Poïétique

aux gaz. pneum(o)- Du grec pneumôn [pneum(o)-], poumon. Syn. pulm(o)-. pod(o)- Du grec pous, podos [pod(o)-, -pode, -podie], pied. pœcil(o)-, poïkil(o)- Du grec poîkilos [pœcil(o)-, poïkil(o)-], différent. -poïèse Du grec poiein [-poïèse, -poïétique], faire, fabriquer. -polaire, -polarité Du latin polus, du grec polos [-polaire, -polarité], tourner. Stéphan MAZURIER - Lycée Libergier – Reims 1ère ST2S et Tale – BPPH Petit lexique étimologique, page 47/67 polio- Du grec polios [polio-]

du langage, transporte dans un monde décalé : « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles » (Corneille). Poétique : Caractérisé par la transgression des règles usuelles du langage : langue écrite ou parlée, langage pictural ou musical, etc. Poïétique : Science et étude du processus de création d’une œuvre. Point de vue : 1. Endroit d’où l’on perçoit un objet, un personnage, un paysage, etc. 2. Notion centrale liée à la représentation de l'espace dans la perspective classique avec un point de

de l’IL-6 : monocytes/macrophages, lymphocytes T, lymphocytes B, cellules NK, fibroblastes, neutrophiles, mastocytes, astrocytes, chondrocytes, progéniteurs hémato2.   Les  sources  de  la  cytokine   de l’IL-6 est de 26 000 Da. poiétiques, éosinophiles, cellules endothéliales, épidermiques, …   L’IL-6 est très souvent produite sous l’effet d’autres cytokines. Ainsi, l’IL-1 et les TNF α et induisent la L’IL-­‐6   est   produite   par   une   très   longue

règles usuelles du langage, transporte dans un monde décalé : « Cette pale clarté qui tombe des étoiles ». Poétique : Caractérisé par la transgression des règles usuelles du langage : langue écrite ou parlée, langage pictural ou musical, etc. Poïétique : Science et étude du processus de création d’une œuvre. Point de vue : 1. Endroit d’où l’on perçoit un objet, un personnage, un paysage, etc. 2. Notion centrale liée à la représentation de l'espace dans la perspective classique avec point

Etant donné que l'homme dirige lui-même, on peut le stimuler de l'extérieur mais on ne peut pas stipuler ce qu'il doit faire. L'idée d'un système ouvert avec sa propre capacité d'autorégulation est remplacée par l'idée qu'un système devient auto poïétique et se construit par lui-même. Ces dernières années cette idée reçut de plus en plus un accueil très favorable dans les organisations. L'influence que l'on peut exercer sur une organisation est aussi limitée; elle opère à cause d'une logique interne

- dont la fin « appartient » au sujet de l'activité (l'agent). Cela mène à la « philosophie de l’action » ou praxéologie, dont les théories modernes sont souvent enseignées en école de gestion-management. 3 - En dernier lieu, il y a la science poïétique, de « poïesis », la production - dont la fin, l'objet produit, est extérieure au sujet de l'activité. Il s'agit du savoir-faire ou de la technique (techné), qui sont acquis par l'usage, et dont le but est la production d'un objet qui n'a pas son

linguistique ni épistémologie de la linguistique B. Linguistique C. Sémiotique D. Pragmatique E. Technologie de la télécommunication 1. Problèmes de l'archivation 2. Les media de masse 3. Informatique, télématique, robotique, biotechnologies. F. Poïétiques IV. TRADUCTION, TRANSFERT, TRANSVERSALITÉ : 605 606 607 607 608 610 611 A. La langue, la multiplicité des langues et la problématique de la traduction B. Centres de formation linguistique C. Technologie moderne de la traduction : problèmes

propres à la photographie et aux arts graphiques et propose une typologie des œuvres photographiques. Sémiologie de la musique La tripartition de Molino et Nattiez soutient que toute oeuvre musicale peut être abordée de trois points de vue : le niveau poïétique (point de vue de la production), le niveau esthésique (point de vue de celui qui reçoit le message musical) et le niveau immanent de l´œuvre (niveau neutre, l´ensemble des configurations du texte musical). L´originalité de la tripartition de Molino

qu’on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie. » Le « petit poème en prose » baudelairien valorise l’ambiguïté comme mécanisme poïétique 8 conscient, assurant, intentionnellement, la fécondité de son héritage herméneutique, ce qui est à même de renforcer sa réputation de grand novateur en matière d’esthétique. Une certaine imprécision sera, par conséquent, de règle, durant l’entier

féminins : l’écriture filtrée et orientée » in Le Pouvoir et la plume, Paris, C.I.R.R.I., 1982. M.F. PIÉJUS, « La création au féminin dans le discours de quelques poétesses du XVIème siècle » in Dire la Création, la culture italienne entre poétique et poïétique, Diffusion Presses Universitaires de Lille, Budor éditeur, 1994. Christine PLANTÉ, « Le silence des femmes ou les enjeux d’une métaphore » in Cahiers du CEDREF, n°1, Université de Paris VII, 1989. Christine PLANTÉ (sous la direction de), L‘Epistolaire