Taylorisme Et Bureaucratie

enquêtes ont confirmé que l'implication est liée au concept d'appropriation. S'approprier un travail, c'est lui donner un sens, pouvoir le négocier et le modifier. Sans appropriation aucune organisation ne peut fonctionner. Attention dans l'absolu, le taylorisme ne conduit pas nécessairement à des résultats moins bons qu'une organisation plus participative. Il n'existe pas un modèle meilleur que les autres susceptible d'être copié. S'il est possible de s'inspirer les organisations qui ont le mieux réussi

passer des centaines de documents administratifs et financiers sans que ceci ne lui soit d’aucune utilité, il ne voit guère le résultat de son effort et son travail passera à un autre employé et ainsi de suite. Ce travail à la chaine inspiré par le Taylorisme est déshumanisant puisque la seule rémunération de ce travail est un salaire comme si nous n’étions qu’estomac et sens. Il s’agit d’un dénigrement de l’humanité. Le système sournois capitaliste tente donc de jouer sur cette dimension psychologique

limitations au libre-marché Limitations des profits à une dimension honnête, modérée, raisonnable. Paiement de salaires au-delà des besoins de subsistance Paiement d’impôts en fonction de l’utilisation des biens publics Max Weber (1864 – 1920) La bureaucratie weberienne Pour Weber, il y a trois types de domination légitime. La validité de cette légitimité peut principalement revêtir : 1- Un caractère rationnel : domination légale fondée sur des règles. 2- Un caractère traditionnel : domination traditionnelle

distinction : celui des échelles d’analyse, qui va de l’individu aux modèles macro-économiques. Les concepts clés de l’organisation Bureaucratie : c’est un modèle d’organisation, formalisé par M. Weber. Au delà de son illustration par l’administration, ses principes constituent une des pierres angulaires du fonctionnement de nombreuses entreprises. Les bureaucraties ont été analysées par l’école fonctionnaliste américaine (R K. Merton, P. Selznick..). Rationalité : Elle est un principe de base de

collectivistes. Les Etats- Unis et l’Allemagne sont pragmatiques. Ils accordent plus d’importance aux applications pratiques, aux besoins, à la technique, qu’à la Science pure. Or, ce système dit de « techno-science » implique le développement de grandes bureaucraties, afin de bénéficier d’économies engendrées par une grande taille, appelées « économies d’échelle ». La seconde modernité, que l’on appellera « postmoderne », privilégie la recherche de la performance, collective et individuelle, la croissance et

entre la division du travail d'une part et du calcule économique d'autre part. Cette efficacité du travail est une histoire qui va être former autour de la quantité de travail mesurer par du temps productif. Modèle d'entreprises porté par le Taylorisme, Fordisme et la grande industrie. Sur les formes taylorienne, l'élément central est que l'organisation taylorienne est une organisation qui a pour but de produire des grands volume de production car c'est la seule condition qui permet d'aboutir

consommation selon Ford – Le modèle d’administration du travail de Fayol • Les 4 fonctions des gestionnaires • Les 14 principes de l’administration – Le modèle bureaucratique de Weber • Les formes d’autorité dans l’organisation • Les principes de la bureaucratie Apports, limites et effet persistant des modèles classiques – Les forces et limites des modèles classiques • Qu’est-ce que les classiques ont apporté à la gestion ? • Quels sont les dégâts possibles générés par ces modèles ? – L’effet persistant

France, qui est basé sur une uniformation des pratique, une forte résistance à l’individualisation de la rémunération de la formation… Des critères impersonnels qui régissent des relations sociales, de manière uniforme (analyse de Weber sur la bureaucratie) Une planification quantitative des effectifs. Recrutement en amont au détriment de l’aval. La sélection des candidatures adéquates. C’est à dire que ici ont est sur une approche quantitative, on ouvre des poste sans vraiment réfléchir au profil

typologie de Weber, avec ses structures traditionnelle, charismatique et rationnelle légale en est un exemple .weber s’est avancé a considérer ce type d’organisation comme le plus « efficient ».mais Weber ne prévoyait pas de quelles manières sa « bureaucratie » pourrait être inappropriée aux problèmes des administrateurs face a une technologie évoluant vite. Cependant, le type idéal de Weber a surtout été critiqué par les psychologues à cause de son incapacité supposée à prendre en considération les

fondées par un entrepreneur, PME. „ La bureaucratie mécaniste. Doit sa force à sa technostructure (contrôleurs financiers, ingénieurs et planificateurs. Adaptée à la production de masse. Comprend plusieurs strates de direction et des procédures. Tend à réagir lentement au changement et peine à motiver ses employés. © M PREURE 2008 Cinq catégories fondamentales de structures organisationnelles selon Mintzberg … „ La bureaucratie professionnelle se fonde sur (2) l’expérience