Séance De La Flagellation 1766

l’acte de naissance de l’absolutisme « le roi ne doit aucunement être sujet au commandement de d’autrui, il est absous de la puissance des lois ». - Un discours célèbre de Louis XV lu en 1766 devant le parlement de Paris et ce discours est appelé le discours de la séance de la flagellation. C’est le testament de l’absolutisme et la magistrature ne forme point un corps, ni un ordre séparé. Extrait du discours = « c’est en ma personne seule que réside la puissance souveraine, c’est à moi

l'esprit de conseil, de justice et de raison. C'est à moi seul qu'appartient le pouvoir législatif sans dépendance et sans partage. L'ordre public tout entier émane de moi » déclara le Roi Louis XV au Parlement de Paris, lors de la seance de la flagellation, le 3 mars 1766. Ce discours du Roi Louis XV vise les parlementaires pour leur rappeler qu'ils doivent obligatoirement obéissance au roi. Louis XV leur fait savoir qu'ils sont les officiers chargés d'acquitter le roi du devoir royal de rendre la

jansénisme; entre 1763et 1766, les parlements s'opposent au pouvoir royal sur une question financière; et ils s'opposeront également à l’engagement de la France en Amérique, et au gouvernement car il ne convoque pas les Etats Généraux qui doivent consentir aux impôts/ Ils réhitèrent représenter l’intérêt de la nation. En 1766, les parlementaires s’opposent avec une telle vigueur à Louis XV qui celui-ci est contraint lors d’un lit de justice, connu sous le nom de « séance de la flagellation », de rappeler

parlementaires en prévenant le roi des éventuelles conséquences d'un gouvernement trop despotique. Les remontrances dénoncent les actions du roi et le 3 mars 1766, Louis XV fait un rappel à l'ordre lors de la séance de la flagellation. Il rappelle la souveraineté du monarque et le fait que le justice n'émane que de lui mais cette séance ne porte pas ses fruits car l'agitation parlementaire continue car Louis XV fait un lit de justice et les parlementaires répondent par une suspension de la justice

l’aide de magistrats qui n’étaient cependant que présents pour lui donner des conseils. C’est pourquoi une grande opposition parlementaire a eu lieu sous Louis XV qui s’est alors rendu au Parlement de Paris le 3 mars 1766 pour y faire un discours qu’on a appelé la « séance de flagellation », un discours très virulent dans lequel il a exprimé son opinion vis-à-vis de la révolte. Il y a notamment expliqué que son pouvoir s’exerce sans dépendance et sans partage. Mais ce discours n’a pas été entendu par

SEQUENCE  : LES LUMIERES, LA REVOLUTION FRANCAISE ET L’EUROPE Séance 1 : Les Lumières Qu’est ce que les Lumières ? Quelles idées défendent-elles ? Comment se diffusent-elles ? Document.1 l'absolutisme Toute puissance, toute autorité résident dans la main du roi et il ne peut y en avoir d'autre, dans le royaume, que celle qu'il y établit. [ ... ] Celui [Dieu]qui a donné des rois aux hommes a voulu qu'on les respecte comme ses lieutenants, se réservant à Lui le droit d’examiner leur

L’absolutisme face aux Parlements La séance de flagellation (1766) – L1 Droit (Raphaël F.)   Tandis que le jurisconsulte Guy Coquille affirme que « le roi est monarque et n'a point de compagnon en sa majesté royale », les Parlements le renvoie à ce qu’ils considèrent comme de la poésie en s’immisçant profondément au fil des siècles dans l’exercice du pouvoir souverain. En tant que monarque (« gouvernement d’un seul »), il veut effectivement être l’unique titulaire de

Quant à la position du roi, elle est clairement exprimée dans des paroles si duresque cette séance garda le nom de "séance des flagellations". "C'est en ma personne seule queréside l'autorité souveraine, ; c'est de moi seul que mes cours tiennent leur justice et leurautorité... C'est à moi seul qu'appartient le pouvoir législatif sans dépendance et sans partage.L'ordre public tout entier émane de moi..." (1766) 10 Pourtant, la crise parlementaire s'aggrave dans les dernières années du règne

indépendance.   ​A) La constitutionnalisation de la Royauté   ​​1) La souveraineté royale est niée. L’absolutisme monarchique est très bien résumé par ce discours de Louis XV qu’il a fait lire au Parlement de Parislors de la « séance de la flagellation » du 3 mars 1766 : « C’est en ma seule personne que réside la puissance souveraine, dont le caractère propre est l’esprit de conseil, de justice et de raison ; que c’est de moi seul que mes cours tiennent leur existence et leur autorité ; que la

remontrances, restreint depuis 1673 1717 : Le conseil de régence annule la légitimation des fils naturels de Louis XIV 1726 : règne personnel de Louis XV 1753, 1756 : protestation des Parlements, théorie des classes 1761 : Turgot intendant 1766 : Séance de Flagellation 1771-1774 : réforme judiciaire de Maupeou 1774 : Louis XVI roi 1775 : Réformes de Turgot, 1776 : Turgot disgracié 1788 : Les Etats Généraux sont convoqués 1789 : Elections aux Etats Généraux 1789, 2 mai : le roi reçoit séparément