Stratégie Monopolistique Et Oligopolistique

Fermeture des entreprises non compét itives Coûts sociaux ( baisse de salaires, chômage Multiplication des pratiques de dumping Protection douanière faible Apparition de nouveaux concurrent s plus forts Stratégies de domination par les prix Concentration monopolistiques et oligopolistique Élimination ou absorpt ion des entreprises moins perf ormantes Concentration : Trust, Cartel, Holding Spécialisation peu favorable au développement des PED Pour K. Marx au travers de sa « théorie d

le prix, au lieu que le prix soit imposé par le marché. Situation l’oligopole : Chacun réalise que ses choix vont influencer les choix des  entreprises concurrentes, et tient compte du comportement des concurrents pour  déterminer ses propres stratégies. Chaque entreprise a finalement une influence non négligeable sur le prix de marché Situation de la concurrence : La structure de la concurrence : plus la concurrence est forte, plus l'entreprise devra tenir compte des prix pratiqués par les

CHAPITRE 6 : LE MONOPOLE, OLIGOPOLE ET CONCURRENCE MONOPOLISTIQUE. Introduction : Le cadre de la concurrence pure et parfaite est un modèle que l’on retrouve rarement dans la réalité. Dès qu’une des conditions de la concurrence pure et parfaite n’est pas respectée, la concurrence devient imparfaite ; la concurrence est même inexistante dans le cas du monopole. La concentration désigne le phénomène d’augmentation de la taille moyenne des entreprises et de la diminution de leur nombre. La concentration

barrière à l’entrée concentration du marché. Il existe un lien entre la concentration et la profitabilité. Ex : plus le marché est concurrentiel plus les prix vont diminuer. Politique de prix : tout dépend de la recette marginale. Marchés monopolistiques : plus beaucoup maintenant. Face à cette obligation les entreprises qui essayent par d’autres moyens d’avoir un certain degré de monopole grâce à la différenciation des produits, pour pouvoir s’adresser à des segments de clientèle différents.

d'échelles croissants externes à la firme 54 2. Economie et espace: difficultés théoriques 2.2.Coûts de transport et rendements croissants ▸ Modèles ▸ avec concurrence imparfaite Concurrence oligopolistique: prise en compte des interactions stratégiques entre firmes ▸ Concurrence monopolistique: même si les entreprises ont un pouvoir de marché, il n'y a pas d'interactions stratégiques entre les firmes ▸ Rendements d’échelles croissants internes à la firme 55 Economie et Espace

est nécessaire de passer par une longue phase de réflexion et d’analyse. Cette phase implique la connaissance de nombreux phénomènes de marché ainsi que l’analyse interne/fonctionnelle de l’entreprise, ce qui aboutira ensuite à la définition d’une stratégie via un choix de segmentation et de positionnement. Parmi les phénomènes de marché étudiés, la concurrence et son étude est ce qui constituera le sujet d’aujourd’hui. Ce dernier nous amène à la problématique suivante, qui va axer la déclinaison logique

Le but du cours est de comprendre les stratégies d’une entreprise par rapport aux théories vues en cours. Il va y avoir environ 10 séances de théorie et le reste sera mis à la disposition des étudiants afin de travailler la théorie sur le cas d’une entreprise : cette année nous analyserons VW. Le cours est divisé selon un plan précis donné à reprendre à tous les cours : I. Théorie de l’entreprise II. Exercice de pouvoir monopolistique III. Interdépendances stratégiques

La stratégie de communication commerciale Tous les autres types de communication se basent sur cette stratégie. Elément essentiel du plan marketing, la stratégie a plusieurs fonctions : - Canaliser l’expression créative. - Orienter la cohérence des différentes prises de parole d’une marque ou d’un produit : pérennité. - Assurer la pertinence du discours publicitaire par rapport aux attentes des consommateurs et ainsi démultiplier l’efficacité du message, aussi, différencier un

le monde réel, à savoir comment cela fonctionne dans la réalité. Le problème est que le modèle néoclassique (modèle dominant) n’est pas vraiment adapté: Atomicité: dans la réalité cela ne se rencontre quasiment jamais, on à des marchés dits oligopolistique (quelques entreprises face à un grand nombre de consommateurs). Homogénéité: les produits sont différenciés, sur un même marché on à plusieurs produits: Fiat 500 bleus, Fiat 500 rouges, substituables avec une mini..) Libre mobilité des facteurs

des pays en voie d’industrialisation est constitué de Petites et Moyennes entreprises. Mais lors de la grande dépression de la fin de ce siècle, la concurrence accrue pousse les entreprises à chercher à contrôler les marchés par des pratiques oligopolistiques (offre détenue par un nombre restreint de producteurs ou de vendeurs). On assiste alors à une première grande vague de fusions ou d’ententes horizontales, c'est-à-dire de regroupements d’entreprises dans le même secteur sous une nouvelle raison