Stratégie Arcelor Mittal

Chapitre 6 : Parties prenantes, contre-pouvoirs et gouvernance de l’entreprise Chapitre 7 : La démarche stratégique Chapitre 8 : Le diagnostic stratégique externe Chapitre 9 : Le diagnostic stratégique interne Chapitre 10 : Les stratégies globales Chapitre 11 : Les stratégies de domaine Chapitre 12 : Croissance et internationalisation de l’entreprise Chapitre 1 : L’esprit et la dynamique de l’entrepreneuriat 1. La logique entrepreneuriale La logique entrepreneuriale est un état d’esprit qui caractérise

participations et dépendant d’une société mère qui les contrôle (ou ensemble de sociétés soumises au contrôle d’un centre de décision unique, dont elles dépendent par des liens juridiques et financiers). Structure d’un groupe : – société-mère : définit la stratégie d’ensemble et contrôle l’activité globale, – filiales : sociétés dont le capital est détenu à plus de 50 % par la société-mère, soit directement, soit indirectement, – participations : sociétés dont le capital est détenu à plus de 10 % par la société-

la couverture fonctionnelle ; • la direction financière et du contrôle de gestion pour définir les indicateurs et mesurer la performance ; • la direction des ressources humaines pour définir les postes ; • la direction générale pour décliner la stratégie en objectifs opérationnels par processus ; • le conseil d’administration pour mieux comprendre l’entreprise ; • le commissaire aux comptes pour comprendre les métiers de l’entreprise et définir une approche d’audit ciblée fondée sur l’identification

| On a des ententes car les entreprises ont toujours intérêts à se mettre d’accord. On s’éloigne donc d’une efficacité sociale. 2 La stabilité des ententes La question qui se pose alors est de savoir si une stratégie d’entente entre les firmes est tenable sur le moyen ou le long terme ou si au contraire, l’intérêt individuel des firmes ne les amène pas une fois l’entente conclue à la briser. L’enjeu politique de cette question est déterminant car si les ententes

surtout les opérations de privatisation de l’Etat vendeur. -la logique de prédateur : prise de contrôle des actifs de la firme jugés sousévalués. La prime de contrôle est alors le sur-prix que l’acheteur accepte de payer. (Ex : Arcelor racheté à un coût élevé par Mittal Steel). Les actifs jugés être à l’origine de la décote initiale peuvent ensuite être cédés ce qui réduit d’autant les risques d’illiquidité. -la logique de créanciers : pas vraiment une transaction mais un risque du prêteur :

organisée par le cabinet Mercer avec Enjeux. Trop souvent, les entreprises n’imaginent pas la croissance, la « création de valeur », autrement qu’à travers une belle opération de fusion-acquisition, ou à la rigueur par une percée à l’international. Leur stratégie de conquête est, la plupart du temps, orientée sur une nouvelle frontière… extérieure, quitte à délaisser leur marché d’origine. Pourtant moins risquée et moins capitalistique, la croissance interne ne fait guère rêver (ni donc « phosphorer ») les

économique et des pratiques des firmes. La presse quotidienne nationale se fait régulièrement l’écho d’opérations de réorganisation des entreprises, avec parfois des retentissements médiatiques ou politiques importants comme ce fut le cas pour l’OPA Mittal – Arcelor ou pour la fusion GDF-Suez. Le journal Le Monde (28 mars 2006 : 171) citant Thomson Financial, explique que partout fiançailles et mariages se multiplient au point d’avoir augmenté de 44% entre les premiers trimestres 2005 et 2006. Ces restructurations

réalise près de 50 % de son Chiffre d’affaires en Europe, le groupe est aussi présent en Afrique et au Moyen Orient (20 %), en Amérique du Nord (14 %), en Asie--‐ Pacifique (11,5%), et en Amériques latine et centrale (5 %) . ArcelorMittal Lakshmi Mittal PDG Secteur d'activité : Transformation des métaux ArcelorMittal est le premier groupe mondial dans le domaine de la sidérurgie. Le groupe prduit différents types d’aciers qui se répartissent comme suit dans le chiffre d’affaires en 2009 :

parole collective en matière de systèmes d'information La gouvernance du CIGREF obéit au principe de subsidiarité En effet, les activités sont choisies par l'Assemblée générale des membres, seule instance décisionnaire en matière de stratégie de l'association. La stratégie est ensuite mise en œuvre par le Conseil d'administration, composé de quinze membres élus. Enfin, le suivi opérationnel est assuré dans le cadre de trois comités d'orientation pilotés par des DSI volontaires et animés par l'équipe

millénaire, 2001 8 . La mondialisation fait diminuer la part des salaires et augmenter la part des profits dans les PI et tend à accroître les inégalités. . Leurs entreprises se mondialisent et participent à la concentration du capitalisme mondial (Mittal/Arcelor) Les pays émergents dans le monde, source FMI % population 82% % PIB mondial PPA 52% Capitalisation boursière 15% Energie consommée 55% % réserves change 70% Ces pays constituaient 70% du PIB mondial en 1820 à l’aube de la révolution industrielle