Rationalité Technique

Quatre définitions contemporaines de la Technique, commentées : J'extrais la première du Manuel d'Ethnographie de Marcel Mauss (1947), avec deux ajouts : Une technique [élémentaire] est un acte traditionnel [on veut dire acquis et routinier] visant à produire un effet mécanique, physique ou chimique, connu comme tel et répétable à volonté. J'emprunte la seconde à Jean-Yves Goffi (dans Philosophie de la technique, 1988), qui écrit : Nous dirons d'une activité, visible ou invisible, essentiellement

règles fixé pour le fonctionnement de l'église ) Il est capitale d'avoir institutions politique : l’occident prete plus d'importance a ce qui est rationnel ce qui les mène au capitalisme. Le droit et les procédures juridiques repose sur notion de rationalité . Cette rationalisation des conduites et de la société envois a la notion de désenchantement du monde. Le capitalisme se définit par la recherche du profit. Il repose sur l’échange. Capitalisme se calcule par bilan ou on établie montant du profit

des marchés financiers porte généralement sur l’efficience informationnelle, c'est-à-dire sur le fait que les cours boursiers reflètent instantanément toute l’information disponible. Toutefois, le concept d’efficience est aussi lié au concept de rationalité des investisseurs et celui de l’efficacité économique des marchés. II. Les types d’efficience 1. L’efficience informationnelle a. Définition Selon cette acceptation, un marché sera efficient si l’ensemble de l’information pertinente à

dimensions ; Une logique de gestion des organisations visant à en faire des systèmes ouverts sur l’environnement extérieur, une démarche méthodique afin d’organiser les objectifs de l’organisation, une fonction, et un ensemble de techniques contribuant à améliorer la rationalité de la démarche. Etant donné l’entreprise appartenant à un certain environnement, elle se doit de prendre en considération sa complexité afin d’assurer sa pérennité, s’en suit, l’extension de la notion de marché et le Marketing

théoriciens de la décision ont montré qu’au sein des organisations, les décisions sont loin d’être rationnelles en raison de plusieurs facteurs : * information imparfaite, * rationalité limitée des dirigeants, * prise en compte des objectifs personnels des décideurs, etc. Pour Herbert Simon, la rationalité du décideur est nécessairement limitée car la décision s’intègre dans un environnement complexe qui restreint la perception des choix et impose de nombreuses contraintes au décideur

sociologue, historien Dans le deuxième niveau, on va étudier les variables. C'est a ce niveau que se situe l'avantage des économistes par rapport aux sciences de gestion, pour la simple raison que les économistes utilisent depuis toujours les techniques statistiques. Le troisième niveau, ou l'état abstrait traite de la théorie et de l'interaction entre les relations, dans ce niveau, l'information va être détachée de l'expérience immédiate. Une théorie c'est une simplification, c'est une abstraction

itéeThéorie de la rationalité limitée Contexte de la théorie La théorie de la rationalité limitée part sur une critique du modèle économique néoclassique. La modélisation de la rationalité limitée se confond avec le projet général d'élaboration de modèles de décision établis par le modèle classique. Cette théorie remet en question le réalisme du modèle néoclassique du choix rationnel qui repose sur un ensemble d'hypothèses fortes (connaissance de tous les choix possibles et de toutes les

à une consommation finale mais qui sont utilisés par ses clients pour les besoins de leur propre production. La différence essentielle entre l’achat industriel et l’achat individuel ne réside pas, comme on le croit souvent, dans la plus grande rationalité économique du premier. Les différences fondamentales proviennent du fait de la complexité et la longueur du processus qui mène à l’achat mais aussi du fait que plusieurs personnes exercent de façon plus ou moins formelle leur influence sur la décision

GENERALE La théorie des coûts de transaction (TCT) s'est construite en plusieurs temps. Elle repose, dans ses développements actuels, sur certaines hypothèses différentes de l'axiomatique néo-classique, principalement une hypothèse de rationalité différente. D’ailleurs, la description « classique » de l'entreprise pour les économistes met l'accent sur la fonction de production, les prix et la technologie. Elle ne prête guère d'attention au management. Elle est pertinente pour décrire

le sujet principal de manière assez académique. La question posée est : le consommateur est-il rationnel ? Quelle est l’idée de cette rationalité ? Finalement les choses sont relativement compliquées. C’est une grande question de philosophie, je ne suis pas philosophe et je vais me limiter à rappeler ce qu’on entend par rationalité du consommateur. Une rationalité limitée. Si tous les raisonnements que l’on peut avoir sur la concurrence ou sur les politiques de concurrence peuvent tenir, il faut