendu toutes sortes d'interactions à un même niveau (cf. le fait que, dans (1), le second cadre spatial ferme le premier) et entre des unités de niveau différent. L'effet de ces interaction apparaît bien dans le passage suivant : (3) …[Selon Piaget, le développement de l'intelligence chez l'enfant se caractérise, comme l'histoire des sciences, par une succession de coordinations cognitives nouvelles, chacune définissant un stade. Il s'agit d'étapes, datées en années et en mois, dans la construction

d’une généralisation plus vaste. Lalanne distingue trois niveaux de formulations. Les différents niveaux de formulation correspondent à des étapes dans le processus d’apprentissage. Ils sont à mettre en relation avec les stades de développement de Piaget. Les changements d’énoncé dépendent des progrès de l’élève dans le domaine de la langue et de la pensée scientifique mais aussi d’une modification des problèmes étudiés se rapportant au même concept. 2. Les théories des pédagogues et leurs

données issues du domaine du biologique (particulièrement anatomie et physiologie) à partir des années 60 ils se sont intéressés aux travaux issus d'autres domaines. Tout d'abord les sciences humaines (psychologie avec particulièrement les travaux de PIAGET et WALLON) puis sociologie, psychanalyse... Depuis les années 70-80 les produits des recherches en neurosciences, des travaux menés sur les apprentissages moteurs, ceux du domaine des sciences de l'éducation, ainsi que ceux issus des recherches

philosophe, médecin et homme politique[8], accordera toute son attention au développement intellectuel et affectif de l’enfant, en insistant sur le rôle de l’environnement social dans lequel il est inscrit. Chez lui, en effet- contrairement à Jean Piaget[9], qui valorisait le milieu physique-, le milieu social contraint le développement. Il influence l’individu tout comme celui-ci influence son environnement social, envisagé comme le lieu des échanges entre les individus et permettant à l’enfant de

cérébral qui nous fait viser notre concept d'intelligence. Cette pédagogie est née d'un concours de circonstances. La construction de structures d'apprentissage se font de la naissance jusqu'à l'âge de 17 ans (Piaget) Après la dernière guerre, des constats ont fait évoluer les notions de Piaget. Feuerstein va innover dans une pédagogie dite de médiation ( P.E.I.) C'est le programme d'enrichissement instrumental. Cette pédagogie cognitive vient répondre à une montée de l'échec dans l'apprentissage