Rationalité Technique

constitution de la République de Weimar. Oeuvre majeure : L’Éthique protestante et l’esprit du capitalisme(1905). Sa thèse 1. Qu’est-ce qui triomphe dans la réalité sociale actuelle? La rationalité. 2. Qu’entend-on par “rationnalité” en terme de “rationalisation des activités sociales”? La rationalité étant définie par “ce qui est fondé sur la raison”, la rationalisation désigne l’extension des activités accomplies selon une logique obéissant  au calcul, ‚ à la prévision, ƒ à l’évaluation

caractéristiques fortes de la pensée systématique. Il n'existe pas de modèle final mais que des « finalité » . L'approche systématique analyse les situations au cas par cas comme dans une approche mécanique , l'analyse systématique a des caractéristiques technique et méthodique similaire a celle utilisé en contrôle de gestion. 2-Les théories économiques des organisations La théorie économique a longtemps considéré la firme et les organisations comme « des boites noires » , la firme constitue une entité

Introduction aux décisions et processus décisionnels (1) P la n 1. Introduction à la prise de décision 2. Typologie des décisions dans l!entreprise 2009 Bernard ESPINASSE Professeur à l'Université d'Aix-Marseille 3. Rationalité du décideur • Introduction à la prise de décision 4. Modélisation des processus décisionnels • Typologie des décisions dans l!entreprise • Modélisation des processus décisionnels Décision et processus décisionnels - Bernard ESPINASSE - 1

POLITIQUE PUBLIQUE : Thème : la décision PLAN I – LES ACTEURS ET LES PROCEDURES DE DECISION A- LES ACTEURS B- LES PROCEDURES II- PROCESSUS DE LA DECISION A-LA RATIONALITE ABSOLUE B- LA RATIONALITE LIMITEE INTRODUCTION On peut traduire de manière différente le terme politique en anglais selon le sens que l'on veut lui donner : political (la politique), politics (le politique) Policy (Politique publique). C'est ce dernier qui nous intéresse. La politique publique est ce

Simon Simon et la rationalité limitée Herbert Simon a cherché ce que la science pouvait dire de la raison en partant de l'observation des faits. Cela va amener Simon à se démarquer de la « rationalité substantive » (substantive rationality) et à se tourner vers la rationalité procédurale. La rationalité substantive est comprise comme la rationalité parfaite des néo-classiques français et d'une partie de l'école autrichienne, qui suppose que de facto l'individu dispose de toute l'information

tactique. Ces décisions correspondent souvent à des décisions de gestion qui peuvent parfois être aidées par des modèles mathématiques : Ex : Modèle de Wilson en gestion des stocks Méthode des moindres carrés pour les prévisions de ventes Techniques d’études quantitatives de marché Modèle BCG d’analyse du portefeuille d’activités d’une entreprise Modèles d’organisation– etc. D’une manière générale ces décisions engagent l’entreprise à moyen terme et le risque attaché à la prise de décision

plusieurs théoriciens de la décision ont montré qu’au sein des organisations, les décisions sont loin d’être rationnelles et ce, en raison de plusieurs facteurs : information imparfaite, rationalité limitée des dirigeants, prise en compte des objectifs personnels des décideurs, etc. Pour Herbert Simon, la rationalité du décideur est nécessairement limitée car la décision s’intègre dans un environnement complexe qui restreint la perception des choix et impose de nombreuses contraintes au décideur. La

pas plus que le registre des " actions logiques ", les théories de la rationalité économique ne puissent rendre compte de cette question. L'idée de " rationalité limitée ", développée par Simon, a mis en évidence le caractère non logique des décisions de gestion : la décision est non-logique parce que le décideur ne peut, en pratique, disposer de l'ensemble de l'information nécessaire : c'est la limite objective de la rationalité. Mais elle est également limitée de façon subjective : par les normes

constituants ) . 2. Le principe de rationalité : au c ur de la démarche micro-économique La rationalité de nos comportements économiques constitue l’hypothèse de base fondamentale du modèle micro-économique. Elle est décrétée et non prouvée ( on est en présence d’un axiome ou d’un postulat de départ ) et constitue le support de tous les raisonnements ultérieurs. Elle est définie, dans sa version de base, par les conditions suivantes : Condition de rationalité égoïste : nous défendons prioritairement

( principe de la rationalité limitée ) que toute décision est un processus qui correspond à trois étapes ( intelligence, modélisation, choix ). Pour Simon l’environnement complexe, incertain, instable ne permet pas de connaître toutes les informations liées aux problèmes posés par le décideur. Ce dernier va alors prendre, choisir une solution qui lui paraît satisfaisante, mais qui n’est pas forcément la meilleure possible. Il fait donc preuve d’une rationalité limitée. Toute décision