Socratique

question ouverte. Comment appréhender la réflexion sur le sujet ? Le travail préparatoire UN TIERS du temps au moins : analyse du sujet. (=décomposer un tout en ses éléments) : - Y chercher une DIFFICULTE, un embarras pour la pensée (un laboria socratique). Une question dont la réponse ne va pas de soi. Chercher tout ce qui peut obscurcire la question. - Transformer cette difficulté en un PROBLEME GENERAL. --> aussi la forme d'une question. Cerner le sens des notions en jeu dans le sujet, les identifier

chacun à son opinion mais l'opinion n'est ni vraie ni fausse, c'est seulement une croyance. Et en répondant ça la personne nous signale qu'elle s'en fiche de l'opinion des autres, et qu'elle respectera seulement la sienne. Le premier précepte socratique dit « Tout ce que je sais c'est que je ne sais rien » ce qui signifie que notre opinion que l'on pense vrai par nature ne l'es pas en réalité. Mais certaine fois, on ne veut pas sortir de notre point de vue et de cette opinion alors on s'enferme

il ne faut pas oublier que lui aussi, comme Platon et Socrate, il utilise la morale et la connaissance pour arriver à ces fins. On peut aussi comparer sa philosophie à une maïeutique ; l'art d'accoucher des idées. Une maïeutique est une méthode socratique reposant apparemment sur l'interrogation et se proposant d'amener un interlocuteur à prendre conscience de ce qu'il sait implicitement, à l'exprimer et à le juger. Cette méthode peut être douloureuse au début mais à la fin, elle donne souvent un

une opinion admise sans jugement/ raisonnement. « Phédon » : les derniers moments de Socrate, ce sont des moments d’une parfaite sérénité. Les derniers mots de Socrate : « Nous devons un cop à Asklepios » (Dieu de la médecine). Ironie Socratique : feindre l’ignorance (dire le contraire de ce qu’on pense). L’essence d’une chose : ce qui fait qu’une chose est ce qu’elle est, et qui la distingue de tout autre chose. Donner l’essence d’une chose est à la fois donner sa nature et sa définition

semble évidente en effet. Non seulement je sais qui je suis (puisque précisément je le suis), mais je suis en outre le mieux placé pour le savoir. Cette connaissance fonde toutes mes connaissances ultérieures => peut être convoquée ici l’invite socratique « Connais-toi toi-même », prélude à toute connaissance du monde. Elle montre clairement que l’activité philosophique, la recherche de la sagesse, passe aussi par un travail d’approfondissement, une « ré-flexion » sur soi-même. Mais

reconnaître ces risques et limites. Par le fait notamment que celle ci se construit au détriment d’autrui. Elle véhicule quelque chose de désagréable, rabaissant les personnes ou choses visées par elle. On peut par exemple illustrer ceci, avec l’ironie socratique  qui dénigre ses interlocuteurs ou contradicteurs en leur montrant de manière ironique qu'ils se trompaient. Ici elle est plutôt perçue comme quelque chose d’irritant, qu’efficace. Si l'ironie fait rire, c'est toujours d'un rire plus ou moins méprisant

», bientôt de « mer » et de « soleil », dessine peu à peu l’espace d’un monde dont l’auteur, rejetant les prétentions de l’histoire, fait à jamais sa divinité 21 . L’enlacement initial du ciel et de la terre voit, dans les premières pages socratiques sur « L’ironie », « le beau soleil transparent tomber sur la baie tremblante de lumière, comme une lèvre humide » 22 . La terre est le baiser du ciel et, en retour, le ciel l’étreinte de la terre. Car la nature entière se donne à l’homme

étant de trouver le savoir vrai. Grâce à la dialectique, on définit une valeur de manière universalisable. Maïeutique : Le but est de faire accoucher les idées. Cela permet aux gens de trouver par eux-mêmes les réponses et le savoir. Ironie socratique : Feindre de ne pas savoir pour que l’autre avoue tout ce qu’il sait. Philosophie générale Matérialisme : Selon cette philo, tout est fait de matière. Empirisme : Selon cette philo, on perçoit le monde par non sens et par notre expérience

un caractère aléatoire alors: Vient ensuite notre propre réflexion et notre raison. I - Repérage des préjugés • Définition : préjugé = jugement prématuré, c'est-à-dire non fondé sur l'expérience ou l'analyse rationnelle. Rappel du modèle socratique : que fait d'autre Socrate, sinon mettre en lumière ce que l'Athénien moyen admet comme allant de soi sans exercer de réflexion ? • Quelques repères philosophiques : Platon montre que l'opinion - où abondent les préjugés, est le contraire de

découverte du soleil comme source de toute chose et dont le feu n'est qu'un pâle reflet mais qu'il ne peut que contempler dans sa demeure. Il faut remarquer que cette ascension n'est pas forcée. C'est ici qu'il faut rappeler l'importance de la méthode socratique. Celle-ci comporte 3 étapes : L'ironie que Socrate utilise non pour se moquer mais pour amener son interlocuteur à douter La réminiscence. Pour Platon connaître c'est se souvenir. Il pense que l'âme a connu dans une vie précédente mais a oublié