Rationalité limitée

(maximisation du profit, rationalité parfaite, CPP, contraintes de prix et de technologie) Ø Les réponses aux critiques adressées à la théorie néoclassique (le « as if » de Friedman et le « pantin abstrait » de Machlup) 4 Chapitre 1: LA FIRME NEO-CLASSIQUE ET SES LIMITES 2. La remise en cause de l’approche néo-classique Ø La question de l’entrepreneur (Schumpeter) Ø La remise en cause du seul objectif de maximisation du profit (Berle et Means, Baumol) Ø L’hypothèse de rationalité limitée (Simon) Ø L’efficience

solution optimale et ses décisions sont acceptées par l’ensemble des acteurs de l’entreprise. 2. La théorie du décideur à rationalité limitée Dès 1955, Herbert Simon, économiste américain ayant obtenu le prix Nobel en 1978, a montré que les décideurs, eu égard à leurs limites physiques et intellectuelles, ne peuvent envisager toutes les solutions. Leur rationalité est limitée par les contraintes de temps, de budget, d’information, de raisonnement, etc. Ils envisagent donc les solutions de façon séquentielle

* La meilleure définition est celle de Jean-Michelle Crouzier, l’organisation est une réponse aux problèmes de l’action collective. 1.1 La rationalité technique – Fréderic Taylor (1856-1915) Il est spécialiste en organisation systématique des ateliers de productions des produits. Il participe à la réflexion pour une meilleure rationalité des ateliers. Le contexte de l’époque : c’est l’époque de progrès technique et des recherches scientifiques. Taylor constate l’inefficacité de la production

postulat prend en compte une nouvelle notion : celle de la rationalité limitée de l’acteur. Cela signifie qu’un acteur prend des décisions rationnelles à une certaine mesure, car des variables entre en compte (ex : degré d’information…). - Postulat de Michel Crozier : Crozier reprend l’idée de March (la rationalité limitée) auquel il ajoute l’analyse stratégique. L’analyse stratégique défend l’idée que l’acteur utilise la rationalité limitée à bon escient pour lui (c'est-à-dire dans des contextes

changement. Sections IV : Conclusion : limites - Incertitudes, événements imprévus et discontinuités sont des facteurs d'indécision - Actualisation de la stratégie due à plusieurs facteurs, - Limites du processus stratégique relève de la rationalité limitée, des situations d'urgence et des imprévues, - Limite des moyens à la dispositions de l'entreprise, - Choix volontaristes de tous les membres - Capacité de synthèse et analytique - Incertitudes du long terme, intuition, calcul, accidentelle et

formes organisationnelles qui minimisent le coût de transaction? MIAGE Université de Paris 5 - Juan Celso FLORES 8 2.1 Théorie des Coûts de Transaction TCT   – Hypothèses Propres : – – Rationalité Limitée Opportunisme Hypothèses propres: – Rationalité Limitée Opportunisme  Rationalité Limitée : Les agents, sont dans l’incapacité de prévoir tous les événements susceptibles de se produire dans le futur, et de leur affecter une probabilité (Jeux dynamiques théorie de jeux).  Donc Impossibilité

si important que certains auteurs considèrent que l’on qualifie à tort notre économie de « marchande » elle devrait être qualifiée d’économie « organisationnelle ». Notamment Simon, 1991, qui oppose organisation et marché c’est le concept de rationalité limitée et c’est une prise de conscience forte car c’est un champ de réflexion qui s’ouvre On ne négocie pas toujours ce qu’on achète ni nos salaires mais ces prix résultent d’organisations. Ce n’est donc pas toujours en fonction de l’offre et de

un domaine à cheval entre l'économie industrielle et la théorie des organisations. Plan : • Théorie des coûts de transactions • La notion de transaction • De la notion classique d’échange marchand a celle de la transaction • Rationalité limitée • Opportunisme • Actifs spécifiques • Types de transactions • L’organisation et le marché • La théorie de l’agence • Définition • Conditions • Fonctions • Normes • Ses implications • Conséquences dans les

Williamson se distingue des approches néoclassiques que nous allons voir, en tout premier lieu par ses hypothèses sur le comportement des agents économiques. Williamson reprend en effet à son compte la théorie de la rationalité limitée de Herbert Simon : les agents ont des capacités cognitives limitées, ils ne peuvent pas, dans des environnements complexes, envisager tous les événements possibles et calculer parfaitement les conséquences de leurs actes. De cette conception Williamson tire essentiellement une

considérations : l'une sur le comportement économique des agents, l'autre sur l'analyse des coûts de transaction. Concernant tout d'abord le comportement économique des agents, il postule deux élément : d'une part, le fait que les agents ont une rationalité limitée, c'est-à-dire qu'ils n'optimisent pas comme le soutient la doctrine économique traditionnelle, mais qu'ils s'arrêtent une fois qu'une solution leur parait satisfaisante ; d'autre part, le fait que les agents adoptent des comportements opportunistes